Participer à l’émission Familles nombreuses crée des liens entre les familles. C’est le cas pour la Famille Blois, et la famille Dol, dont les deux mamans sont devenues très copines. Lundi 5 août 2024, elles ont réussi à laisser leurs enfants respectifs pour s’offrir une journée entre copines à Paris, pour un évènement assez spécial. Une épopée parisienne qu’elles ont partagé toute la journée en story et pendant laquelle elles ont bien profité.
Ambre Dol et Diana Blois (Familles nombreuses) prêtes pour Pékin Express ?
Une épopée parisienne pendant laquelle les deux mamans ne sont pas ennuyées. En effet, elles se sont perdues à de nombreuses reprises dans la capitale. Des galères qu’elles ont prise sous le sens de l’humour, en s’imaginant vivre une aventure Pékin Express. "À Pékin on va être le premier binôme à se perdre à et finir solo", a écrit Diana Blois en repartageant la story d’Ambre Dol, dans laquelle on les voit se perdre dans le train. En tout cas, les deux copines ont eu de nombreux fous rires pendant cette folle journée. Une fois rentrées chez elles, elles sont revenues sur leurs aventures. "Journée excellente hier, on a tellement rigolé, cette fille est folle", a raconté Diana en story le lendemain. Une journée dont elles se souviendront longtemps.
La mise au point de Gérôme Blois
Le mari de Diana, Gérôme Blois, a dû faire une mise au point sur son compte Instagram concernant l’éducation d’Ethan, le fils de Diana. En effet, Ethan avait pour mission de surveiller le potager de ses parents, or Diana a retrouvé son potager sens dessus dessous. Elle avait confié être très déçue de l’attitude de son fils. "Je reviens sur la punition d’Ethan, car certains l’ont vu danser hier et se sont étonnés qu’il ne soit pas puni. On n’est pas des tyrans !", a dû rappeler Gérôme. "Entre ceux qui disent que ce n’est pas mon fils et ceux qui voudraient l’enfermer dans une cave… Sans déconner, redescendez ! Vous êtes des fous. Il est puni de téléphone, d’ordinateur et de sa tablette de dessin, c’est déjà suffisant. Je pense qu’il est déjà bien dégoûté. [...] Et finalement, on fait ce qu’on veut." À bon entendeur.