Candidat emblématique de la saison 15 de L’amour est dans le pré, Mathieu Ceschin est resté depuis toutes ces années très ami avec Karine Le Marchand, il est d’ailleurs l’un de ses chouchous… Depuis maintenant plusieurs mois, l’ancien candidat de l’émission phare d’M6 a entamé un long processus pour devenir papa solo : celui de faire appel à une mère porteuse en Colombie, sauf que tout ne se passe pas comme il l’aurait souhaité et de nombreuses complications semblent être au rendez-vous.
Le parcours du combattant
En août 2023, Mathieu , qui a récemment participé à Un dîner presque parfait avec Vincent le Provençal, expliquait "un premier échec" en story Instagram, précisant que le transfert n’avait pas pu avoir lieu. Il n’avait pas lâché pour autant, et il a bien fait puisque sa mère porteuse est bien enceinte. Mais le 28 novembre dernier, l’éleveur de taureaux avait annoncé son hospitalisation… "Depuis quelques heures, je ressentais quelque chose de négatif, puis cela s'est précisé dans ma tête. J'ai pris mon tel, écrit à Ame (ma porteuse de vie) et bien mon ressenti était fondé, ils sont tous les deux à la clinique", pouvait-on lire. Et de préciser : "Enormes vomissements. On attend le résultat des analyses, dur de gérer ça à 10 000 kilomètres." Quelques jours plus tard, Mathieu donne des bonnes nouvelles ! Mais avant, retour sur le bilan des couples de L’amour est dans le pré en vidéo, et ça rigole pas avec Tata Kaka :
Plus d’hôpital, mais "repos total "
En story Instagram ce mardi 5 décembre 2023, Mathieu Ceschin a donc annoncé que sa mère porteuse et le futur bébé se portaient à merveille et allaient bien, mais que le repos était nécessaire, bien entendu : "Pour ceux qui ont sauté la story, Ame [le prénom de la mère porteuse, NDLR] et le bébé vont bien… mais repos total", a-t-il écrit. De bien jolies nouvelles pour celui qui se bat également au quotidien contre la maladie de Cadasil. En octobre dernier, par exemple, il racontait devoir passer une batterie d’examens en story Instagram : "Ce matin, c’est IRM cérébrale pour observer l’évolution de la maladie de Cadasil… Ce sont toujours des journées moins évidentes et pourtant elles font partie de ma vie.”