Il n'y a pas que les tracteurs qui ont commencé à chauffer. La 18ème saison de L'amour est dans le pré vient à peine de démarrer, et les nerfs de l'habituelle placide Karine Le Marchand ont également été titillés par le dénommé Baptiste, de retour dans les bras de son ex alors qu'il avait postulé au programme sentimental de M6. A cet abandon se sont ajoutés celui de David, dont le profil des prétendantes ne correspondaient pas à ses attentes, et celui d'un agriculteur encore mystérieux, pas emballé par les jeune femmes qu'il a emmené sur son exploitation. De quoi agacer l'entremetteuse préférée des téléspectateurs de M6.
4000 prétendants pour très peu d'élus
Cette dernière prend un plaisir fou à aiguiller ses protégés depuis l'ouverture des courriers jusqu'au bilan de l'aventure. La première étape est toujours un moment très attendu des fans inconditionnels, lesquels ne se doutent pas toujours des chiffres édifiants du volume de lettres. Car, avant que Patrice, Jean-Paul, Anaïs et les autres retiennent les deux prétendants à même de remplir leur vie d'amour et de lait frais, la production a du travail sur la planche. Car, d'après les informations rapportées par Télé-Loisirs, ce sont pas moins de 4000 candidatures en moyenne qui parviennent aux huit personnes dédiées au tri dans les bureaux de la société de production.
Emeric (saison 13) explose les records
L'équipe de casting opère alors une sélection drastique avant de confier à chaque agriculteur une trentaine de missives maximum, contre cinquante auparavant. Une mission plus ou moins délicate selon l'intérêt porté à chaque célibataire. La Palme (jusqu'à présent) revient à Emeric, le charmant pépiniériste de la saison 13, qui, avec 1200 courriers et 90 lettres à lire, a explosé le record d'aspirantes à la vie de femme de fermier. De leurs côtés, Jean-Paul (saison 17) et Jérôme (saison 15) avaient mis plus de dix heures à éplucher toutes les candidatures, dont certaines provenant de "récurrents", qui écrivent chaque année. Car, lorsqu'on aime, on ne compte pas ses mots...
