Cyril Hanouna adore faire parler ses chroniqueurs de leur vie privée. Les téléspectateurs sont friands d'anecdotes et les chroniqueurs ne se font généralement par prier. Mais encore faut-il avoir quelque chose à raconter ! Si Gilles Verdez et Jean-Michel Maire ne sont pas avares en histoires croustillantes, on peut néanmoins se poser la question de leur véracité...
La pire rupture amoureuse de Jean-Michel Maire
Dans le nouveau numéro de Touche pas à mon poste diffusé ce mardi 15 octobre sur C8, Cyril Hanouna a demandé à ses chroniqueurs quelles étaient leurs pires anecdotes sentimentales. Bien évidemment, Jean-Michel Maire, séducteur invétéré, a été le premier à prendre la parole. "La dernière, c'était il y a 4 ou 5 ans, j'habitais avec ma copine au 1er étage, je rentre de Paris, et elle me balance toutes mes affaires par la fenêtre", raconte-t-il, ajoutant que jusque-là, c'est une rupture assez classique. "Mais par la suite, ce sont enchaînés des messages d'insultes sur tous les réseaux. Je recevais 50 ou 60 messages par jour donc je l'avais bloquée sur tous les réseaux, elle ne pouvait plus m'envoyer de message et là, elle a eu un coup de génie, elle m'a envoyé un message d'insulte, le dernier, en me faisant un virement bancaire de 0,01 centime intitulé vulgairement". L'anecdote est drôle et fait beaucoup rire en plateau sauf que... personne n'y croit.
Kelly Vedovelli persuadée que Jean-Michel Maire a tout inventé
"J'affirme que c'est faux", s'exclame Kelly Vedovelli, et d'étayer son accusation : "c'est un truc qui a été à la mode sur les réseaux sociaux, que quand on ne peut plus contacter la personne, on lui fait un virement", avec un intitulé explicite donc. "T'as une vie de dingue avec plein de meufs et tu racontes des mythos", s'agace la chroniqueuse qui a su convaincre l'ensemble de la bande. Vexé, Jean-Michel Maire n'a pas dit son dernier mot. Il a profité de la pause pub pour retrouver la trace du dit virement et en dévoiler la capture écran à l'antenne. Mea culpa pour Cyril Hanouna et l'ensemble des chroniqueurs forcés de constater que, cette fois au moins, Jean-Michel Maire n'a pas raconté des salades.