J'utiliserais comme outil de réflexion les questions rhétoriques, auquel aucune réponse ne sera donnée, puisqu'elles se trouvent toutes dans les autres commentaires ou documentation sur le film/livre. Elles n'invites qu'à la réflexion, je le précise une dernière fois."Ceci est le commentaire d'une tiers personne aillant vu le film, et donnant son opinion spontanément"Décors : Malgré un bref aperçu de Chicago en ruine lors des quelques premières minutes de film, et de 10 seconde vers le milieu (de nuit, super...), celle-ci reste un élément qui n'est absolument pas mis en avant. La ville semblait bien réalisée, peut être dommage qu'ils n'aient pas plus insister sur le cadre de vie des habitants autres qu'altruiste. Ville en ruine mais pas un seul décor de scène inspirant les vestiges d'une guerre.Scène de la tyrolienne : effort pour quelques décors d'immeubles qui passe plutôt près de l'héroïne, grâce à je ne sais quel miracle il n'y avait absolument pas un brin de vent ce soir là a plus de 200m du sol. Sur une tel distance, un vent de 1km/h aurait fait dériver le câble de plusieurs mètres. Elle n'aurais pas passer le premier immeuble. Je ne parlerais pas du second ni du tunnel... Juste un bon petit moment de rigolade bien appréciable malgré tout ;)Jeu des acteurs : Insipide. Aucune illusion dans leur jeu. Peut être n'ont-ils pas été bien dirigé pour correctement incarner leurs rôles, mais peut importe à qui la faute, ils ne font ressentir ni stress, ni réelle peur, compassion, amour, au final, pas grand chose à part peut être un profond ennuis.Incohérence : Se prendre un (vrai) coup de poing dans la figure fait souvent plus de dégât qu'un bleu à la mâchoire. Je ne sais pas pour vous, mais après la (les) rouste(s) qu'elle se prend, moi, je m'attendais à avoir peut être une lèvre fendu. Ou un oeil au beurre noir, à la limite, pas juste un petit bleu au bras qu'on pourrait se faire en se cognant dans un meuble. Scène du combat nocturne plutôt invraisemblable. Actrice toujours très pomponné, pas de transpiration ni rougeur à l'entrainement où elle semble pourtant s'acharner. Vitesse de course d'un unijambiste lors de ses montés de train (je vous en voudrait peut être moins si vous mettiez une doublure car la belle ne veux visiblement pas se fouler une cheville.)Mise en scène : Malheureusement trop, beaucoup trop, prévisible. Une réflexion durant le visionnage : C'est hunger game, mais en mauvais. Réflexion qui s'est trouvée avéré jusqu'a la fin.Echec de développement des personnages, aucun attachement ou identification possible. "Ils errent sans but..." au fil du scénario, comme un bouchon de bouteille emporter par un torrent, subissant totalement ce scénario trop peu travailler.Musiques : Thème plus qu'incohérent avec celui du film. Je ne vais pas voir un film de science fiction pour entendre les musiques qui passe sur les radios adressées aux jeunes ados de notre temps. Référence culturelle de BO adapté au style : Blade runner, par Vangelis ou hunger game par James Newton Howard qui sont tout simplement faites pour des films.Flemme ou manque de moyen (sait-on jamais), les musiques ne sont pas adaptées. "Elles me donnent l'impression qu'elles sont collées au hasard".Questions soulevée à la fin du visionnage : Pourquoi les érudits se plaignent-ils du gouvernement altruiste ? Le film aurait dû expliquer plus précisément ce point, car cela mène à une incompréhension de l'opinion des érudits à propos du gouvernement actuel. Pourquoi toute cette intrigue sur les cauchemars ? Toute personne réalisant qu'elle rêve et qui s'en sort est-elle donc à la fois intelligente, courageuse, généreuse, juste et amicale ? Malheureusement, les rêves lucides sont très courants, cauchemars compris. Du temps et de l'argents aurait été peut être mieux utilisé si ces scènes d'hallucinations avaient été abrégé et que l'accent avait été mis sur le produit neurologique (permettant, il me semble, de façon beaucoup plus concluante de détecter les divergents, puisque 3 ont été détecté avec directement visible dans le film, et seulement 1 grâce aux rêves uniquement connus par anecdote.)Sportif = cool, sincère = la vérité selon kant : « Sur un prétendu droit de mentir par humanité », fraternel = hippies qui cultivent de l'herbe, altruiste = coincé/faible, Savoir = Cruauté/inhumanité/danger, Sportif, fraternel, altruiste, sincère et savant = cas rarissime, à abattre sur le champ.Si vous lisez ceci et que rien, absolument rien, ne vous interpelle, alors vous avez un grave problème. Je ne m'étendrais pas sur cette logique.Précision : Livre non lu. Mais un film se doit d'être clair sans son livre. Faisable, un exemple : Misery. Un parmi tant d'autres.Annexe utile aux lecteurs : Google :Doit-on toujours dire la vérité ? Une approche philosophiqueYoutube:BO de divergente : Divergent Soundtrack (Deluxe Version) t=41m30sBO de Blade runner : Bladerunner Full Score t=1h11m24sBO de hunger game : The Hunger Games - Full Original Motion Picture Soundtrack t=15m16s