Votre avis sur Captain America : First Avenger ?
4,0
Publiée le 13 janvier 2018
Pas vraiment récompensé de son audace Joe Johnston pour le coup. Il nous livre avec ce premier "Captain America" un Marvel étonnant et bien plus profond qu'à l'accoutumée. La retranscription de l'époque et cet aspect kitsch du début sont particulièrement intéressants et l'évolution du personnage principal le rend sacrément attachant. L'action prenant place durant la seconde guerre mondiale, le climat est plutôt lourd et cette ambiance sombre démarque favorablement ce Marvel des autres, et pour ne rien gâcher Johnston a fait du très bon boulot côté réalisation ! L'ensemble est efficace, les scènes d'action percutantes et Chris Evans taillé pour ce rôle. Le méchant, malgré la bonne interprétation de Hugo Weaving, est peut être un peu en dessous mais ce premier opus des aventures du Captain est tout de même très très bon, sans oublier ce final emprunt d'une certaine mélancolie, du bel ouvrage.
3,5
Publiée le 9 décembre 2021
Premier volet d'une trilogie sur captain america qui s'annonce plutôt bien. C'est un film agréable à regarder avec de l'action et un scénario simple. Un bon divertissement !
Contrairement aux autres super héros, captain america n'a pas vraiment de "super pouvoir", il est juste excellent en combat et force pour utiliser son bouclier.
On voit ici les origines du personnage et on est donc projeté dans la seconde guerre mondiale côté Etats-unis.
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 16 décembre 2017
Bon moment à passé mais sans plus. La petite touche apporté par Tommy Lee Jones est assez sympathique. C'est assez répétitif par rapport aux autres marvel !
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 2 décembre 2017
Joe Johnston signe un blockbuster divertissant et spectaculaire avec une bonne dose d'humour et d'autodérision, un casting irréprochable, une BO exceptionnelle, un Chris Evans remarquable, un scénario bien écrit et une mise en scène brillante.
2,5
Publiée le 30 octobre 2017
Film inspiré de la bande dessinée MARVEL. Le scénario est simpliste : un héros, au début, frêle et fragile, va devenir un Superman et défier les méchants qui veulent dominer le monde, et cela se passe durant la 2de guerre mondiale. Il faut accepter le principe Bande dessinée pour ados américains. C'est naïf, souvent niais, mais c'est voulu. L'intérêt du film tient à sa réalisation et à ses prouesses techniques dans les trucages et les décors. C'est tout à fait primaire dans l'esprit, franchement amusant dans le second degré. C'est très caricatural, et on ne s'ennuie pas trop, malgré une romance niaise.
2,0
Publiée le 3 août 2020
Avant Hulk, Iron Man et Thor, créés dans les années 1960, il y avait Captain America, le tout premier Vengeur. Méconnu en France, le héros patriote, créé en 1941 par Joe Simon et Jack Kirby quelques mois avant l’entrée en guerre des Etats-Unis, a pourtant vendu quelques 210 millions d’exemplaires de par le monde. Cette adaptation intervient dans le cadre de la sortie du collectif des Vengeurs qui regroupera, entre autres, outre Captain America, d’autres vedettes Marvel comme Hulk, Thor ou encore Iron Man. Mais il est aussi intéressant de souligner le contexte historique de cet anniversaire du personnage (le 70ème) à une époque de crise de confiance de la toute puissance américaine, sérieusement écornée depuis l’échec vietnamien, les événements tragiques du 11 septembre et le fiasco afghan qui a conduit Obama, cette année, à ordonner le retrait progressif de ses troupes du bourbier local. Captain America est en effet le super-héros américain de l’héroïsme patriotique, celui qui représente des valeurs d’abnégation et de courage en temps de guerre. Ses muscles gonflés sont les symboles de la puissance de l’étendard américain. Son avènement au cinéma est dans l’air du temps. L’Amérique a besoin de croire en ses valeurs, mais le héros réussira-t-il à les imposer au box-office ? Pour rendre hommage au premier super-héros Marvel, les producteurs et scénaristes Christopher Markus et Stephen McFeely (la trilogie "Narnia") ont décidé d’ancrer leur adaptation cinématographique dans les années 1940, au cœur du conflit contre Hitler, ici un peu évacué au profit du grand méchant de service, Crâne Rouge, à la tête d’HYDRA, une organisation scientifique allemande. Le cadre résolument classique, celui des films de gangsters new-yorkais d’époque ou des champs de bataille européens des films de guerre, se démarque au cœur d’une production de blockbuster inlassablement tournée vers la science-fiction et le futur. Ce retour en arrière peut déstabiliser, tant la déferlante d’effets spéciaux à laquelle Hollywood nous a habitué se fait ici discrète. Les exploits de Captain America sont moins tapageurs. L’essentiel se résume à la recréation d’une Amérique datée (avec un nombre incalculable d’anachronismes pour lui donner tout de même plus de style), à la transformation du gaillard Chris Evans en gringalet chétif pendant une bonne vingtaine de minutes d’introduction, ou encore à la mise en place des exploits de Captain America, finalement peu spectaculaires. Pour information, le Capitaine est un super-héros sans réels pouvoirs extraordinaires qui bénéficie, à la suite de l’injection d’un sérum par l’armée américaine de forces humaines qui ont été accentuées. Cette proximité avec l’œuvre originelle que les auteurs refusent de trahir est-elle une bonne chose à notre époque ? C’est la question que l’on peut se poser face au classicisme certain du résultat qui peine parfois à vraiment captiver. Le script, sans aspérité et sans relief particulier, fait la part belle à la présentation et à la création du héros (cela devient répétitif à la fin). Ce n’est pas que l’on s’ennuie, mais à côté, dans l’action, il ne se passe pas grand-chose à l’écran. L’humanité et les convictions du héros sont surlignées et il faut bien la moitié du film pour que le jeune homme en costume moulant s’impose vraiment dans l’armée et que le combat ne commence vraiment. Pour emballer le tout et insuffler de la passion au récit, la réalisation soigneuse de Joe Johnston manque de souffle et d’idées. Accompagnée d’une photographie glamour plutôt agréable, elle paraît finalement assez illustrative, faute d’un vrai point de vue artistique. Du côté de l’interprétation, même constat de fadeur dans le choix facile de Chris Evans. Si la Torche humaine des 4 Fantastiques incarne correctement son personnage de forcené de la paix (ou d’obsédé de la guerre, à voir), il n’est pas suffisamment habile pour lui donner de l’épaisseur : ses fêlures, malgré une vie entière de brimades à l’encontre de son physique fragile, sont à peine visibles. Alors qu’au-delà du courage, il incarne aussi la perfection physique (la beauté et la vigueur d’une jeune nation qu’est l’Amérique), Chris Evans l’acteur est paradoxalement transparent dans un rôle pourtant très physique. Aussi, on lui préfère logiquement Crâne Rouge, personnage de la mythologie Marvel notoire, à qui l’on a initialement injecté le même sérum que son alter ego du bien, mais dont le caractère maléfique a détourné ses pouvoirs du droit chemin, transformant l’homme en monstre au visage décharné et rubicond. Hugo Weaving a les honneurs d’interpréter l’un des baddies les plus intéressants vus récemment dans un film de super-héros. Loin du frérot jaloux de Thor ou du magma extra-terrestre sans vie de "Green Lantern", il s’amuse avec un plaisir évident à jouer au méchant qui se détourne d’Hitler afin de défendre ses propres desseins de destructions globales. Épris de son pouvoir surnaturel, il voit dans sa nouvelle condition une légitimité divine qui le conduit à l’abominable. Dans la folie des grandeurs, sans nécessairement cabotiner, l’acteur parvient à mieux exister derrière son masque que Chris Evans, tout muscles saillants, derrière son bouclier. Au final, moins une œuvre de science-fiction qu’un film de guerre gonflé au discours intrinsèquement patriote de son personnage, "Captain America : First Avenger" ne démérite pas pour autant mais s’accorde peu avec les canons attendus par le public contemporain. Patriotisme rime ici avec classicisme ronflant, ce qui pourrait éconduire plus d’un spectateur français loin des salles de cinéma. Pourtant, qu’on ne se trompe pas d’ennemi, le film se situe à des années-lumière de son concurrent direct, "Green Lantern", puisque contrairement à la production Warner Bros, il ne s’agit nullement en terme de spectacle d’un naufrage artistique, mais il reste un film de super-héros vraiment pas terrible
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 30 juillet 2017
film décevant. le film s'éloigne trop du contexte de la seconde guerre mondiale et le méchant est calamiteux. seul point fort : Chris Evans qui incarne parfaitement le rôle du captain america
2,5
Publiée le 20 juillet 2017
Un des premiers Opus du Captain America décliné de l'univers Marvel. Beaucoup d'action , de bons effets spéciaux. L'esprit du bien est définitivement du côté du Captain. Pour passer un bon moment avec ses ados, dans l'esprit Comics Strips des 50's..
3,5
Publiée le 21 mai 2017
Ce film est le cinquième du MCU et le 5ème également de la phase 1. Il met en scène Steve Rogers dans sa transformation en Captain America et ses compagnons, ainsi que Crane Rouge (Red Skull), son opposant historique.
Les bases du comics sont respectées, c’est-à-dire que la transformation de Rogers en Captain America est romancée à partir des comics. Dans ceux-ci, James « Bucky » Barnes est censé être un adolescent, parfaite opposition aux jeunesses hitlériennes et fidèle compagnon du Captain. Crâne Rouge ne possède normalement pas la force du Captain, et son crâne est un masque pour effrayer ses contemporains. Ce n’est pas non plus le chef d’HYDRA, rôle qui était tenu par le Baron von Strucker (que l’on verra plus tard dans le MCU), bien qu’il appartienne à cette organisation. Mais ces changements ont finalement peu d’importance.
Le film a son univers bien à lui, celui d’une réalité alternative où une branche scientifique de l’idéologie nazie s’est procurée une forme surpuissante d’énergie (le Tesseract) et veut surpasser le nazisme. Pas de nazis pour affronter Steve Rogers, mais les membres d’HYDRA. Ses membres sont équipés d’armes futuristes et de véhicules révolutionnaires et soigneusement dessinés (le coupé de Schmidt !).
Joe Johnston réussit également à ne pas faire un film trop dégoulinant de patriotisme ; on ne se focalise pas sur le fait que son héros soit un drapeau ambulant. Les acteurs sont bons, avec Tommy Lee Jones très à l’aise dans son rôle de vieux ronchon.
De nombreux clins d’œil sont fait dans ce film qui est chronologiquement le premier du MCU, notamment la présence d’Howard Stark.
spoiler: Ce film est particulier dans le MCU car il se finit sur une note tragique : Captain America est arraché à son époque et aux siens.

Un film très sympathique, avec une ambiance particulièrement soignée.
3,0
Publiée le 24 février 2017
Autant le dire clairement : je ne suis pas un grand fan de ce super héros Marvel. Je trouve Captain America sans saveur ni sans grand intérêt psychologique. Il est bien loin, à mon sens, de Spiderman et Iron Man. Mais ce film se laisse aisément voir de par la transformation d'un gamin qui possède un physique ingrat mais un grand coeur vers un soldat qui devient un héros. De même, l'époque du film, à savoir la seconde guerre mondiale, est originale pour un Marvel. Je passe l'éponge sur les personnages secondaires nuls et les dialogues souvent ridicules.
Bref : un film sur le 1er avenger... suivi d'un nombre incalculables d'autres !!
2,5
Publiée le 22 février 2017
Ca se regarde. Le début est même plutôt bon avec la naissance du héros qui est plutôt intéressante, la suite tombe par contre dans le too much de scènes d'actions. Le mélange gadgets/armes futuristes durant la seconde guerre mondiale est assez inapproprié. Le plus gros défaut étant cette histoire/scénario un peu trop loufoque et un méchant à la tête complètement improbable ! Moyen moyen.
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 14 février 2017
Difficile de rendre badass un personnage aussi kitch et daté, et d'ailleurs le film n'y arrive pas. Par contre, comme il y a du budget, ça reste un honnête divertissement. La 1ère moitié est de loin la plus intéressante avec sa reconstitution de l'Amérique des années 42/43. La seconde moitié est hyper convenue, enchainant des vieux clichés usés jusqu'à la corde et des scènes d'actions génériques et sans âme. En plus on sait à l'avance comment ça va se finir, ça n'aide pas.
3,0
Publiée le 5 février 2017
Captain America: The First Avenger. Un film réalisé par Joe Johnston. Il s’agit du cinquième et avant dernier film de la première phase du MCU avant Marvel’s Avengers. Il faut savoir que Captain America est le premier super-héros crée de Marvel. C’est donc un personnage extrêmement important, il est aussi un leader naturel pour les Avengers. Pour résumer, le film raconte l’histoire de Steve Rogers un être frêle et timide, se porte volontaire pour participer à un programme expérimental qui va le transformer en un Super Soldat connu sous le nom de Captain America. Allié à Bucky Barnes et Peggy Carter, il sera confronté à la diabolique organisation HYDRA dirigée par le redoutable Red Skull… Ayant été déçu par de nombreuses adaptations du MCU, j’avais placé beaucoup d’espoir en ce film, surtout après le catastrophique Thor sortie la même année. Captain America : The First Avenger est un film encourageant, mais il reste très moyen. Le scénario n’est pas mauvais, il est même assez bon. Le meilleur depuis Iron Man premier du nom sorti en 2008. Cependant, tout comme Thor, le film ne décolle pas, il n’y a aucun vrai enjeu. Même si le twist final est assez surprenant, cela n’aide en rien la trame principale du film. Malgré une réalisation correcte disposant notamment d’un décor soigné, totalement respectueux par rapport à la seconde guerre mondiale, le film n’est pas vraiment aidé notamment par une bande son fantomatique et très répétitive. De plus, le film n’est pas du tout aidé par la majorité de son casting. Chris Evans qui a obtenu le rôle-titre de Captain America, est un des premiers coupables de cet échec. L’acteur est beaucoup trop mou dans son interprétation. Le personnage manque d’agressivité est d’une vraie volonté qui devrait crever l’écran. Par ailleurs, le vilain du film n’échappe pas n’y échappe pas non plus. Hugo Weaving joue Red Skull. Un des plus terribles ennemies de Captain America, ne pèse pas vraiment dans l’intrigue du film. Le personnage est tout sauf vraiment menaçant. De plus, on aurait aimé que le film exploite au mieux la volonté du personnage. Notamment que son organisation, l’Hydra pèse plus dans l’histoire. Enfin, l’un des seuls points positifs du film, est Hayley Atwell. Cette actrice joue Agent Carter, le premier coup de cœur de Steve Rogers, est tout à fait séduisante. On aurait plus aimé le personnage soit plus approfondit. Ainsi Captain America : The First Avenger reste un film sympathique, divertissant mais rien de plus. Marvel ne doit surtout pas échouer sur le film le que tout le monde attend, Marvel’s The Avengers.
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 26 janvier 2017
Génial ! Mais je m'en doutais un peu.On se retrouve dans l'ambiance Marvel Agent Carter contre la puissante HYDRA qui combat les agents du SHIELD; avec le Captain en plus: un régal.
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 8 janvier 2017
Génial ! Mais je m'en doutais un peu.On se retrouve dans l'ambiance Marvel Agent Carter contre la puissante HYDRA qui combat les agents du SHIELD; avec le Captain en plus: un régal.
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