L'heure est à la gourmandise. Mais avec les yeux ! Sur M6, Top Chef a fait son grand retour mercredi 13 mars 2024. La compétition est donc lancée et les téléspectateurs ont pu découvrir des petites nouveautés. Les chefs de brigade, Philippe Etchebest, Hélène Darroze, Paul Pairet et Glenn Viel, ont accueilli deux nouvelles recrues dans leur rang. Dominique Crenn et Stéphanie Le Quellec, ancienne gagnante de Top Chef, viennent compléter les membres du jury. Ce n'est pas la seule nouveauté : exit les trois brigades. Désormais, la team orange, dirigée par les femmes de cette aventure fera face à la grise, tenue par les hommes. Les équipes ont déjà été composées et Valentin s'est déjà démarqué auprès du jury et des téléspectateurs.
Une ancienne candidate raconte l'impensable
Le retour en fanfare de l'émission est l'occasion de prendre des nouvelles des anciens. Mais dimanche 24 mars 2024, ce ne sont pas de bonnes nouvelles qui ont été rapportées sur les ondes de France Bleu Vaucluse. Nos confrères recevaient Justine Imbert, candidate de la saison 9 de Top Chef. La jeune femme de 31 ans a expliqué au micro avoir vécu le pire vendredi 22 mars 2024, alors qu'elle était dans son restaurant Le Jardin des Carmes, situé en plein coeur d'Avignon.
Ce soir-là, des dizaines de coups de feu retentissent aux alentours de 22h45, non loin de son établissement. Un homme, visé par les tirs, entre dans son restaurant et s'enferme avec elle. "Après avoir entendu les détonations, j'ai immédiatement entendu le carillon de ma porte. C'est à ce moment-là qu'un jeune homme habillé tout en noir est entré. Il a fermé la porte, m'a tirée dans le jardin en me disant qu'il se faisait tirer dessus. On s'est allongés. On se regardait dans les yeux en se disant que nous allions mourir", raconte-t-elle.
Justine Imbert en état de choc
La cheffe précise que finalement, l'individu quitte son établissement quelques minutes plus tard. Sur le coup, Justine Imbert ne réalise pas. Mais avec le recul, elle explique : "C'est relativement très grave ce qui s'est passé. Sur le coup, je n'ai pas vraiment réalisé que c'était une séquestration. Aujourd'hui, je suis relativement en état de choc". Si elle poursuit son travail, elle avoue, il lui est difficile de garder le sourire. Fort heureusement, dit-elle, les clients étaient déjà partis.