Comme tout être humain, Mathieu a ses défauts. Tout du moins, Alexandre, dont il s’était épris sur le tournage de L’amour est dans le pré, lui en a trouvé pour expliquer leur séparation brutale à l’automne 2022. Mais, on ne peut pas enlever à l’ancien agriculteur, désormais devenu influenceur, un courage XXL. Car, malgré les obstacles qui se sont succédés sur son passage, le Gardois est allé au bout de sa démarche pour connaître le bonheur d’être papa.
Une pathologie génétique source de problèmes pour son futur enfant ?
Depuis un an, il a entamé tout un processus de GPA en Colombie pour concrétiser ses rêves de paternité. Rêve qui s’apprête à se réaliser, puisque le 18 octobre dernier, le protégé de Karine Le Marchand partageait sur les réseaux sociaux les premières images de l’échographie de son futur enfant. Parmi les embûches qui sont venues jouer les trouble-fêtes pendant cette longue période de démarches administratives : la pathologie incurable dont souffre Mathieu. Le quadragénaire souffre de la maladie de Cadasil, une dégénérescence génétique pouvant entraîner d’importantes crises d’épilepsie voire l’AVC, mais aussi avoir un impact sur la santé de son futur enfant.
"Des journées moins évidentes qui font partie de ma vie"
Ce mardi 24 octobre, le temps d’une story, l’ex-mari d’Alexandre s’est confié sans fioriture sur ses examens médicaux qui gangrènent son quotidien. "Ce matin, c’est IRM cérébrale pour observer l’évolution de la maladie de Cadasil…”, a-t-il écrit en légende d’un cliché sur lequel une triste mine remplace son habituel sourire. Et d’ajouter : “Ce sont toujours des journées moins évidentes et pourtant elles font partie de ma vie.” Quelques heures plus tard, et une fois la visite de routine passée, Mathieu a de nouveau pris la parole pour donner de ses nouvelles. "J’ai fait mon IRM. Évidemment, je ne comprends rien aux résultats. Donc lundi, j’ai rendez-vous avec le neurologue", a-t-il indiqué, confirmant vivre avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête. Un danger permanent avec lequel Mathieu s’habitue à composer.