La science a ses raisons que parfois l'amour ne connaît pas. Car, sinon, comment expliquer les divorces à la pelle qui émaillent l'émission Mariés au premier regard. Des couples formés par les experts du programme de romance, seuls ceux composés par Laure et Matthieu, Pauline et Damien, et Jefferson et Pedro ont résisté à l'usure du temps et au retour du train-train quotidien. Un maigre bilan, alors que beaucoup d'unions se sont même achevés devant les caméras.
Jessica n'avait plus "de vie sociale"
C'est le cas de Jessica et Pascal, dont la complicité a rapidement viré au beau roman d'amitié, lors de leur voyage de noces à Gibraltar. La quadragénaire, rebutée par l'âge de son mari, ne lui a jamais laissé l'opportunité de sortir de cette friendzone, ce qui lui a valu les critiques acides des fidèles de l'émission. Mais, l'ex-championne de fitness a montré les muscules pour se défendre face à ces messages bienveillants.
Soutenue par ses abonnés Instagram, la pétillante blondinette continue de partager ses aventures, et a décidé, le mardi 22 août, de se livrer sur la maladie qui lui a gâché les meilleures années de sa jeunesse. "C'était quelques mois avant qu'on me découvre la rectocolite hémorragique, qui m'a bouleversé ma vie de jeune femme", écrit-elle en commentant des photos d'elle avant sa métamorphose physique grâce au sport. Souffrant de cette inflammation de l'intestin, Jessica n'a pas caché que ce trouble l'avait plongé dans "des états très compliqués". "Je n'avais plus de vie sociale, entre l'hôpital, les médicaments, les crises", précise-t-elle.
Pourquoi Jessica a dû modifier son alimentation
Grâce à son tempérament de battante, l'ex de Pascal a évité de passer sur le billard, et se porte aujourd'hui comme un charme. Ce qui ne l'empêche pas de faire attention à son hygiène de vie. "Je fais attention à ce que je mange. J'ai fait mes propres petites recherches, mes propres tableaux. (...) Je me suis plongée dans la nutrition. (...) A l'heure d'aujourd'hui, je vais bien, j'ai évité l'opération", a-t-elle conclu. Ne manque plus qu'un chéri pour ajouter un peu de couleur à ce tableau.