"Elle ment", règlement de comptes entre Gilles Verdez (Touche pas à mon poste) et Isabelle Morini-Bosc
    Arthur Marchesseault
    Arthur Marchesseault
    -Rédacteur
    Arthur est notre spécialiste des Emissions télé et téléréalité. Particulièrement fan de Koh Lanta et de l'Amour est dans le pré, Arthur adore suivre et nous raconter la vie de ceux qui font l'actu télé.

    Comme souvent sur le plateau de TPMP, le ton monte entre les chroniqueurs. Ce mercredi 9 octobre 2024, c'est Gilles Verdez qui a accusé Isabelle Morini-Bosc de mentir.

    Capture d'écran Touche pas à mon poste / C8

    Touche pas à mon poste est depuis longtemps une émission incontournable du paysage audiovisuel français, et son animateur, Cyril Hanouna, en est le véritable maître de cérémonie. Son rôle dépasse celui d’un simple présentateur. Il est à la fois l'animateur, le catalyseur des débats et souvent le provocateur. Parmi ses chroniqueurs emblématiques, on retrouve des personnalités comme Gilles Verdez, connu pour ses prises de position tranchées, Valérie Bénaïm, plus complice avec Hanouna, et Isabelle Morini-Bosc, qui apporte son expérience journalistique et son franc-parler.

    "Je vais peut-être le frapper"

    Parmi ses chroniqueurs emblématiques, on retrouve des personnalités comme Gilles Verdez, connu pour ses prises de position tranchées, Valérie Bénaïm, la plus douce et complice avec Hanouna, et Isabelle Morini-Bosc, qui apporte son expérience journalistique et son franc-parler. Gilles Verdez, toujours passionné et parfois impétueux, a alors accusé Isabelle de mentir, sous-entendant qu'elle ne connaissait pas vraiment la réalité du terrain. "Déjà je voudrais dénoncer un mensonge, c'est celui d'Isabelle Morini-Bosc", avant de se faire reprendre par Cyril Hanouna, pas prêt d'entendre des critiques sur sa chroniqueuse. "Je vais peut-être le frapper par en-dessous", a rétorqué Isabelle Morini-Bosc avant que son collègue ne reprenne. "Elle a osé dire que c'était l'enfer le métro pendant les JO. Mais n'importe quoi", explique-t-il, détaillant la fluidité des transports lors de cette période. "Mais je les ai pris", a confirmé la chroniqueuse. Sur de lui, Gilles Verdez a insisté : "Mais c'est faux tu mens. Devant 2 millions de gens, elle ment", s'est-il indigné. Pour clore le débat, la question a été de savoir si Cyril Hanouna avait utilisé les transports lors de l'événement. Son "oui" a provoqué le rire unanime des chroniqueurs, mais surtout d'Isabelle Morini-Bosc et de Gilles Verdez !

    Une soirée particulièrement tendue

    Ce n'était pas l'unique clash du jour. Plus tôt dans l’émission, un nouveau débat a mis Cyril Hanouna et Valérie Bénaïm face à face, cette fois-ci autour du thème sensible de l'éducation des enfants. Lors de la Tribu de Baba, Valérie Bénaïm a posé une question qui a rapidement mis Hanouna mal à l’aise : "Vous êtes un papa copain vous Cyril ou un papa strict ?". Une question à laquelle l'animateur a répondu d’abord de manière évasive, avant de visiblement se sentir piqué par cette intervention. Tentant de dissimuler son malaise avec humour, il a rétorqué à Valérie : "Mais qu'est-ce que vous voulez Bénaïm ?". Elle a alors expliqué qu'elle voulait simplement "partager des expériences de vie", une démarche qu'Hanouna n'a pas semblé apprécier, répliquant avec une blague cinglante : "Vous allez la partager avec le groupe Pôle emploi bientôt."

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