Alors que nos espoirs de vie sont de plus en plus bousculés par la violence du monde, cette réflexion hors du commun sur la mort comme prolongement de la vie apparaît comme une parenthèse aussi inopinée que réconfortante.
Si le film ne renouvelle absolument pas le genre, cette adaptation au cinéma d’une nouvelle de Stephen King ne manque ni de peps ni d’humour. Pour les amateurs de gore et d’hémoglobine.
Cette passionnante Odyssée dans l’univers du business sportif est surtout l’occasion de découvrir l’époustouflante interprétation de Jamel Debbouze dans le rôle d’un agent de footballer, au bord du vertige. Une œuvre absolument prenante d’un bout à l’autre.
Une mise en abyme vertigineuse et une œuvre de plus qui dénonce sans concessions les ravages de la dictature iranienne. Du très bon cinéma, à la fois expérimental et politique dans le meilleur sens du terme.
Cruel et sans filtre, ce tableau sur une sororité toxique n’épargne pas son spectateur. Une œuvre résolument perturbante qui emprunte savamment les voix du thriller, du drame et du fantastique.
Un dispositif insolite et une démarche louable mais on peine à entrer véritablement dans cette ébauche de récit qui s’apparente davantage à un exercice de style.
Souvent inégaux, sans lien véritable les uns avec les autres, ces cinq courts-métrages moins drôles que véritablement moqueurs des gens qu’ils filment, ne convainquent pas vraiment, en comparaison du délicieux Ni juge, ni soumise de Jean Lebon et Yves Hinant. On reste sur notre faim.
Il se dégage de cette comédie sentimentale un vrai plaisir à suivre les extravagances amoureuses de cette Bridget Jones, la cinquantaine passée, habitée par une fraicheur qui rappelle par bien des aspects la jeune et jolie célibataire d’il y a 25 ans.
Plus chronique familiale que réel polar, Dis moi juste que tu m’aimes plaira aux amateurs de personnages déchirés, pris dans l’engrenage de la jalousie et de la trahison.
Alors bien sûr, certains ne manqueront pas d’objecter que tous les instigateurs de cette délicieuse épopée sont sans doute trop gentils pour être crédibles. Mais n’est-ce pas la magie du cinéma que de magnifier la vie dans ce qu’elle a de plus précieux ? Si tel est le cas, la réussite est totale !
Le film témoigne avec force de la dignité des Gazaouis, qui se racontent, entre témoignage et fiction, et assurent à travers la caméra la permanence de leur humanité.
Sans jamais verser dans le complaisant, le grotesque ou le monstrueux, La Vie, en gros touche par son histoire simple, ses personnages attachants et sa douce esthétique.