Après les Marseillais à Cancun, les Marseillais en Thaïlande, les Marseillais VS les Ch’tis, les Marseillais VS le reste du monde… et des audiences en forte baisse, W9 a décidé d’innover. Tous devenus parents, Jessica et Thibault, Manon et Julien, ou encore plus récemment Paga et Giuseppa ont en effet un train de vie différent. La chaîne a décidé suivre les aventures de ses candidats emblématiques, dans leur quotidien cette fois. Dans C’est la famille, Giuseppa et Paga partagent notamment leur vie de jeunes parents, et la jeune femme est constamment critiquée sur la toile.
Giuseppa victime de critiques incessantes
Après son accouchement filmé pour l’émission C’est la famille, Giuseppa et son compagnon Paga ont décidé de livrer leur quotidien aux caméras de W9 en toute intimité. On peut alors découvrir chaque soir à 20h05 les différentes étapes de leur nouvelle vie. Mais Giuseppa subit depuis longtemps maintenant un flot de critiques, sur ses agissements avec sa fille, qu’elle accaparerait trop au détriment de Paga, ou sur son attitude face à celui qui partage sa vie. Lors de sa grossesse déjà, les fidèles du programme pointaient du doigt la maman. De quoi faire regretter la candidate d’avoir ouvert les portes de son foyer aux caméras. L’ancienne marseillaise a alors décidé de prendre la parole sur son compte Instagram et répondre à ses détraqueurs.
Giuseppa pousse un coup de gueule sur les réseaux sociaux
Ce mardi 22 août, Giuseppa a souhaité régler ses comptes avec ses haters. En story, elle écrivait "Tellement choquée des gens. La tournure que prennent les réseaux sociaux dans les publications, les commentaires, c'est du harcèlement. Mais ne vous inquiétez pas, je reviens jeudi bande d'idiots, je ne vais pour rater. Heureusement que la majorité sont là pour me soutenir car franchement c'est dur de se prendre ça dans la tronche alors que... bref. Soyez des femmes de caractère, je suis comme ça et je ne changerai jamais. J'espère que ma fille se battra comme ça aussi", avant de lancer "Les femmes sont toujours diabolisées par des femmes ! ou par des groupies".