L’émission Familles nombreuses, la vie en XXL passionne toujours autant les téléspectateurs sur TF1. Parmi les candidats, il y a eu la famille Pellissard, qui a fait les beaux jours de la chaîne. Amandine et son mari Alexandre sont devenus de véritables stars en partageant leur quotidien avec 9 enfants. Depuis, la dynamique maman s’est lancée dans de nouveaux projets dans un tout autre registre. Terminé donc le programme qui lui a permis d’être révélée au grand jour. Mais pourquoi ce choix ? De passage chez Sam Zirah, Amandine Pellissard en a dit plus.
Amandine Pellissard ne veut pas que ses enfants soient instrumentalisés par la télé
“La télé, on a fait le choix d’arrêter” a-t-elle expliqué dans un premier temps. “Il n’y a pas de télé à tout prix chez nous. C’est nous qui avons choisi de partir de Familles nombreuses, sinon à l’heure actuelle nous y serions encore. On était leur tête d’affiche, on savait qu’on était bankable”, a ajouté l’ancienne candidate avant de poursuivre : “Il n’y a pas de télé à tout prix comme beaucoup de familles qui instrumentalisent leurs gosses, qui les mettent en scène avec des scénarios, avec des placements de produits avec des gamins qui sont acteurs studio, et qui ne sont absolument pas épanouis (...) On instrumentalise pas des enfants et c’est pour ça que nous on a arrêté, parce ça devenait trop comme ça et c’est pire que tout.”
La mère de famille est prête à retravailler si tout s’arrête
Amandine Pellissard est épanouie loin des caméras. Désormais, elle s’amuse sur les réseaux sociaux mais reste consciente que tout peut s’arrêter du jour au lendemain. Alors que Sam Zirah lui demande où elle se voit dans 10 ans, elle répond : “Si tout va bien, que notre petit bonhomme de chemin continue, je me vois en Espagne. Et si je ne suis plus une personnalité médiatique, on a une tête, deux bras, deux jambes, on travaillera et puis c’est tout. J’ai toujours aimé être caissière, vendeuse… J'étais dans la vente avant, j’adorais ça. On ne s’est pas construit dans ce milieu là, on est arrivés là-dedans on avait déjà une vie, un passé.”