La date a été entourée au feutre rouge par tous les fidèles de N'oubliez pas les paroles. Dès le samedi 30 mars 2024, les meilleurs candidats du karaoké de France 2 s'affronteront lors du fameux tournoi des Maestros. Pour cette sixième édition, les seize participants seront réunis en quatre équipes afin de tenter, lors de chaque prime, de gagner jusqu'à 100 000 euros pour une association. Pour corser la compétition, Nagui a décidé d'introduire de nouvelles règles, encore tenues secrètes, lui qui a dévoilé en direct un principe imposé par la production aux candidats :
Margaux, Laurens et Caroline, futurs adversaires du tournoi des Masters
Parmi les concurrents qui s'affronteront dans l'arène figurent bien évidemment la reine Margaux mais aussi trois petits nouveaux, Étienne, Morgiane et Laurens. Ce dernier avait été éliminé le 30 novembre dernier après 58 victoires et 457.000 euros de gains. Le professeur de mathématiques avait supplanté à la deuxième place du classement Caroline, titulaire de 56 victoires et d'une cagnotte de 416 000 euros. Cette dernière avait félicité son confrère pour son "parcours de dingue" et sa "solidité à toute épreuve". "Bienvenue dans l’espace sacré entre ma Margaux d’amour et moi, en sandwich quoi !!! ! À très vite, hâte de te rencontrer", lui avait écrit sur Instagram la Parisienne. Le moment est bientôt venu.
Caroline prévoit "un EP"
Mais avant leur affrontement, Caroline a utilisé ce même réseau social pour dévoiler son tout nouveau projet, qu'elle prépare depuis plus d'un an. Pour Télé-Loisirs, la responsable d'équipe dans la grande distribution s'est confiée sur les motivations qui l'ont conduite à se lancer dans la musique, et notamment à sortir son premier single, On ne dit rien. "C’est quelque chose que j’avais envie de faire depuis longtemps", a souligné celle qui n'a pas pour autant plaqué son métier. La super Maestro a de la suite dans les idées. "Après l'été, j'aimerais bien pouvoir sortir un petit EP avec peut-être 4-5 titres. Là, en étant à Paris, je vais sûrement faire quelques scènes ouvertes, des bars pour voir comment sont reçus ces titres par le public. Après pourquoi pas organiser des concerts plus personnels", indique-t-elle, marchant sur les traces de Margaux, elle aussi compositrice à ses heures perdues.
