Toutes les cartes sont redistribuées dans The Power. Dans ce jeu diffusé sur W9 depuis le 1er avril, mensonges et trahisons font partie du décor. Chaque semaine, Delta, la malicieuse intelligence artificielle des lieux, désigne un "Power Player" qui a le privilège de faire la pluie et le beau temps dans une magnifique villa de Malaga. À lui de tirer les bénéfices de ces pouvoirs sans se faire démasquer... sous peine d'élimination. La futée Maïssane a obtenu la première ce privilège et en a fait bon usage, obtenant l'élimination d'Océane El Himer sous fond de clash :
Afida Turner met le feu à la villa
Les treize joueurs savent désormais à quoi s'attendre, et Eddy a repris le flambeau en héritant du rôle de "Power Player". Une mission susceptible de perturber la figure emblématique de Secret Story. "Je ne suis pas encore prêt à assumer ce rôle là, je suis dans la mouise, tout se voit sur ma face...", a-t-il confié face aux caméras. Très vite, et dès l'épisode diffusé ce mardi 9 avril 2024 (déjà disponible sur 6playmax - attention spoilers), ses craintes vont se confirmer puisque plusieurs de ses rivaux vont le soupçonner d'être le fameux maître à jouer. Pourtant, lors de la première partie du numéro, ce n'était pas lui le centre du monde, mais une invitée de marque. La toujours enthousiaste Afida Turner a gratifié l'assistance d'un show dont elle est coutumière entre danse lascive et punchlines assassines.
Eddy, la méprise de trop ?
Mais la guest d'un soir ne s'est pas contentée d'enflammer la maison, elle a également semé la zizanie en donnant l'opportunité à Nikolo et Eddy de récolter un indice sur l'identité de la personnalité à démasquer. Et, en voulant dissiper les doutes, le second va créer l'effet contraire avec une boulette plus grosse que lui. "Je ne peux plus me voir cette salle", a-t-il lâché à Nikolo au sujet d'un lieu où le "Power Player" prend toutes les décisions. Une étourderie qui ne va tomber dans l'oreille d'un sourd. Le bel Italien va-t-il fait part de ses doutes à ses alliés ? Eddy pourrait payer cher son excès de bavardise...