Derniers Avis : Lucy - Page 29

Lucy, qui par une dose d'une drogue à la couleur bleu ciel devient la première femme avec un cerveau décuplé jusqu'à son paroxysme. Assez impatient de voir le résultat de ce Besson, histoire peut-être d'y entrevoir un regain de mieux chez le bonhomme. Un vieil adage dit "c'est beau de rêver" ! mais là, le cauchemar se pointe. Scénario sous mauvais trip LSD, et même si un écrit devait pas être de qualité correcte au moins qu'on s'éclate les yeux avec de l'action et du suspense, seulement là aussi Besson nous fait avaler une pilule qui restera en travers de la gorge. Des ralentis tout laid et des scènes de guns peut utile. J'admet avoir tout de même apprécié le final contenant un passage rem-bobinage [ spoiler: Lucy accélère le temps en arrière jusqu'à la création de notre planète Terre
, mais bon, Besson à voulu faire son petit effet de mode Malick (The Tree of Life ?...). Il occulte également, spoiler: une héroïne que Besson place au dessous de l'homme et au devant de Dieu...
. Coté casting, le monstre Choi Min-sik (Old Boy), dont son rôle est le strict de chez strict minimum les acteurs qui jouent les flicaillons de services qui pourrait jouer haut la main dans un épisode de Plus belle la vie. On à aussi une bien médiocre scène poursuite-cascade.Non, seul Morgan Freeman et la belle Scarlett sont en forme Sans compter la musique toute criarde. Le big Bang est que d'après les dires de Besson, il planchait sur ce film depuis 10 ans. Oula !, il pouvait carrément mieux soigner le tout vous pensez pas ? bref. Puis disons le concrètement, Lucy est le film le plus occulte du réalisateur avec Le cinquième élément. Lucy diminutif de Lucifer ? mal réussi la plupart du temps mieux que de bien faire, en effet, Lucy empoche des millions au Box-office ce qui permet à Besson de planter sa fourche sur ce qui représente à présent son plus gros succès... Triste, mais vrai. Sinon, quand j'ai vu Lucy dans l'avion je sais pas mais mon esprit à voulu fuir et voler vers Lucy in the sky des Beatles. Alors oui, c'est pas un film mais au moins j'écoute un chef-d'oeuvre et en plus tu voyage.

L'idée du film aurait pu être intéressante mais le résultat final est quelque peu décevant. Comment développer un tel sujet "scientifique" en seulement 1h25? Tout se passe trop vite, on a l'impression que ce qui arrive à Lucy est banale ( pratiquement aucune surprise de le part du policier ou des scientifiques ), le film aurait été plus accrocheur si la transformation de Lucy s'était faite progressivement. On reste sur notre fin avec ce film bâclé qui méritait un plus large approfondissement.

Une réalisation un peu trop hollywoodienne selon moi mais une idée de fond géniale. Et je pense malheureusement que ceux qui n'ont pas appréciés ce film manquent de connaissances vis à vis des subtilités du monde qui nous entoure.
Pour comprendre ce film et là ou Besson veut en venir il faut s'intéresser de très près à l'alchimie, à l'espace temps (aux trous noirs notamment), à la pensée créatrice... Il ne faut pas regarder ce film avec un regard 1er degré. Sans doute bcp de choses sont elles exagérées, cependant si l'on a déjà creusé un peu sur les thèmes cités précédemment (j'ajouterai des domaines comme les travaux d'einstein, la mémoire de l'eau...) on sait ce que besson veut transmettre comme message. Nous sommes dans la matrice, si nous développons nos capacités alors nous pourrons agir réellement sur ce monde. C'est magnifique mais je pense trop subtil pour ceux qui sont amateurs de fast and furious 1 2 3 4 5 6 7 !!!!!!!!!!

J'attendais le retour du grand Besson comme à la bonne époque de Léon, le Grand Bleu voir Le 5e élément car on peut dire ce que l'on veux mais dès qu'il devient producteur on a souvent (pour ne pas dire tout le temps) eux des gros nanars. le voici donc revenu en tant que réalisateur avec Lucy et c'est complètement foiré... Le film est mou, très très long a démarré, niveau action c'est très soft et l'histoire est mal exploitée malgré un scénario qui avait du potentiel, au lieu de son le film pars dans du grand n'importe de théorie à la maure moi le nœud. Un mélange de mystiques des X-Men, du film Limitless et un brin de transcendance et nous avons Lucy. D'habitude on trouve quelques répliques amusantes pour vous arracher un sourire: par ici où une scène qui marque. Ici RIEN, c'est le néant le plus total. Passons sur les incohérences scénaristiques dont d'autres sur Allociné ont fait l'inventaire. Le film est lourd, chargé, et tout ça est expédié en 1h30, autant dire que la profondeur de réflexion qu'aurait dû engendrer le pitch de départ nous est rapidement servie en quelques sentences en début de film par Morgan Freeman. La distribution en partie américaine (Scarlett Johansson/Morgan Freeman) n'est clairement là que pour voir les USA ouvrir leurs bras au film (on nous a quand même largement bassinés sur le fait qu'il s'agissait d'une production "française"....). Je finirais sur un final pratiquement ré-pompé sur Akira et qui peine à convaincre. On peut dire ce que l'on veut mais pour regarder Lucy vous n'aurez pas besoin de vos 10% cérébral. 0,1 devrait suffire... tellement ce que l'on nous propose ici est affligeant de nullité.

Idées innovatrices comme d'hab Mr Besson....qques "gros acteurs" et le tour est joué.
Rythmé pas trop long tout est là pour un bon moment cine avec en plus 2 ou 3 notions scientifiques réelles sur ls fonctions du cerveau et l evolution humaine.

Le sujet est intéressant; c'est indéniable - je ne sais pas s'il a déjà été exploité auparavant et si quelqu'un sait ; peut-il me l'indiquer? (reportage "le cerveau et ses automatismes" sur Arte dont je n'ai vu, hélas, que la seconde partie). Au vue de la synopsis, ce film m'a énormément intéressé et malgré quelques passages intéressants (2), je suis déçu par le traitement de ce film qui est finalement trop tourné vers l'action plutôt que sur une réflexion qui peut amener les spectateurs, donc nous, à s'interroger plus profondément après un film avec un tel sujet et c'est en ça que ce film pêche et ne peut pas être considérer (selon moi) comme un grand film : au vu de la thématique, le sujet est traité trop superficiellement et limite les interrogations et le débat par la suite au vu des connaissances limitées de nombreux spectateurs dont je fais (pour mon plus grand déplaisir) parti.

The average person uses 10% of their brain capacity. Imagine what she could do with 100%.
Lucy est une étudiante américaine à Taipei. Un jour son nouveau petit ami lui demande de porter une mallette à son employeur coréen. Les choses vont mal tourner et la pauvre Lucy se retrouve avec un sachet de drogue placé chirurgicalement dans son ventre, qu’elle va devoir véhiculer à bon port. Mais le sachet va se déchirer, et son contenu va se retrouver dans son sang, créant une véritable transformation en elle. Ses capacités se trouvent augmentées, elle peut contrôler la douleur, et elle développe notamment la télékinésie et la télépathie. Que va-t-elle faire de ces nouvelles facultés ?
La patte de Luc Besson est plus qu’évidente dans ce film. Non seulement il continue à mettre la femme en avant, mais on a l’impression d’avoir un mash-up de la technicité présente dans ses films précédents (courses poursuites en voiture à la Taxi, futurisme à la Cinquième Element etc.). Sauf que cette fois, il a en plus accès à de gros effets spéciaux, et il ne s’en prive pas.
Quant au pitch, il se base sur la théorie (non confirmée) selon laquelle l’humain n’utilise que 10% de ses capacités intellectuelles. Pour pouvoir adhérer un minimum à l’histoire, il faut laisser de côté les éventuels doutes scientifiques qui peuvent découler de cette affirmation (pas de débat sur la véracité des faits). Il faut également se laisser convaincre que l’absorption d’une drogue spéciale puisse être à l’origine de l’augmentation des capacités de Lucy, et par d’autres faits qui font que ce film est une fiction et un divertissement avant tout. Car ce point est rempli haut la main. Très vite, Lucy se rend compte qu’il lui reste peu de temps pour mener sa mission à bien. spoiler: Et, bien que son expression devienne passive suite à l’emprise de son côté rationnel sur l’aspect émotionnel, les personnages autour d’elle et les différentes situations nous font ressentir l’urgence environnante.
Le rythme tient bon et ne nous lâche plus.
La force du film est aussi que sa durée n’excède pas 1h30. Exit les réalisateurs qui ne parviennent pas à condenser leurs propos et se sentent obligés de nous présenter des œuvres de 2h et plus !
Un peu déçue par la fin qui nous laisse sur le côté. Heureusement que tout le reste tient bon.

C'est quoi ce film sérieux ?

Ce film c'est des clichés,des images pour nous expliquer ce qu'on voit,des trucs supers incohérents,une B.O qui fait saigner les oreilles,des scènes d'actions très bof,une idée mal-exploitée(je vous conseille de regarder limitless ) des acteurs qui servent à rien(cf. M Freeman et Choi Min-sik )des dialogues nuls et une fin bâclée comme pas possible.

Il reste juste les effets spéciaux qui sont pas mal et le rythme du film(en même temps il dure à peine 1h20 sans générique )
Bref film mauvais voire très mauvais si on a déjà vu limtless,matrix et les premiers films de Luc Besson(Léon... ) 1/5

Besson nous tire de son chapeau une nouvelle héroïne sauveuse du monde. Son dernier film d'action matiné de SF lui permet d'aligner avec un talent certain des scènes d'action dopées aux effets spéciaux (dont ses inévitables courses poursuites) entre deux dialogues foireux. C'est un grand n'importe quoi pétaradant qui explose dans tous les sens et dans lequel Scarlett, entre deux inévitables courses poursuite (c'est Besson quand même) joue la dominatrice entre l'asie et Paris. Le problème c'est que Besson ose (le prétentieux) doubler son divertissement d'un scénario ambitieux... Il s'y noie allègrement. Lucy est creux et le discours pseudo scientifique sinon dangereux est au moins grotesque. Heureusement c'est court car Besson, un peu comme cette critique, passe au dessus de son sujet. Il avait, comme nous, surement mieux à faire.

Force est de constater que depuis "Le Cinquième Element", Luc Besson a cédé aux sirènes capitalistes d'Hollywood et en est devenu plus que suffisant. Il nous sert ici une histoire pas crédible pour un sou sur fond de questionnement sur nos origines, nos capacités, notre évolution. Mais le plus fort, c'est d'essayer de nous le faire avaler en moins d'1h30, preuves factices à l'appui ! En résumé, un vrai foutage de gueule sur fond de n'importe quoi.

Dans la catégorie WTF???, nous avons le vainqueur. Un ramassis d'incongruités, d'incohérences, et de stupidités qui font mal à la tête, voici ce qu'est Lucy... Heureusement, il y a quelques plans sympas, de scènes d'action originales, sinon ce serait zéro étoile. Ah oui, heureusement que ce n'est pas trop long, on regrette moins le temps perdu à visionner le film.

J'étais persuadé, en voyant la vindicte assassine dirigée contre Lucy, qu'elle n'était au fond que le fruit d'un phénomène de masse, du genre qui pousse dans le sens contraire les gens à surfer sur la hype Christopher Nolan. Celui de se faire mousser en faisant ce qu'il est de bon ton de faire, en quelque sorte, de paraître dans le coup. Bien sûr, je ne m'attendais pas à un chef-d'oeuvre, juste à un truc simpliste, bâclé, mais pas trop malhonnête. Mea culpa, j'ai eu le droit au plus grand navet de ces dernières années. Besson est fascinant, si fascinant qu'il en arrive à parler d'intelligence avec une débilité rarement entraperçue au cinéma. Je veux dire, ce gars aime Mozart, connait ses classiques coréens - Choi Min-Sik a toujours la classe, même dans Lucy, et oui. Il adore même Kubrick, visiblement sans rien y comprendre. Besson, en fait c'est ce gosse, qu'on aurait pas du laisser jouer avec les dossiers de boulot de son Papa scientifique, s'imaginant par leur lecture hâtive un univers typiquement enfantin, qu'il élargit de multiples possibilités. Du coup, il parle de choses qui le dépassent, loupe plein de chemins à explorer, s'engouffre dans les plus grossiers et ne soigne même pas les formes, bâclant les maigres viatiques scientifiques de son scénario au point de fournir de purs contre-sens. Jusque là, Besson est plutôt touchant, persuadé qu'il semble de développer de grandes idées, de défricher de grandes pistes de réflexion. Le mieux, dans tout ça, c'est que son message humaniste, qui persiste à croire en une avancée possible de l'humanité, est mignon tout plein. Un gosse, je vous dis, j'avais envie de le prendre dans mes bras. Le problème, c'est que si on rentre vraiment dans son jeu, il est juste ridicule. Et je ne vois pas comment croire à la possibilité (au mythe, à la légende ?) que Besson ne soit pas sérieux, qu'il voie tout ça au second degré, comme unique moyen de dérouler un univers aux potentialités jouissives, décomplexées et propres à un divertissement fun. On ne convoque pas Stanley Kubrick pour ensuite le balayer d'un revers de manche, lui dire que ce dont il parlait c'était bien sympa, mais qu'au final c'est bien plus cool d'envoyer Scarlett casser la gueule à tout le monde. On n'utilise pas non plus les grands airs sérieux de Morgan Freeman pour lui faire débiter une bouillie similo-scientifique durant les trois quarts du film. Et de toute façon, dans l'optique où Lucy n'est qu'un grand défouloir qui ne se prend pas réellement pour Einstein, c'est même pire. C'est juste Besson qui dilapide un budget faramineux de manière indécente, dans un délire qui n'appartient qu'à lui et qu'il ne met même pas les formes pour tenter de le communiquer de façon acceptable au plus grand nombre. Non franchement, quelles que soient ses visées, le film est une catastrophe. Si on part du principe qu'un mauvais film est celui qui échoue à remplir ses objectifs, Lucy est sans doute, purement et simplement, le plus mauvais que j'aie jamais eu l'occasion de voir.

Heureusement, il y a les amis. Et Noël, et les cadeaux. – Tu ne l’avais pas, j’espère ? Je rassure avec un sourire : Non, non, je ne l’avais pas. – Et tu le ne l’as pas vu en salle non plus ? A l’évidence, mon ami ignore que ça fait un petit moment que j’ai lâché l’affaire. Il doit sans doute se souvenir de notre période "Le Grand Bleu", de l’effet que le film avait produit sur nous, de notre voyage en Grèce quelques années plus tard et de cette virée à Amargos, un vrai pèlerinage ! Il pense peut-être aussi à la sortie du "Cinquième élément", à notre enthousiasme à retrouver sur grand écran l’univers de Moebius et Mézières qui étaient alors nos auteurs de BD préférés. La classe de Moebius et la coolitude de Bruce Willis, un must ! Mais le temps a passé, ami, et mon intérêt pour Besson aussi. Mais ça, je ne le dirai pas : Je prends ce DVD pour ce qu’il est, un cadeau, et je le pose en bonne place sur mon bureau. Je le pose et puis je l’oublie. Jusqu'à ce week-end où mon fils me tire par la manche : - Eh, mais on a Lucy ! On peut se le regarder, dis ? Un peu, mon neveu, enfin mon fils, un peu qu’on se le regarde. Et nous voilà partis pour une petite séance de cinéma maison, comme on les aime. Mon fils a été le premier à déserter. Au bout d’une heure, je crois. Moi, j’ai voulu regarder jusqu’au bout, c’était un cadeau tout de même ! Jusqu’au bout donc, où j’ai fini effondrée, ou hilare, les 2 en fait, je jure que c’est possible. Ça démarrait pourtant bien, Besson semblait avoir une idée du tonnerre : Une étudiante, contrainte de jouer les mules pour de méchants trafiquants, voit son organisme envahi accidentellement par la drogue surpuissante qu’on lui a placée dans le bide. Elle se met a développer des capacités inconnues, mobilisant petit à petit (enfin en 24h) toutes les ressources de son cerveau, là où le commun des mortels n’en utiliserait que 10%. Mais le film lui fait exactement le contraire : il ne déploie rien, ne mobilise rien de nouveau, juste les figures habituelles (la jeune femme innocente aux prises avec la méchanceté du monde, la vengeance, la violence chorégraphiée, les poursuites en bagnole..) et il n’ira jamais plus loin que son pitch. Scénario anémié, dialogues indigents, mais la recette absolue pour emballer le tout : le casting ! Scarlett Johansson donc, qui vient relayer avec conviction les muses précédentes, les Anne, Nathalie et autres Milla, et Morgan Freeman à qui Luc Besson a confié la lourde tâche de donner du crédit au scientifique de son histoire, un homme dont les recherches depuis 20 ans n’ont produit qu’une ligne de texte (« Imaginez si nous pouvions utiliser 20% de notre cerveau, voire davantage… mais attention, bien sûr ce n’est qu’une hypothèse »), un texte qu’il va devoir radoter avec autorité et bienveillance (mais pas de problème, autorité et bienveillance, c’est tout Morgan, ça !). Quoi d’autre ? Des cadres toujours aussi efficaces, la belle photographie de Thierry Arbogast, des SFX étonnamment ratés et des stock-shots en pagaille – histoire d’égayer façon diaporama une pauvre conférence. Un drôle de fatras pour un film très court, tendu vers sa fin attendue, annoncée même, mais dont je ne dirai rien. Sauf ce scoop, ami lecteur : Toute la connaissance du monde tient dans une clé USB. Si, si ! Sans doute une question d’échelle : le scénario devait tenir sur pas grand chose.

Un film à la Luc Besson, des fusillades en veux tu en voilà, des images au ralenties mais une histoire improbable et une fin complétement débile .
Depuis le cinquième élément, Besson nous pond que des grosses daubes à grand de marketing à l'américaine mais ses films n'en demeurent pas moins nullissime.

le scénario est vraiment horrible , des effets spéciaux sans aucun rapport .