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tisma
265 abonnés
1 881 critiques
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3,5
Publiée le 6 novembre 2019
Un très bon Marvel qui va à l'origine du personnage de Captain America. Le personnage central est très bien joué et on suit assez justement le développement du personnage et ce pourquoi il est devenu ce qu'il est aujourd'hui.
Le film de Joe Johnston regroupe tous les atouts qui, à l’époque, en ont fait un très bon blockbuster : des scènes d’action magnifiques (que ce soit les corps à corps, les luttes armées ou les course-poursuites), une très belle reconstitution du décorum des années quarante, des seconds rôles appréciables campés par des acteurs confirmés (à l’instar de Tommy Lee Jones, excellent en colonel aigri au grand cœur ou bien Hugo Weaving aussi effrayant en Crâne Rouge qu’en agent Smith dans « Matrix » !)) et des effets spéciaux stupéfiants qui font passer Chris Evans du petit maigrichon de 45 kg au héros musclé qu’on connaît en 10 secondes, tout simplement prodigieux ! Toutefois, on pourrait reprocher au métrage d’être un poil trop long car il prend bien son temps pour démarrer vraiment et puis sa fin semble bien abrupte par rapport à tout ce que l’on a pu visionner avant, mais bon c’est tout de même très divertissant alors arrêtons de faire la fine bouche cinq minutes, même si depuis, il est vrai que les films de la franchise Marvel ont pris beaucoup d’ampleur !
La première aventure du premier Avenger est divertissante et prenante. Il y a une bonne réalisation de la part du réalisateur de "Jumanji", les acteurs sont parfaits dans leurs rôles et les effets spéciaux sont réussis. L'histoire est originale et bien situé par rapport à la seconde guerre mondiale et le personnages de Steve Rogers est touchant, ainsi pour d'autres héros. Le méchant est mystérieux et cruel. Le scénario (en dehors de quelques incohérences), est bien écrit avec beaucoup de révélations et d'émotions. Les images, les costumes et les couleurs sont saisissantes et permet de mieux nous intégrer au récit. Malgré des faiblesses, un film prenant qui séduira tous les fans du MCU et des super-héros.
Ce film intègre officiellement le MCU avec l'apparition de Nick Fury, l’univers de la guerre est très chouette (dans le film je veux dire), et la relation qu'il a avec Bucky Barnes et Peggy Carter est crédible.
Ah la la Captain America est un bon divertissement, les effets spéciaux et les décors sont corrects. Le personnage de Steve Rogers est attachant car montré comme faible au départ. Le méchant est terrifiant. La scène post crédit est ridicule, elle ne se contente pas scène subtile entre Captain America et Nick Fury qui évoque le prochain film: Avengers mais il se termine sur une vulgaire bande annonce. Je vous le conseille
Joe Johnston aime son image. Tous ses prédécesseurs ne peuvent pas en dire autant sur les traces de Marvel. Pourtant, il était autant que les autres – sinon plus – pressé par les effets spéciaux. C’est peut-être cette pression qui finit par faire craquer sa cohérence personnelle, mais en attendant, nous avons droit à une introduction assez captivante qui prend son temps, non sans rappeler Tomorrowland dans l’ambiance permettant de lier notre époque à celle de Captain America.
Car l’excuse au patriotisme dégoulinant est cette fois historiquement logique : Captain America est un héros de la Seconde Guerre mondiale, d’abord publicitaire puis militaire. Ce level up, ne nous le cachons pas, est bien stupide puisqu’il nous oblige à croire que la force explique tout, y compris ses aptitudes à transformer le slogan en devise et la pub en courage. Mais tant qu’on est dans l’intro, on peut encore admirer l’entrée en scène de Hugo Weaving et l’opposition des fumoirs et des Alpes au rang du badass non nul.
Stanley Tucci avait toujours rêvé de prendre un accent allemand ; il est fort dommage que les dialect coachs aient fourni un travail qui se contredit de toute part ; les Norvégiens parlent norvégien, puis anglais aux Nazis qui ne parlent pas allemand mais qui l’écrivent. Yay. Que ce soit chez Weaving ou Tucci, la prononciation varie joyeusement quand elle ne produit pas des atrocités comme « schedule » qui devient « shedule ». Yeurk. Beurk.
Bref, nous voilà sortis de l’intro et balancés dans l’idée récurrente qu’un évènement historique a contenu une vérité double ; difficile d’imaginer une réalité parallèle quand on perd le repère du futurisme, mais soit, l’intégration prévaut. Les dialogues ne sont pas du plus beau fil et rebondissent mollement quand on les adresse. Et c’est dans cette mollesse générale que se vautre une sorte de reboot du film dans le film où la méchanceté, jusque là intelligente, redevient plus cliché que jamais sous le regard enfoncé dans une Joker face de Weaving tombant le masque. Les décors perdent de leur lustre sous ses doigts pressant des boutons et levant des leviers à répétition. Le compteur de morts s’affole sans un souci, une chair à canon monétaire sous l’égide de l’étoile blanche.
Marvel toussote et faillit encore à faire un film qui sorte vraiment de sa gangue très fermée et oppressante pour les réalisateurs. Johnston arrive presque à briser ses chaînes, mais… nah.
Binaire et sans saveur ce premier avenger ne faisait qu'augurer du naufrage des franchisse Marvel, sacrifié sur l'autel du bénéfice apportant dans son sillage son lot de médiocrité scénaristique, vide, inexpressif et sans aucune forme d'intérêts.
Le film est un bête film de baston sans queue ni tête bourrée d'une propagande simpliste, gentil /méchant, Amérique vs Satan. Quelle tristesse quand on voit tout le potentiel d'un tel scénario de base. Mais bon quelle surprise quand l'argent est la priorité la médiocrité est souvent au rendez-vous.
Un très bon Marvel avec un personnage emblématique de l'univers. Des effets spéciaux très réussis ( vaut mieux, vu le coût de production ). L'univers original est bien respecté et le film se suit avec plaisir.
Juste un bon film. Les bases sont solides même avec un début long mais nécessaire. Des scènes fluides, de belles images... C'est une bonne origin story. On voit bien l'évolution du personnage dans une temporalité très interessante. Chris Evans prend son role à coeur et donne un aspect attachant au personnage. Mais il manque quelque chose...
Mêlant histoire et super-héros, ce nouveau Marvel est le moins bon côté effets numérique. Un casting très bon et un très bon jeu ou l'on retrouve dans la peau du futur super soldat, Chris Evans qui avait déjà camper le rôle très chaud et provocateur de la torche chez les 4 fantastiques. Comme pour "Iron man" et "hulk", le script prend énormément de place mais est vite rattrapé par les premières scène de fusillades, courses poursuite et de bagarre. La transformation physique de Steve sera le moment du film. Enfin, l'apparition de grand tesseract donne le top départ de la quête encore inconnue des pierres d'infinités. Une pierre qui fera bon nombre de passage dans le MCU. En tous cas, Chris s'offre comme Robert, son plus grand rôle moderne au cinéma. Quant à James Barnes et Crâne rouge, l'un sera l'un des plus grands allier du soldat mais sera par la suite bien trop mal mener, l'autre montrera à la perfection son obsession pour le pouvoir absolu avec la traque de ce cube bleu cosmique. La scène post-générique sera la première plus longue du MCU qui avec celle de "Hulk", donnera réellement le coup d'envoi de la création d'une future équipe hors-normes. Avec un Nick Fury encore plus présent et jouant par la même occasion le grand sage pédagogue.
Au début des années 2010, le retour de Captain America sur le devant de la scène fut réussi. Grâce à une excellente interprétation, Chris EVANS redonne à ce super-héros ses lettres de noblesse. Le réalisateur Joe JOHNSTON mélange parfaitement les genres et offre un véritable cocktail explosif et rythmé. Les seconds rôles sont assez riches et la présence de Tommy LEE JONES au casting apporte une bonne dose d'humour et d'auto-dérision. En somme, c'est un divertissement distrayant et spectaculaire.