Votre avis sur The Substance ?
Santimarie63

2 critiques

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3,0
Publiée le 26 février 2025
Pas mal....dommage que le film parte en vrille aux 2/3 et se transforme wn fim " gore" rigolo et ridicule. Car le sujet et le projet étaient prometteurs
A noter quand même la performance exceptionnelle de Demi Moore.
Chris Schittulli

1 critique

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1,5
Publiée le 25 février 2025
Cela avait bien commencé mais malheureusement le scénario par un petit peu trop à l'extrême et gache tout, ceci etant dit les acteurs sont tres bons,
du coup je repars me faire une beauté...
4,0
Publiée le 24 février 2025
Il y a pas a discuter, on est pas loin d'un chef-d'œuvre du genre. C'est extrêmement bien filmé, c'est beau, les acteurs sont parfait, le scénario est nouvateur et surtout le film à quelque chose à dire. Mais pour moi, les 30 dernières minutes gâchent tout. J'aime quand c'est barré, mais alors là, on touche au wtf.
Adrijoly

1 critique

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1,0
Publiée le 24 février 2025
En faite c’est juste une version du portrait de Dorian Gray. Assez déçu de ce film voir impossible à regarder à partir de la moitier. Ça commence bien. Mais il ne se passe rien.
0,5
Publiée le 24 février 2025
La première partie commence bien , on sent venir le bon thriller avec une fin moralisatrice et une leçons à en tirer sur le culte du corps. Mais que dalle! La seconde partie on commence à perdre espoir tant le film s’enfonce dans ce qui se trouvera irrécupérable tant la médiocrité et l’affligeance sont de haut vol . Ca vole vraiment très haut tellement d’ailleurs qu’on se perds dans le méandre intersidéral .
Bref le temps est précieux alors faites en bon usage et éviter ca .
Patrick Munoz

1 critique

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1,0
Publiée le 22 février 2025
Le film et le scénario sont magnifiques pendant la première heure: jusqu’à ce que Élisabeth commence à vieillir. A partir de là, à mes yeux, toutes les images suivantes viennent gâcher les images précédentes ( qui étaient tellement prometteuses des images suivantes !).Cela aurait pu être un chef-d’œuvre en restant dans la continuité et l’esprit de la première partie du film. Quel gâchis !
Il y avait tellement d’ouvertures possibles pour imaginer un scénario qui sublime la première partie. Par exemple, le créateur de la substance menace de ne plus la fournir. Le créateur que l’on découvre enfin et dans son environnement, qui demande énormément d’argent pour continuer à la fournir. Élaborer un scénario autour de cette idée ou autres idées.
Les deux femmes etant sublimes, elles devaient le rester jusqu’à la fin afin de maintenir les spectateurs en extase.
Dès le départ du scénario , le spectateur conçoit inconsciemment que la fin sera fataliste, il y avait donc matière à la faire.
Je suis donc parti frustré et déçu. Regrettant d’être allé voir ce film qui n’encourage pas à retourner en toute confiance au cinéma. Les effets spéciaux ne doivent pas être utilisés pour démontrer des compétences techniques, mais pour apporter un plus à la qualité d’un film. Que dire de la bagarre surréaliste et indécente entre les 2 femmes ? C’est pitoyable de regarder cela, je souhaitais partir tout de suite, mais ma compagne voulait malgré tout connaître à la fin du film.
4,0
Publiée le 22 février 2025
Difficile à décrire ce film. C'est un coktail explosif de plusieurs genres.
Pour rien spoiler, je dirais que c'est un film original qui a le mérite de surprendre. Le scénario est bien trouvé et la réalisation est excellente. Même si la fin peut partager, je recommande ce film étonnant.
4,0
Publiée le 21 février 2025
Je sors du film . Ouahhhhh quelle claque mazette. Bon je ne vais pas en rajouter car tout le monde a tellement parlé sur ce film.
Deux actrices formidables.Un sénar génial. Dommage je ne peux pas mettre 5 étoiles à cause du trop plein dans la dernière demie heure de gore inutile. Mais 1h50 d'un excellent film
4,5
Publiée le 21 février 2025
Whaou ! Alors ça, ça décoiffe. Le trio d'acteurs est incroyables, le propos et la dénonciation du culte du corps notamment à travers le patriarcat télévisuel est puissant. Demi Moore est exceptionnelle et incarne à merveille cette femme rejetée de son show parce qtrop vieille, un peu comme son statut à Hollywood et comme celui de la plupart des femmes actrices de son âge qui se voient refuser des rôles. Elle porte le film en acceptant une transformation monstrueuse, métaphore de la vieillesse et accompagné de son alter ego jeune qui incarne la chirurgie esthétique, recherche vaine de la jeunesse éternelle. C'est gore, très gore, répugnant et furieusement dénonciateur. Un film à voir !
1,0
Publiée le 20 février 2025
La critique Chevreuils Asso Ciné : The Substance (9 novembre 2024) ⚠️ SPOIL ⚠️

Un problème de timing

Dans sa première demi-heure assez réussie, Demi Moore (interprétant Elizabeth Sparkle) livre une excellente performance assumant les gros plans qui trahissent son âge sous scalpel. Présentatrice vedette d’une émission de fitness comme on en fait plus (c’est sans doute le problème), Elisabeth Sparkle se fait congédier au profit d’une femme plus jeune, plus fraîche, plus belle. Le film nous économise de toute réflexion, en nous imposant des stéréotypes et prêt-à-penser datés, et nous frustre à rebours de ne pas nous avoir donner de matière à progresser. La réalisatrice semble avoir mûri trop longtemps la problématique du culte de la jeunesse et de la beauté, pour finalement la traiter aujourd’hui de façon anachronique.

Quelle vision de la femme ?

Le film ne fait pas la part belle aux hommes. L’exagération du jeu (Dennis Quaid en producteur grand-guignolesque) est à la limite du grotesque. Au final, on est plongé dans un monde qui ressemble vaguement aux clips rock des 90’s, s’indignant à l’époque de ces mêmes codes de réussite qui étaient à l’ordre du jour (voir par exemple « Black hole sun » de Soundgarden). Les hommes dirigent, sont moches et vulgaires. Mais les femmes ne sont pas mises à l’honneur pour autant. Elles sont résumées à leur corps, chair fraîche ou vieillissante, une semaine sur deux. Le corps vieillissant devient gênant à faire détourner le regard ; le corps jeune est scruté sous toutes les coutures, ce qui ne manque pas de nous mettre mal à l’aise. Mais le film ne donne aucunement la parole aux femmes. Peu de dialogue, à aucun moment on accède à la pensée des femmes sinon sommaire, qui consiste à souhaiter jeunesse et beauté. Elles sont objets, subissent le temps, se tirent la bourre pour grappiller quelques minutes de fesses fermes, et n’évoluent pas. Au final, on ne dépassera à aucun moment la question du corps. On surfe sur les attentes caricaturales du féminin d’une époque révolue. La réalisatrice s’échine à tenter de couper la tête d’un monstre décapité depuis plusieurs décennies. D’autres monstres, plus insidieux, plus sournois, sont probablement à anéantir.

Des références en (sur)abondance

Le film s’inscrit dans la lignée de « Requiem for a Dream » qui abordait déjà les thématiques de la gloire, l’ambition et la déchéance, en 2000. Au montage frénétique, également emprunté à Darren Aronofsky, s’ajoute de nombreuses références non dissimulées : De Palma, Kubrick, Hitchcock, Cronenberg, Carpenter, Gordon, Lynch... Presque indigeste.

Une fin qui manque de tripes

Beaucoup de sang, mais pas de tripes. Un final pseudo rageux qui n’exprime rien de la colère qui devrait être celle d’Elizabeth Sparkle, mise au ban d’une société où seule la jeunesse est succès. Au contraire, ce qui reste de cette présentatrice de fitness (sorte de monstre de chair Elephant woman) continue de chercher l’amour de son public tentant désespérément de le séduire une dernière fois, dans des artifices qui la ridiculisent. Le rapport qu’entretient Elisabeth Sparkle avec les normes esthétiques n’évolue pas. La scène finale est agressive mais sans propos. Les spectateurs se font hurler dans les oreilles déjà pleines de 2 heures de sons décortiqués, organiques et vomitifs. Misophones, s’abstenir. C’est Carrie au bal du diable sans la colère, sans l’élaboration... Et surtout sans le diable. On attendra jusqu’au bout un sursaut de vengeance ou un retournement de situation. Raté.

Y'a-t-il une autrice derrière la caméra ?

Telle une parodie des ZAZ, mais sans l'humour à la clé, Coralie Fargeat enchaîne les références de films presque plans pour plans (Kubrick, 3 fois quand même), sans servir son propos. Les règles du switch entre les deux corps ne sont jamais posées, les a-t-elle elle-même pensées ?
On assiste à un clip de 2h20 où l'insistance de la caméra sur le corps de Sue (personnage (sur)-incarné par Margaret Qualley) n’est qu’un prétexte pour se rincer l’œil, au détriment de la question du féminisme. La réalisatrice propose un message inepte, et surfe sur un genre peu produit en France (« Body Horror ») dont elle se sert sans vergogne comme gage d’originalité. Il en résulte des tas de chair, et des litres de sang, qui ne suffisent pas à nouer les ficelles grossières d’un scénario stérile, digne d’une série Z (à gros budget).
Ines Amallah

7 critiques

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5,0
Publiée le 19 février 2025
Très bien comme film un peu bizarre mais agréable à regarder et puis plutôt hors du communs avec une réflexion
Olivier B.

15 critiques

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5,0
Publiée le 18 février 2025
Une claque visuelle. Une photographie brillante. Un rythme parfait pour un sujet d’actualité.
Ce film est le meilleur manifeste féministe qu’il m’a été donné de voir.
5,0
Publiée le 18 février 2025
Exceptionnel ! Une vision féroce de ce besoin d’être vu qui pousse au pire, brillamment transcendée par le fantastique. La violence à l’écran n’y est pas gratuite (c’est rare) et nous montre jusqu’où l’on peut se perdre ! Très bien joué également ! A voir absolument !
5,0
Publiée le 18 février 2025
Dans ce film gore franchement très jouissif qui marque le retour de Demi Moore sur grand écran, la réalisatrice française Coralie Fargeat livre un body horror bourré de références. Volontiers grotesque, ce long-métrage qui se fait plaisir et qui nous fait plaisir prend la forme d’une critique au vitriol d’un système hollywoodien aux mains de quelques mâles blancs qui imposent une pression constante sur le corps des femmes – et détournant tous les codes habituellement utilisés par eux. Elisabeth (Demi Moore, donc), ancienne gloire recyclée dans une émission d’aérobic, se fait remercier le jour de ses 50 ans. Elle va alors se laisser tenter par une mystérieuse substance qui lui promet un rajeunissement express…mais à quel prix. Un film à la fois dense, éprouvant et volontiers comique, mis en scène avec la froideur inhérente au huis-clos d’un appartement cossu californien, et dont l’évidente facétie nous emmène toujours plus loin dans l’horreur et la dinguerie.
4,5
Publiée le 17 février 2025
Très bon film
Mais avec toute les scene de nudités j ai eu la gaulle tout le long du film surtout sur le monstre à la fin
Les meilleurs films de tous les temps