Il pensait être éliminé dès le début et pourtant, Jacques a réalisé une magnifique prouesse dans l’épisode du mardi 12 novembre 2024. Il a en effet remporté les deux épreuves, et en était particulièrement fier. Il est revenu sur son état d’esprit auprès de Puremédias. "Je me suis préparé sérieusement avant de partir, et aujourd'hui, je suis très fier et heureux d’avoir pris cette décision", a-t-il raconté, avant d'ajouter : "Si je n’avais pas montré un minimum d’envie, on m’aurait éliminé rapidement. J’ai réussi à prendre sur moi, en me souvenant des conseils de la professionnelle que j'avais consultée."
Jacques a vu une coach mentale avant Koh-Lanta
Avant Koh-Lanta, Jacques n’a pas lésiné sur la préparation mentale, qu’il considère aussi importante que la préparation physique. "J’ai vu une coach mentale, qui m’a aidé à savoir quelles images visualiser pour surmonter mes peurs dans les moments difficiles", a-t-il raconté. "J’ai aussi fait des séances de thérapie EMDR pour ma phobie des animaux, de la forêt, et de tout ce qui rampe. J’ai une peur bleue de tout ça en temps normal. Sur le camp, c’était difficile, mais je parvenais à maîtriser mes angoisses", a-t-il ajouté. Une technique qui semble porter ses fruits.
"Je déteste être dernier"
Une préparation mentale qui lui sert beaucoup dans le physique également. "Je suis un mauvais perdant. Je déteste être dernier. Je n’ai pas toujours été dernier, mais gagner était important pour moi. J’ai été dur avec moi-même de ne pas réussir à décrocher la première place", a-t-il évoqué toujours auprès de Puremédias. "Dans l’épisode 12, j’ai eu un moment de découragement. J’étais frustré de ne pas réussir à brandir ce totem, même si je ne perdais pas systématiquement." Ses deux victoires lors du dernier épisode ont donné à Jacques un véritable coup de boost pour la suite de l’aventure. "Je savais que je n’allais pas exceller en survie, ni physiquement, surtout avec toutes les opérations que j'ai subies. Je ne m'attendais pas à des exploits, bien que l’épisode 13 ait été incroyable pour moi.", a-t-il précisé. "J’ai eu la chance de faire danser tous ces enfants, et en tant que danseur professionnel, je peux vous dire que la danse est un langage universel", a-t-il raconté concernant son épreuve de confort. "Il n’y a pas besoin de mots, c’est le corps, le sourire, et ce partage d’amour qu’on a vécu ensemble. J’ai vu ces enfants sourire, malgré le fait qu’ils vivent avec le strict minimum." Un merveilleux souvenir pour le danseur.