Une trajectoire rectiligne. Contrairement au nom de l'émission qui lui est dédiée en ce vendredi 18 août 2023, Nolwenn Leroy n'est pas passé par des chemins de traverse pour devenir une artiste accomplie et populaire. Révélée lors de la deuxième saison de la Star Academy, la Bretonne a profité de sa victoire pour signer un contrat avec Universal, sortir un premier album qui s'est écoulé à plus de 600.000 exemplaires, et lancer une carrière couronnée de succès. Au point aujourd'hui de s'essayer à la comédie, en plus d'aiguiller les jeunes talents de The Voice Kids.
Retour express dans les coulisses de la Star Academy
Pourtant, le télé-crochet de TF1 n'a pas toujours été synonyme de bons souvenirs pour la souffre-douleur d'Houcine et Georges-Alain, malmenée au château par ses camarades, et pas toujours à sa place. La lauréate ne pensait même pas être retenue pour intégrer la promotion, elle qui était tombée pendant la chorégraphie de son audition. La suite a été un peu plus heureuse pour Nolwenn Leroy, qui a su éviter les pièges à la sortie du programme de TF1.
Dans Chemins de traverse, diffusée ce vendredi soir sur France 3, la membre des Enfoirés part sur les traces de ses souvenirs en Bretagne, sa guide Agathe Lecaron lui réservant plusieurs surprises dont un dîner improvisé avec Armande Altaï et Emma Daumas, ses anciennes complices de la Star Academy, mais aussi André Manoukian et Pascal Jaouen. Ce dernier, styliste de métier, lui a confectionné de nombreux costumes lors de ses tournées. Et son aide aurait été bien utile à la chanteuse lors des primes du télé-crochet, selon ses dires.
"On a quand même deux, trois petites casseroles vestimentaires"
Lorsque Agathe Lecaron lui a demandé si elle connaissait son bienfaiteur du temps de la Star Ac', la maman de Marin a déploré que ce n'était "malheureusement" pas le cas. "On a quand même deux, trois petites casseroles vestimentaires", a-t-elle ajouté, se plongeant dans ses souvenirs. "Il y avait toujours celle qui portait la mini-jupe", explique-t-elle à ses accompagnateurs. Puis de pointer du doigt le vice de cette mise en scène : "Et on savait forcément qu'avec les contre-plongées, un samedi sur deux on voyait ta culotte à l'écran". Des dessous peu reluisants qu'elle prend avec plus de légèreté aujourd'hui.