Compatible à 89% avec Jérémy, Marie sera-t-elle celle qui dira non à son futur époux ? Dans Mariés au premier regard, ce lundi 8 avril, l’émission a dévoilé une future mariée stressée par l’engagement du mariage. La veille de son union, elle a craqué au téléphone avec Estelle Dossin et lui a confié ses doutes. Alors que la psychologue a tenté de la rassurer le plus possible, ses conseils ne suffisent pas. De son côté, la maman de la mariée est très inquiète et espère que sa fille viendra tout de même à la cérémonie. Elle se confie à la famille du marié qui s’inquiète désormais de l’avenir du mariage de Jérémy.
"Je me fais peur à moi-même"
Le jour de son mariage, les doutes sont toujours présents dans la tête de Marie. Benjamin, son meilleur ami, tente de la rassurer. Alors qu’elle est en pleine préparation, elle lui avoue que rien ne va : "Je suis à côté de mes pompes, je suis au bout du rouleau, je suis à l’ouest total". Fatiguée par son craquage de la veille et ses pensées, la future mariée a peur de la décision qu’elle pourrait prendre. "J’ai très peur que cette fatigue-là m’empêche d’être lucide et d’être moi-même et du coup d’être sûr de mes choix. Et là, j'ai quand même un choix hyper important à faire qui va changer ma vie. Je me fais peur à moi-même, parce que je me dis qu’à tout moment je peux dire non".
"On peut toujours se tirer en courant"
Alors que Benjamin lui demande si elle a envie de célébrer cette union, la jeune femme répond cash : "Non, non, là pour le moment, j’ai peur de me marier". Elle n’arrive pas à profiter de son moment, ce qui inquiète son ami. "Tu vas être magnifique, tu vas être dans une robe sublime, tu vas te trouver un mari formidable", tente de la rassurer, Benjamin. Mais face au manque d’enthousiasme de Marie, son meilleur ami lui explique qu’il a toujours une paire de basket dans sa valise "on peut toujours se tirer en courant. C’est toujours une option". Bien que ce ne soit pas la solution favorite du jeune homme pour le moment, il tente tout pour rassurer Marie. "Je ne pense pas que partir avec les fameuses baskets que j’ai dans ma valise soit la bonne solution. Mais je ne veux pas qu’elle oublie qu’elle a cette possibilité. Et ça, c'est important. Les choses sont plus rassurantes". Malgré ses doutes, Marie devrait réussir à franchir cette étape difficile.