Il est devenu un visage bien connu du petit écran : depuis quelques mois, Simon Castaldi, fils cadet de Benjamin Castaldi, s’est lancé à corps perdu dans le monde de la télé-réalité et de l’influence. Le jeune homme enchaîne les tournages et a notamment été vu dans Les princes et les princesses de l’amour, Les marseillais vs le reste du monde ou encore Objectif : reste du monde. Le fils de Benjamin Castaldi faisait aussi partie du casting des Cinquante, la télé-réalité évènement de W9 diffusée en 2022. La première édition de ce jeu qui avait réuni tout le gratin de la télé-réalité a été remportée par Julien Bert, mais Simon Castaldi n’avait pas démérité puisqu’il s’était hissé jusqu’en finale.
Simon Castaldi révèle combien il a été payé pour le tournage des Cinquante sur W9
Ce vendredi 16 juin 2023, Simon Castaldi était l’invité de Jordan De Luxe, sur C8, dans son émission people Chez Jordan. Comme à son habitude, l’animateur a été très intéressé par la question des salaires touchés par le jeune homme depuis le début de sa carrière à la télévision. Avec honnêteté, Simon Castaldi a alors dévoilé combien il avait touché pour le tournage des Cinquante : “Le plus long [tournage] que j'ai fait ça doit être Les Cinquante et j'ai dû prendre environ 6 500 euros en fiche de paie, parce que je suis allé au bout”, a-t-il dévoilé devant un Jordan De Luxe circonspect, s’attendant plutôt à un chiffre autour des 30-40.000 euros. “C’est un fantasme”, a alors rebondi Simon Castaldi. “[6500 euros], c’est une belle somme ! J’étais content de la gagner pour un tournage… C’est les tarifs ! En tout cas c’est mon tarif”, a-t-il conclu.
Simon Castaldi épinglé par la répression des fraudes suite à certains de ses placements de produits
A côté de son activité télévisuelle, Simon Castaldi est très actif sur les réseaux sociaux, où il est influenceur. En mai dernier, le jeune homme a toutefois été réprimandé par la répression des fraudes, comme certaines autres stars des réseaux. Il lui a été reproché de ne pas clairement indiquer à ses abonnés la visée commerciale de certains de ses posts et de ne pas systématiquement citer les marques pour lesquelles étaient réalisées certaines publications. "Ces pratiques, qui s'apparentent à de la publicité cachée, sont des pratiques commerciales trompeuses au sens du code de la consommation.", peut-on lire sur son compte Instagram, sur lequel il a été sommé d'épingler trois posts de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes.