Visite d’une grotte, Jacuzzi®, restaurant ou encore cours de Bachata : les activités proposées par les prétendants pour tenter de séduire leur agriculteur préféré sont diverses et variées. Lundi 16 octobre 2023, Pure Médias a demandé à la production de l’émission de L’amour est dans le pré comment étaient organisées ces activités ? Qui paye ? Comme l’explique donc la productrice, Gabriella Mathler, toutes les idées viennent des prétendants eux-mêmes. La production les aide ensuite à les organiser. Par exemple, pour le cours de Bachata entre Joris et Carine, l’idée venait de Carine. Mais l’adresse de l’agriculteur étant tenue secrète jusqu’à la fin, elle n’a pas pu trouver le lieu elle-même. "Nous avons trouvé un cours dans la région où vit Joris et on l'a soumis à Carine" a alors expliqué la productrice.
La production peut également donner des idées
Concernant l’activité proposée à Julien par Thibault, c’est la production qui lui a soufflé l’idée. En effet, Thibault avait demandé à faire une activité placée sous le signe de la détente. La production lui a proposé l’idée du spa, qui a tout de suite plu au prétendant. "Il nous a dit que ça lui allait. Nous en tant que producteur on demande les autorisations de tournage, on cale les horaires pour que ça corresponde aux journées de travail des équipes et voilà" a expliqué la productrice, toujours à Pure Médias.
Que paye la production ?
Si les activités restent pour la majorité des cas à la charge des prétendants ou de l’agriculteur, la production prévoit une enveloppe pour que les candidats reçoivent leurs prétendants chez eux dans les meilleures conditions possibles. "Il y a une petite enveloppe pour assumer la venue de deux personnes dans sa vie, en courses, en vie quotidienne nécessaire", détaille Gabriella Mathler.
Concernant les activités, c’est un peu au cas par cas. "Je ne vais pas vous cacher que c'est déjà arrivé pour des candidats qui sont ric-rac au niveau salaire... Là on leur dit qu'on le paye, il n'y a pas de problème" précise la productrice. Quelqu'un qui va nous dire : "Je n'ai pas les moyens de payer un restau", on ne va pas l'obliger à payer, on le paye nous. Sur le moment, c'est le journaliste qui juge de la pertinence du paiement. C'est vraiment du bon sens humain".