Toutes les bonnes choses ont une fin. Depuis plusieurs semaines, Ophélie était en roadtrip en Australie en compagnie de sa cousine Agathe. Tous les jours ou presque, la jeune femme communiquait sur Instagram pour partager ses découvertes, ses moments magiques, mais aussi ses déboires. Puis, le 14 novembre 2024, celle qui a été révélée dans la huitième édition de l’émission Mariés au premier regard, sur M6, a dévoilé la date de son retour en France. "J-5 avant le départ !", a-t-elle écrit avant d’ajouter un émoji malheureux.
Ophélie de retour en France : la jeune femme est déjà nostalgique
Ce jeudi 21 novembre marquait donc le grand retour d’Ophélie dans l’Hexagone. Un moment qu’elle n’attendait pas vraiment avec impatience. À 6 h 26 du matin, celle qui a été mariée à Loïc dans l’émission de M6 a écrit : "Je viens d’atterrir à Paris. Je reste la journée ici pour récupérer du jetlag et j’essaierai de répondre à un maximum de messages". Une story accompagnée d'une photo prise depuis l'avion et d’un fond musical : le tube How to Save a Life du groupe The Fray. "La musique que j’ai écoutée en boucle pendant le vol histoire de bien pleurer", a-t-elle précisé.
Une halte à Paris avant de partir dans les Alpes
Après une courte période de repos, Ophélie va passer cinq mois à travailler dans les Alpes. Un nouveau projet qu’elle va commencer en tant que célibataire, puisque la jeune femme n’est plus en couple avec Raphaël. "Avec Raphaël, nous avons pris la décision de stopper notre relation il y a plusieurs jours pour diverses raisons que nous ne souhaitons pas étaler sur les réseaux", avait-elle écrit sur ses réseaux sociaux le 2 novembre dernier. Le 19 novembre, Raphaël a fait savoir qu’il n’avait pas trompé Ophélie, contrairement à ce qu'avaient cru comprendre certains internautes. Cependant, leur relation naissante n’avait pas supporté la distance en raison de problèmes de communication. "Nous n’étions pas compatibles pour une relation à distance, la barre était trop haute pour nous... On y a beaucoup cru, on a essayé, mais on n’avait pas les armes pour y arriver", a-t-il expliqué.