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Léana Assani
1 critique
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0,5
Publiée le 22 novembre 2024
D’abord attirée par le nom du film, je dois dire que j’ai été surprise du concept. N’ayant pas tout compris, au plus le film avance, au plus on y trouve des incohérences. Sans parler de la fin qui fait un peu bâclée.. je n’ai pas du tout apprécié le film qui m’a fait plus peur qu’autre chose !!!!!!!! ;(((
histoire tres originale , excellentes interpretations , je regrette que la fin soit quand meme un peu "gore" la realisatrice n'y est pasllee de main morte et cest presque - a mon avis - trop mais en general cest un bon film qui traite du corps et de la societe
J'ai tenue tout le fîlm dans l'espoir d'une amélioration de l'intrigue ou de l'histoire.. mais jaurais du quitter la salle et ne pas perdre tous ce temps dans un film aussi mauvais!! Heureusement que les actrices jouent tres bien mais c'est la seule chose positive! Il y avait pourtant quelque chose a faire de bien je pense mais finalement c'est de pire en pire au fur et à mesure..
Les trois premières parties de ce film étaient réellement intéressantes. La texture, la photographie, l’idée en elle même et le travail des maquilleurs étaient maîtrisé. Mais alors, la dernière partie de ce film part totalement dans des proportions que je n’aurais jamais cru voir dans un film « sérieux ». C’est mal amené, mal fait, cliché, c’est stratosphérique à un tel point qu’on ne demande qu’une chose : que le film s’arrête et de ne plus jamais en entendre parler. Comme à chaque fois qu’un film est présenté et qui fait polémique au festival de Cannes….
Film choc ! Totale réussite, film intense sans longueur avec une esthétique époustouflante. Tout se passe très bien, je comprends les 30 dernières minutes et les respectent…mais n’apprécient pas forcément.
De loin l’expérience cinématographique la plus intense, malaisante et jouissive que j’ai vécue depuis longtemps ! Tout est complètement dingue dans ce film dont on ne sait pas où il va nous emmener si ce n’est vers le pire, et ce sera encore bien en dessous de l’imagination délirante de son autrice . Et aussi et avant tout un choc esthétique. Âmes sensibles s’abstenir et tous les autres, courez -y !
Incroyable ! D’un esthétisme inouï , un son extraordinaire. Des actrices et acteurs au top. Une photo parfaite ! Ce film particulièrement bien réalisée et original (et gore bon c’est vrai surtout la fin !) m’a transportée dans une autre dimension ! La fin trop exagérée sûrement peut vous décevoir mais finalement avec le recul on comprend la subtilité et les références avec d’autres films cultes ….donc pour moi c est un 5/5 ! Bravo à la réalisatrice française ! Et vivement les Césars 2025
Avec Revenge, Coralie Fargeat avait signé un premier film bien fait et trash (à mille lieux des Fées cloches, une série de sketchs comiques destinée aux enfants avec laquelle elle avait débuté) mais qui ne faisait pas spécialement preuve d’une grande originalité dans le domaine du rape and revenge. En signant The Substance, la réalisatrice passe nettement au stade supérieur. En effet, le film possède une idée de départ extrêmement originale et de véritables idées de mise en scène sur chaque plan. Coralie Fargeat ne craint jamais de choquer le spectateur et fait preuve d’une radicalité totale dans sa direction d’acteurs, son propos et ses images. En effet, elle pousse à fond la caricature de ses personnages (notamment celui incarné par Dennis Quaid) car elle ne joue pas dans le domaine du réalisme mais dans celui de la fable trash et barrée qui n’hésite pas à citer les cinéastes qu’elle admirespoiler: (la moquette du studio de télévision renvoie clairement au Shining de Stanley Kubrick quand la musique de Sueurs froides d’Alfred Hitchcock n’est pas carrément réutilisée) . De même, elle n’hésite à aucun moment d’aller dans le body horror de plus en plus poussé (on pense inévitablement à la première période de David Cronenberg) pour virer carrément au gore le plus total dans un final (où l’aspect volontairement comique et grotesque sert de soupape au le sentiment de malaise pour le spectateur). Il serait tout de même injuste d’attribuer la réussite de cette allégorie sur la recherche éternelle de la beauté et sur la chirurgie esthétique à Coralie Fargeat en oubliant de citer Demi Moore. En effet, si on peut apprécier la performance de Margaret Qualley, c’est l’actrice de Ghost qui illumine complètement l’écran. N’ayant pas peur de jouer sur son côté vieillissant (même si étrangement son personnage a une dizaine d’années de moins qu’elle en réalité) en allant jusqu’à la nudité la plus totale (chose dont elle n’était pas du tout une spécialiste dans ses jeunes années, malgré ses prestations dans Proposition indécente, Harcèlement ou surtout Striptease), elle trouve peut-être ici la plus grande performance de sa carrière. Ainsi, malgré certains points de scénario pas obligatoirement clairsspoiler: (Elisabeth et Sue sont censées être la même personne mais ne partagent pas les mêmes souvenirs et deviennent même des rivales complètes) alors que c’est le Prix du scénario qu’elle a obtenu au Festival de Cannes et non pas d’autres plus adaptés (vu son travail purement cinématographique, la Palme d’or par exemple aurait sûrement été plus justifiée pour ce film que pour Anora !), The Substance est une œuvre totalement originale qui risque de complètement déstabiliser et écœurer une partie non négligeable des spectateurs mais qui va pouvoir emporter complètement un public adepte d’un cinéma plus dingue.
Du Gore esthétique : le corps rien que le corps dans toute sa présence physique et physiologique, magnifique et dégoûtant. Un film dérangeant et filmé avec la démesure qui sied. Une française loin des niaiseries habituelles et qui nous fait réfléchir bravo !
ce film est une vraie proposition de cinéma. La réalisation est brillante, les comédiens sont excellents, le tout avec des clins d’œil appuyés à des films et à ses réalisateurs, ce qui aurait pu être du plagiait mais la réalisatrice a l’élégance d’en faire des hommages. Voilà un film qui redonne tout son sens d’aller au cinéma avec l’envie d’y retourner vite.
Film de body horror percutant sur le diktats des apparences, la notoriété éphémère, la société du spectacle et l’appréhension du vieillissement. La réalisatrice Caroline Frageat a réalisé un film péchu, énervé et parfois énervant. Le rythme est impressionnant, le montage précis mais la réalisatrice s’est laissée entrainée par son récit et son propos. En plus d’une durée un peu exagérée, elle martèle et démontre trop, et ne suggère pas assez. Le film est enseveli par ses prouesses techniques au point d’empécher l’émotion d’apparaitre davantage. Malgré une bonne Demi Moore, on est plus au spectacle qu’a ressentir ce qui se passe dans la tete de l’héroïne. Cela reste très satisfaisant en l’état, le film a de l’impact et sait être pertinent, à l’image du dernier plan ironique qui ferme la boucle
Que dire de ce film incroyablement bien fait bien écrit bien réalisé c'est un bon film sur le sujet de la femme à partir d'un certain âge qui se fait remplacer parce que plus fraiche pour apparaître à l'ecran pour l'audimat toujours une question d'audience de pognon perso la fin à part les millions de litres de sang qui gicle partout ok est après une autre fin aurait pû être posible sinon j'ai bien aimé voilà
"The Substance" captive par son ambiance énigmatique et son intrigue pleine de suspense. Le réalisateur nous tient en haleine du début jusqu'à la fin, distillant les indices avec parcimonie. Les jeux d'acteurs sont impeccables, transmettant avec justesse la tension palpable qui règne tout au long du film. Une œuvre cinématographique troublante et fascinante qui ne manquera pas de marquer les esprits. On ressort de la salle avec une envie irrépressible d'en savoir plus, hanté par les mystères de "The Substance".