L'émission Affaire conclue diffusée depuis 2017 sur France 2, a connu de nombreux changements ces derniers mois. Après six ans à la tête du programme, Sophie Davant a quitté son poste pour animer sa propre émission quotidienne sur Europe 1, laissant la place à Julia Vignali. Ce changement a marqué une nouvelle ère pour Affaire conclue, avec Julia Vignali rapidement surnommée "la patronne" par les acheteurs, grâce à son charisme et son leadership.
Une belle équipe aux côtés de Julia Vignali
Pour cette émission, Julia Vignali est entourée de plusieurs acheteurs. Ils ont été nombreux à se succéder également depuis plusieurs années. Parmi les plus emblématiques, Pierre-Jean Chaleçon, qui est parti après s'être brouillé avec l'équipe, Julien Cohen également, mais aussi Caroline Margeridon. Il y a également des commissaires-priseurs qui viennent estimer les biens des candidats et ces derniers sont tout aussi connus. C'est le cas d'Enora Alix, arrivée dans le programme il y a six ans.
"Prendre le temps de discuter"
Elle partage l'expertise avec plusieurs de ses compères avec qui elle s'entend très bien comme elle le confiait dans Ciné Télé Revue en février 2024 : "Lors de chaque journée de tournage, trois experts sont présents. On échange souvent nos avis sur les estimations d’objets qui seront proposés dans l’émission. Celui avec qui je me régale, c’est Harold. Quand il n’est pas là, ça change mes habitudes."
Mais Affaire conclue n'est pas le seul projet d'Enora Alix. En effet, depuis quelques années maintenant, elle parcourt la France entière pour aller à la rencontre des Français et estimer leurs objets. Et actuellement même, Enora Alix est présente à Poitiers une une raison particulière. Comme le révèle le site Le 7, la commissaire-priseur est de passage dans la ville les 6 et 7 juin 2024 pour deux journées d'estimation gratuite. Pour ce faire, il s'agit de prendre rendez-vous avec elle pour estimer la valeur des "bijoux, montres, argenterie, pièces, dessins, tableaux, mobilier, art d’Asie, Art déco, Art nouveau, sculptures, céramiques, livres, timbres, jouets…" avec un seul objectif : "Casser l'image du commissaire-priseur que l'on ne veut pas déranger et prendre le temps de discuter."