Il l’a fait. Arrivé sur le plateau de N’oubliez pas les paroles le 2 décembre 2024, Benoît s’est qualifié pour les Masters jeudi 19 décembre. Un moment dont il rêvait sans vraiment croire qu’il pourrait se réaliser un jour. "C’est l’accomplissement d’un travail acharné, vraiment", a réagi celui dont la cagnotte s’élève désormais à 196 000 euros. "J’ai jamais autant travaillé dans ma vie pour quelque chose, honnêtement. Tout me paraît irréel pour le moment, mais je vais revoir les copains, quoi, c’est ça que ça me fait", a-t-il ajouté avant d’éclater de joie et d’aller embrasser sa mère, présente sur le plateau.
Laurens et Etienne félicitent Benoît
Si Benoît a déjà des copains au sein de la famille N’oubliez pas les paroles, c’est parce que c’est la deuxième fois qu’il participe au programme présenté par Nagui. Il connaît donc déjà Etienne, avec lequel il avait fait le pari fou de se faire tatouer s’ils rentraient tous les deux dans les Masters. Ce dernier a été très heureux de voir son ami franchir cette étape importante de son parcours. Il a réagi sur son compte Instagram : "Masteeeers, mon pote ! RDV dans quelques mois !", a-t-il écrit.
Un autre champion emblématique du jeu a réagi : Laurens, qui a jugé cette qualification pour les Masters "tellement méritée". "Bravo Benoît !", a-t-il écrit sur une vidéo, dans laquelle il filme son écran de télévision. Il retourne ensuite son smartphone, permettant de voir… que Benoît était à côté de lui pour assister à la diffusion de l’émission. La bonne entente semble régner entre les différents Maestros du programme !
Deux ans de préparation intensive
Photographe de profession et vivant dans une communauté écoresponsable dans le Maine-et-Loire, Benoît se prépare intensément pour N’oubliez pas les paroles depuis deux années. Déterminé et méthodique, il compte utiliser ses gains pour poursuivre le développement de son projet d’écolieu, mais aussi pour réaliser ses rêves de voyages autour du monde. Il va notamment pouvoir réaliser le rêve de sa mère, Janine, en l’emmenant au Népal. Jusqu’où va-t-il aller dans le jeu de Nagui ?
