Giuseppa et Paga, couple emblématique de la téléréalité française, sont à nouveau sous les projecteurs, cette fois-ci en compagnie de leurs deux filles, Giorgia et Adrianna. Le couple a récemment fait son retour sur le tournage de l’émission C’est la famille, après une pause marquée par l'arrivée de leur deuxième fille, Adrianna, le 21 mai 2024. Ce come-back, partagé avec leurs abonnés sur les réseaux sociaux, a ravivé l'intérêt des fans pour leur quotidien. "Aujourd’hui, on est en interview avec Paga, parce que comme vous savez, on a repris les tournages de C’est la famille", avait annoncé Giuseppa. Mais si la maman a repris les tournages, sa vie de maman a toujours son lot de difficultés.
Les nuits difficiles de Giuseppa : un combat sans fin
Après un allaitement éprouvant, Giuseppa doit maintenant affronter un autre défi : des nuits sans sommeil. Ce vendredi 18 octobre 2024, elle a partagé sa détresse sur Instagram, expliquant que sa petite Adrianna ne dormait plus la nuit. "4ème nuit blanche de la semaine, je suis au bout de ma vie, Adrianna ne dort plus la nuit", a-t-elle écrit. Bien que son bébé ne pleure pas, elle reste éveillée pendant des heures, rendant chaque nuit un véritable marathon pour ses parents. "Elle est juste éveillée et rien à faire pour l'endormir, on est sur 1h/2h de dodo, 1h d’éveil et 1h pour l’endormir", confie-t-elle.
Adrianna, un bébé qui fait des frayeurs à ses parents
Deux mois après la naissance, le 29 juillet, le couple a dû faire face à une situation inquiétante : Adrianna a contracté la coqueluche, une infection respiratoire sérieuse chez les nourrissons. Giuseppa avait confié à ses abonnés l’angoisse qui s’était emparée d’eux lors de leur visite aux urgences. "Adrianna a du mal à récupérer sa respiration", avait-elle écrit avec inquiétude. Malgré ce début difficile, les choses semblaient s’améliorer pour la petite Adrianna. Mais après, c'est l'allaitement qui a posé souci, et notamment le passage au biberon. "J’essaye chaque jour de proposer à Adrianna toute sorte de tétine mais rien n’y fait", avait-elle expliqué, mentionnant également que le refus des biberons complique parfois la routine familiale.