Les châteaux, Jean-Pascal Lacoste connaît bien. En octobre 2001, le Basque étrennait celui de la Star Academy avec le succès qu'on lui connait. Arrivé presque miraculeusement jusqu'en demi-finale, le joyeux drille a profité de cet engouement populaire pour sortir un single, certifié disque d'or, et apparaître dans plusieurs émissions de télévision. Cyril Hanouna n'a même convaincu de devenir chroniqueur dans Touche pas à mon poste, où son franc-parler ne faisait pas tâche lors de débats animés.
Jean-Pascal Lacoste évincé des Cinquante à sa propre demande
Plus de vingt ans après ses premières (fausses) notes à Dammarie-les-Lys, le plus célèbre des agitateurs a accepté la proposition du Lion de se jeter à corps perdu dans l'arène des Cinquante. Avec son ex-complice du télé-crochet Patrice Maktav, "Jipé" s'est mêlé à d'autres candidats de téléréalité, beaucoup plus jeunes et motivés que lui pour devenir l'élu. En danger dès la deuxième épreuve du jeu, il a demandé expressément à ses nouveaux camarades, Jordan et son super-pouvoir en tête, de l'éliminer. Une requête acceptée par tous puisqu'avec aucune voix sur 34, le doyen des joueurs a quitté l'aventure. "C’est un peu spécial mon départ. Je suis parti du jeu quelques jours après mon arrivée. Il y a eu un trop-plein de plein de choses", a expliqué à Télé-Loisirs celui qui s'imaginerait bien chaperonner la nouvelle promotion de la Star Academy.
Le caractère de Jean-Pascal Lacoste, coupable de son élimination des Cinquante
Au cours de ce même entretien, le sanguin quarantenaire a confié que son tempérament lui avait encore joué des tours. "Moi je reste Jean-Pascal, avec mon caractère, ça m'arrive de péter les plombs... J’ai parfois des décisions positives ou négatives à mon encontre et là, il y a eu le décès de ma mère un peu auparavant, là je suis dans un nouveau jeu… À ce moment-là, je suis sorti de mes gonds et je suis parti du jeu", a rapporté celui qui a été éliminé en même temps que Linda, Valentin et Beverly. "Je n’ai aucun regret, c’est comme ça, je l’ai vécu à fond. Dans mon attitude oui, mais après je n’ai aucun regret parce que je suis resté moi-même", a conclu un Jean-Pascal Lacoste, une nouvelle fois droit dans ses bottes.
