Soulagement pour Nadège Lacroix à quelques heures d’être maman
    Pauline Hétu
    Pauline Hétu
    Pauline est à l'affût du moindre buzz et de la moindre séquence qui fera parler sur les réseaux sociaux. Elle se passionne pour les histoires des personnalités françaises et internationales qui animent notre quotidien sur le petit écran.

    La gagnante de la saison 6 de Secret Story est sur le point d’accoucher comme elle l’a annoncé en story sur son compte Instagram le lundi 18 novembre 2024.

    Instagram @lacroixnadege

    Les téléspectateurs ont découvert Nadège Lacroix dans la saison 6 de Secret Story. Enceinte, elle n’a qu’une hâte, de faire la rencontre de son petit bout. Si ça ne semble pas pour tout de suite, elle y a vu plusieurs signes annonciateurs. "Oh my god je viens de tout vomir. Je me suis réveillée ce matin, je me suis fait un thé aux fruits rouges et un jus d'orange pressé... J'ai tout vomi ! C'est horrible. Ce qui peut être un signe annonciateur d'un accouchement (rires)", a-t-elle partagé en story le lundi 18 novembre 2024. Elle angoissait d’ailleurs d’être déclenchée chez le gynécologue.

    Gros soulagement pour Nadège Lacroix

    C’est un immense soulagement pour Nadège Lacroix. En effet, si cette dernière avait peur d’être déclenchée chez le gynécologue, il n’en est rien. "Les amis je rentre de chez le gynécologue", a-t-elle annonce en story. "Mon appréhension c’était qu’on me déclenche, en fait on ne me déclenchera pas, ni cette semaine, ni samedi comme je pensais, ni même la semaine d’après", a-t-elle expliqué. Elle a précisé qu’il n’y avait plus de bouchon. "Je suis ouverte", a-t-elle ajouté.

    "Il peut arriver d’une minute à l’autre"

    "Ils m’ont dit qu’il pouvait arriver d’une minute à l’autre, mais si ça prend dix jours, ou si ça prend deux semaines, et bien on attendra.", a-t-elle raconté. "Je suis trop soulagée parce que je n’avais pas envie d’être déclenchée, parce qu’apparemment quand on déclenche les contractions font encore plus mal, et c’est encore plus difficile de ne pas avoir la péridurale", a-t-elle expliqué. "Je suis contente car on reste dans quelque chose que je voulais, naturel, sans déclenchement, sans péri, si j’arrive, je croise les doigts." Elle a cependant encore quelques examens et bilans sanguins à faire le plus vite possible. "Il faut que je prenne mon mal en patience, j’avoue que c’est dur d’être dans son corps et de ne pas se reconnaitre’, a-t-elle confié. "De ne pas pouvoir bouger, aller à droite, à gauche, je prends sur moi, même si ça doit durer encore dix jours, même si je suis épuisée." Elle tient le bon bout !

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