Ce vendredi 15 novembre, le sixième prime de la saison 12 de la Star Academy a illuminé TF1, marquant une soirée riche en émotions. Le thème de la semaine, axé sur les surprises, a pris tout son sens sur la scène du studio 217. Marguerite a eu l’immense honneur de chanter Femme Like U aux côtés de Julien Doré, une collaboration inédite après ses récentes visites au château. De son côté, Maureen a interprété Ensemble en duo avec Aliocha Schneider, offrant un moment suspendu dans le temps. Mais c’est Marine qui a vécu le choc de la soirée : alors qu’elle pensait chanter avec Ebony sur Heavy Cross, c’est finalement Beth Ditto en personne qui l’a rejointe sur scène. Si le prime a su ravir les spectateurs et les élèves, il s’est conclu sur une note plus mélancolique : les académiciens ont dû dire au revoir à Masseo, éliminé après des performances poignantes.
"Encore des sushis ?!"
Après l’effervescence du direct, les élèves ont retrouvé un peu de calme au château, où un repas les attendait. Fidèle à la tradition, la production leur avait préparé des sushis, une habitude qui semble pourtant ne pas plaire à tout le monde. Ebony, connue pour son franc-parler, a exprimé sa lassitude : "Encore des sushis ?!" Une remarque qui a déclenché quelques rires, mais aussi des regards étonnés parmi ses camarades, visiblement moins dérangés par cette répétition. Si ce menu ne semble pas au goût de la chanteuse, les autres n’ont pas manqué d’apprécier ce moment de détente. Reste à savoir si cette critique influencera les choix culinaires des prochains repas d’après-prime.
Ebony se confie sur le harcèlement subi
Enfin, le sujet du harcèlement scolaire a pris une dimension particulière cette semaine avec la visite de Brigitte Macron au château, dans le cadre de la semaine nationale de lutte contre ce fléau. Les élèves ont pu échanger avec la Première dame, qui a partagé son engagement pour la santé mentale des jeunes. Ce thème a touché de près Ebony, qui a révélé avoir été victime de harcèlement dès la maternelle. Elle a confié les blessures laissées par cette période, notamment lorsqu’elle était systématiquement désignée comme la "sorcière" dans les jeux, en raison de sa différence. "Je me sentais toujours la méchante de l’histoire", a-t-elle confié, évoquant un poids émotionnel qu’elle porte encore. Ce témoignage poignant a ému ses camarades et rappelé à tous l’importance de sensibiliser et d’agir contre le harcèlement.