Un premier film fulgurant et sensible qui donne la parole à ces jeunes gens de banlieue d’origine maghrébine qui ne parviennent pas à activer l’ascenseur social et à sortir du stigmate qui pèse sur eux.
L’histoire vraie d’une femme qui rassemble autour d’un cheval, Dream Alliance, l’énergie de toute une ville pour ré-enchanter son existence et celle de ses congénères. Un petit film plaisant pour l’été.
Une odyssée baroque et exaltée sur les bas-fonds de la pègre allemande, mais dont le formalisme cinématographique épuise le récit dans la surenchère et l’exaspération.
Confortablement installé au cœur d’un appartement douillet, le réalisateur barcelonais Cesc Gay nous invite avec malice à observer le quotidien de la vie de couple, entre heurts et bonheurs. Jouissif !
Pudique et gracieux, Les Sentiers de l’oubli donnent un formidable espoir à celles et ceux qui auraient perdu confiance dans la vie et les relations humaines.
Un film grave et léger à la fois, qui traite de la mort annoncée d’un père, lui-même acteur d’un jour dans la mise en perspective d’un tournage de fiction.
Documentaire sportif pertinent et percutant, Les Sorcières de l’Orient serait pleinement convaincant s’il ne pâtissait pas d’une musique quelque peu envahissante et d’effets visuels déroutants.
Si le film aborde les effets du stress post-traumatique dans les rapports familiaux avec intelligence, la mise en scène poussive et parfois caricaturale génère l’agacement du spectateur.
Un film gracieux et délicat qui, à travers le prisme d’une famille ravagée par un accident, rend hommage à la tradition ancienne d’élevage de chevaux aux Kazakhstan.
Traitant un sujet difficile avec nuance et délicatesse, Naomi Kawase réalise avec True Mothers un drame sur la maternité à la fois personnel et sensible, mais qui, malheureusement, confine parfois au téléfilm.