Audrey Boibessot est à la tête d'une tribu de huit enfants : Mayeul (9 ans), Camille (7 ans), Ebbane (6 ans), Pia (4 ans), Foucauld (3 ans), Hildegarde (2 ans) et enfin Sernin (1 an). Le 12 décembre 2023, le petit dernier Tancrède,pointait le bout de son nez pour le plus grand plaisir de la famille : "Nous sommes très heureux de vous faire part de la naissance de Tancrède, notre huitième enfant. Tout s’est très bien passé. Merci pour tous vos gentils messages c’est vraiment très touchant. Bien à vous" écrivait-elle sur ses réseaux sociaux quelques heures après la naissance du garçon.
Audrey Boibessot bientôt à Paris
Désormais, la cheffe de clan n'hésite pas à partager sa vie quotidienne avec ses 115.000 abonnés. Et ce jeudi 26 septembre 2024, Audrey Boibessot a eu besoin d'eux. En effet, elle a posté une nouvelle story sur son compte Instagram pour leur demander de l'aide. Fin octobre, elle va se rendre à Paris avec deux de ses enfants, Camille et Ebbane. Malheureusement, elle ne connaît pas grand-chose à la capitale. "Je pense aller à Paris avec Camille et Ebbane fin octobre, je suis preneuse d'idées de trucs sympas à faire/voir, spectacle, expo etc. Merci".
Une vie à mille à l'heure
Une petite escapade qui va lui faire le plus grand bien. Pour cause, mardi 24 septembre 2024, elle expliquait sur ses réseaux sociaux être victime d'un petit coup de mou. "Oui, je suis malade, mais la vie continue, et je fais comme si je ne l'étais pas et puis la journée va passer comme ça". Il faut dire que sa journée était plus que remplie et qu'elle n'avait malheureusement pas d'autres choix. "Aujourd'hui on réceptionne toutes les nouveautés Cabaïa (une marque de maroquinerie, ndlr), donc en général c'est en palettes, on reçoit énormément de pièces donc ça va être très sympa. Je vais devoir tout installer dans le magasin. Tout pousser pour faire de la place. Voilà, c'est la prévision pour la fin de l'année".
Il faut dire qu'Hervé et Audrey ne chôment pas. En plus de la grande famille à gérer, ils sont à la tête d'un concept store à Mazère, dans l'Ariège. "Ça a été un changement de cap, mais on a décidé de ne plus sacrifier la vie familiale, et de la vivre autant que notre vie professionnelle […]. On voulait montrer que c’est possible de travailler et d’avoir une famille nombreuse, et que c’est possible d’entreprendre en ce moment, malgré les difficultés".