La science n'est pas tout à fait une donnée exacte, et la dernière saison de Mariés au premier regard l'a prouvée plutôt six fois qu'une. Des sept couples formés grâce aux critères de compatibilité analysés par les experts, seul celui formé par Pedro et Jefferson a su résister à l'expérience et aux affres du temps. Si les mariages de Pascal et Jessica, ou de Benjamin et Mauryne sentaient le sapin, ceux de Fabrice et Anabel, et encore plus d'Emanuel et Léa, laissaient présager des lendemains idylliques. Pourtant, tous ont débouché sur une séparation et des regrets.
Après le temps de la rupture, celui de la reconstruction
Au-delà de leur alchimie instantanée, Fabrice et Anabel s'étaient plusieurs fois écharpés sur la distance qui séparait leurs domiciles respectifs. Mais ce point sensible, sans cesse remis sur la table par le Montpelliérain, n'a pas été évoqué lors de l'officialisation de la fin de leur histoire. "Nos chemins se séparent pour des raisons qui nous appartiennent, mais nous sommes heureux d’avoir participé à cette expérience humaine", avaient écrit les deux candidats dans un message commun posté sur Instagram. Depuis, chacun d'entre eux essaie de tourner la page de cette rupture, devant faire face à la curiosité d'internautes qui associent toujours leurs deux prénoms.
"J'ai besoin de me retrouver seule et de couper"
La jeune maman, qui avait insisté sur sa volonté de reprendre sa vie, et avait demandé à ses followers de respecter son choix, en a rajouté une couche, ce dimanche 2 juillet. "Pour répondre à une autre question qui revient souvent, si le contact est toujours présent avec Fabrice : l'expérience se déroule en plusieurs temps, plusieurs étapes, ce sont de véritables montagnes russes. Il y a le mariage, les tournages courts et très intenses à la fois. Puis les diffusions plusieurs mois après et la médiatisation/l'exposition. Nous sommes humains et ça fait beaucoup d'un coup donc tout ça fait que j'ai besoin de me retrouver seule et de couper," a-t-elle expliqué, précisant n'avoir aucun regret quant à son degré d'investissement dans cette aventure.