Un jeu plus difficile que Koh-Lanta, c'est possible ? D’après Coumba, oui. L’ancienne aventurière, qui cumule quatre saisons de Koh-Lanta dans son CV télévisuel, apparaît désormais dans le nouveau jeu The Power diffusé sur W9. Depuis le 1ᵉʳ avril, les candidats sont enfermés dans une maison et doivent deviner qui est le "power player" chaque semaine. Mais dans une interview pour TV Magazine, Coumba avoue que cette nouvelle émission est bien plus compliquée que Koh-Lanta.
"Je cogitais sans arrêt"
Si Koh-Lanta est réputée pour ses difficultés physiques, mais aussi mentales, Coumba explique que psychologiquement, The Power est tout aussi compliqué. Pour TV Magazine, l’ancienne participante à l’émission de Denis Brogniart avoue ne pas avoir mal vécu l’enfermement, mais plutôt les stratégies à mettre en place pour réussir à démasquer le "power player". "Je n’ai pas mal vécu cet enfermement avec douze personnes que je ne connaissais pas. Dans Koh-Lanta, nous sommes vraiment isolés du monde extérieur et de nos proches pendant longtemps", explique la candidate. "Dans The Power, nous avions un jour de congé chaque semaine, nous avions du confort et nous pouvions manger à notre faim. Mais paradoxalement, cette aventure était plus difficile que Koh-Lanta. Psychologiquement, je cogitais sans arrêt, je me méfiais de tout. Il faut du temps après le tournage pour sortir du jeu".
"J’étais un peu réticente"
Contactée par la production en septembre dernier pour participer à The Power, Coumba avoue à TV Magazine ne pas avoir dit oui tout de suite. "Sur le coup, j’étais un peu réticente. À 41 ans, l’idée de me retrouver au milieu de tous ces jeunes dans une émission où ça clashe tout le temps avec des histoires d’amour à n’en plus finir, ce n’était pas pour moi", explique la coach de vie. Si l’ambiance est loin de ressembler à Koh-Lanta, les règles du jeu, ont suffi à convaincre la candidate. "C’était avant tout un jeu de stratégie avec de la réflexion et des épreuves. Le challenge m’a plu". Le côté mystère, enquête, recherche et réflexion a été un point très positif pour Coumba qui adore ce genre de défi. Elle a pu mettre en pratique ses compétences professionnelles et sa facilité à analyser les personnes.