Candidate aux yeux rieurs dans cette dix-huitième saison de L'amour est dans le pré, Christine n'a pourtant pas eu beaucoup de chance avec ses prétendants. Dynamique et passionnée, cette éleveuse de chiens de 61 ans sait ce qu'elle veut et l'avait fait savoir dans son portrait diffusé cet hiver : un homme qui aime les animaux au moins autant qu'elle, un homme suffisamment solide pour qu'il puisse l'aider dans son activité et un homme qui a la foi, comme elle. Cinq téléspectateurs lui ont envoyé une lettre, dont un qui lui a particulièrement dans l’œil. Après avoir mis de côté un prétendant qui était chasseur, elle a donc convié les quatre autres pour le speed-dating.
Un désistement de dernière minute
Mais comme le rapporte Télé Star, l'un d'entre eux n'est pas venu... Et évidemment, il s'agissait du coup de cœur de Christine. "Au dernier moment, il a renoncé. Il a appelé la production pour se désister. Ça a été un crève-cœur pour moi !", a-t-elle révélé, sans en dévoiler la raison. Très déçue, cette passionnée de canidés a tenté de faire bonne figure, par respect pour ceux qui ont fait le déplacement. Mais déjà, le cœur n'y était plus...
Ricardo a vu de la lumière... il est entré
D'autant que les trois autres prétendants n'étaient pas franchement à la hauteur des espérances de Christine. Parlons d'abord de Ricardo. Sur le papier, il cochait toutes les cases... Mais dans la réalité, il n'avait d'italien que le prénom (Christine parle couramment l'italien), se rend régulièrement à Lourdes mais n'est pas croyant, quant à son amour des bêtes... c'est comme les gosses, il les préfèrent chez les autres ! "L'un d'entre eux a semblé découvrir que j'élevais des chiens. Je n'ai pas compris. Peut-être qu'il s'attendait à ce qu'ils soient enfermés dans des boxes, genre élevage intensif", a déploré Christine auprès de nos confrères.
Alain, un choix par défaut ?
Le candidat suivant, bien que fort gentil, était diminué physiquement, ce qui était là encore rédhibitoire pour Christine, comme elle l'avait bien mentionné dans son portrait. "Mes filles (ses chiennes, ndlr) font 50 kg, a-t-elle expliqué. Ce sont des brutasses qui t'envoient au sol quand tu as le malheur d'être sur leur chemin. J'ai eu peur qu'il ne puisse pas faire face". Reste donc le dernier, Alain, qui ne présente aucune tare pouvant faire fuir Christine. Elle l'a donc convié seul à la ferme, sans doute un peu par défaut. Regrettant qu'il soit plus âgé que prévu, Christine lui a néanmoins reconnu une vraie qualité : son humour. Et vu la déception de Christine après ce speed-dating, cela ne peut être qu'un avantage ! On espère que cela suffira...