"J’avais une carrière toute tracée", ce plan de Gilles Verdez (Touche pas à mon poste) qui n'a jamais abouti
    Pauline Hétu
    Pauline Hétu
    Pauline est à l'affût du moindre buzz et de la moindre séquence qui fera parler sur les réseaux sociaux. Elle se passionne pour les histoires des personnalités françaises et internationales qui animent notre quotidien sur le petit écran.

    Mardi 8 octobre 2024, les chroniqueurs de Touche pas à mon poste débattaient en début d’émission sur la notion de richesse. Gilles Verdez a dévoilé le plan qu’il avait à la base.

    Capture d'écran La tribu de Baba / C8

    La notion de richesse, et comment devenir riche, était au cœur des débats pour les chroniqueurs de Touche pas à mon poste, le mardi 8 octobre 2024. Cyril Hanouna a en effet dévoilé une étude selon laquelle 69% des Français aimeraient être riches. L’animateur en a profité pour faire un tour de table et savoir, parmi ses chroniqueurs, qui rêvait d’être riche lorsqu’il était enfant. L’occasion pour Gilles Verdez de dévoiler le plan qu’il avait… mais qui n’a jamais abouti.

    Un plan de carrière infaillible

    Face à un Cyril Hanouna amusé, Gilles Verdez a raconté ce qu’il avait comme prévu. "Je voulais truster une dizaine de médailles d’or olympiques", a-t-il fait savoir. "Ça rapporte de l’argent. Je voulais être skieur de fond à très haut niveau. Faire fructifier ces médailles d’or en étant consultant vedette, et donner des conférences dans le monde entier au nom de l’olympisme, sur comment gagner des médailles d’or olympiques, et être payé une fortune", a-t-il expliqué. "100 000€ par mois, et j’ai tout raté", a-t-il conclu.

    Gilles Verdez, un ancien champion de ski de fond ?

    De tout ce discours, les chroniqueurs n'ont retenu qu’une chose : Gilles Verdez a longuement pratiqué le ski de fond. "Oui, à très haut niveau", a-t-il confirmé. "Mais ce n’est pas vraiment du ski, le ski de fond", a alors interrogé Géraldine Maillet avant de se faire huer par le reste des chroniqueurs. Un plan de carrière pour devenir riche qui semblait murement réfléchi par Gilles Verdez, mais qui n’a malheureusement jamais vu le jour. Isabelle Morini-Bosc elle, voulait épouser un "homme riche" afin de l'entretenir, ce qui n'a pas fonctionné non plus. "Il m’a poussé à travailler, puis il a regretté que je travaille, et le pire c’est que j’ai jamais arrêté", a-t-elle dit à propos de son mari en riant. Quant à Géraldine Maillet, elle a poussé un petit coup de gueule pour dénoncer le fait que les jeunes n’apprennent pas réellement à gérer leur argent en sortant de l'école, comme faire un emprunt par exemple.

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