Un film choral bien mené autour de la Révolution roumaine. Le mélange de drame et d’éléments de comédie grinçante, plutôt bien dosé, contribue à la réussite de l’ensemble.
Radical et sans concession, LE CLAN DES BÊTES plonge le spectateur dans l’enfer d’une humanité qui, pour de basses questions financières et matérielles, cède à l’animalité la plus totale. Une œuvre coup de poing.
L’amour c’est surcoté » offre sur les écrans une vision de la banlieue qui se moque de ses propres stéréotypes et témoigne de la difficulté et de la beauté pour chacun d’entre nous, des choses de l’amour.
Si ce joli conte autobiographique raconte avec brio le désir et le courage de vivre à travers une jeune sœur atteinte d’une maladie grave, il témoigne surtout de la naissance d’un cinéaste d’importance : Thomas Hug de Larauze.
Après une très longue absence sur les écrans, le grand raconteur d’histoires d’Indochine se prend les pieds dans un tapi ambitieux mais truffé d’invraisemblances.
Consacré à des retrouvailles familiales difficiles, le premier long-métrage du réalisateur grec Kostis Charamountanis ne manque pas d’idées, certes, mais celles-ci finissent par dérouter, parfois brisant le rythme d’un film déjà trop lent.
Un savoureux chamboule-tout qui s’amuse à confronter sans demi-mesure un groupe de féministes aussi maladroites que débridées à quelques irréductibles machos.
Fins connaisseurs de leur sujet, Fabio Grassadonia et Antonio Piazza offrent un thriller un brin convenu dans le scénario et le style mais qui mérite le détour pour son efficacité, ses digressions et son interprétation.
Une chronique attachante sur le décalage entre le mode de vie d’un vieux couple et les contraintes de la modernité, d’autant plus que recommandable que le cinéma en provenance de l’Ouzbékistan n’encombre pas les écrans.
Renonçant à toute volonté d’embarquer les novices, Minecraft, le film ne parlera qu’aux fans purs et durs du jeu vidéo. Vraiment pas de quoi casser des briques.