Votre avis sur Vice-Versa 2 ?
4,0
Publiée le 20 juin 2024
Cela faisait 9 ans que l'on attendait une suite potentielle de ce petit bijou des studios Pixar Animation sorti en 2015, c'est enfin chose faite, et superbement faite !
Riley a maintenant 13 ans : dans sa tête, les 5 émotions historiques (Joie, Tristesse, Colère, Dégoût et Peur) vont devoir affronter ce qu'on appelle communément la puberté !
Et avec cette évolution vers l'âge adulte, d'autres émotions vont faire leur apparition, semant la pagaille dans le cortex de cette adolescente.
Comme le premier volet, le jeune public va adorer la collection de personnages hauts en couleur se trouvant dans la tête de l'héroïne, les plus âgés comprendront, eux, toutes les subtilités psychologiques entre le cerveau de Riley et ses actes dans la vraie vie.
Brillant, drôle, intelligent, parfois délirant, voilà un divertissement animé et familial à aller voir avec gourmandise, de 7 à 77 ans !
Un superbe trip mental !
Site CINEMADOURG.free.fr
4,5
Publiée le 21 juin 2024
Avec ce deuxième volet de Vice-Versa, le film est une véritable réussite car il explore toute une gamme d'émotions. C'est toujours un plaisir de retrouver Joie, Tristesse, Colère, Dégoût et Peur. De plus, de nouvelles émotions telles que l'Anxiété, l'Envie, l'Embarras et l'Ennui nous sont présentées. Nous avons également la chance de voir Riley grandir neuf ans après le précédent film, alors qu'elle entre dans l'adolescence. Cela nous permet de découvrir l'Anxiété, qui est un mélange de peur, de stress, de difficultés respiratoires, de palpitations, de sueurs et de tremblements, ainsi que des pensées anxieuses telles que les inquiétudes, les obsessions et les doutes.Même si ce film ressemble beaucoup au précédent en ce qui concerne l'aventure de Joie, nous sommes toujours émerveillés par ce que Pixar a réussi à accomplir.
Carla Piquemal

1 critique

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5,0
Publiée le 20 juin 2024
J'ai été voir le film en pensant que j'étais maintenant trop âgée pour le voir, mais j'ai été réellement émue, j'en ai même pleuré. Je trouve que ce film abordé la complexité des émotions humaines, tout en usant d'humour et de simplicité.
De nombreuses scènes mon profondément touchée !
4,5
Publiée le 19 juin 2024
J'avais pas vu le premier le film pour comparée. Je l'ai trouver excellent. Tout est parfait dans le film. Ça m'a donné envie de regarder le premier opus.
5,0
Publiée le 17 juin 2024
Présenté en avant-première, dans la lignée du précédent, Pixar nous propose une nouvelle plongée dans nos émotions et dans l'universel.
3,0
Publiée le 20 juin 2024
L'adolescence est un terrain toujours fertile pour les scénaristes pour (trop) souvent tombé dans les facilités et les clichés... SPOILERS cliquez pour en savoir plus !... Le choix des nouvelles émotions sont pertinentes et sont une fois de plus merveilleusement animées. Mais on a finalement peu de temps pour apprendre à les connaître et à s'amuser avec elles, à peine arrivées l'aventure fusent dans une évolution hyper classique et sans surprise. Mais le plus décevant reste le traitement de chacun des personnages "émoticones"...SPOILERS cliquez !... Soudain beaucoup plus de personnages l'écriture est logiquement plus ardue. La puberté éveille de nouvelles émotions et l'estime de soi est primordial, mais la frilosité autour même du terme "puberté" souligne une certaine auto-censure, et la guéguerre émotionnelle prend clairement le dessus sur la véritable métamorphose de Riley surtout dans le feu d'artifices fouilli de la dernière partie. Heureusement les 5 émotions originelles restent adorables et parfaitement raccords, la morale sur l'amitié toujours efficace et l'animation assez fun et classique pour plaire au plus grand nombre.
Site : Selenie.fr
1,0
Publiée le 20 juin 2024
Le film pouvait nous offrir mieux que ça, un scénario mal ficelé, un sentiment de malaise tout au long du visionnage, une vrai purge pour ma part, la seule qualité que je peux donner à ce film c'est une animation agréable, malheureusement je n'attribue qu'une seule étoile.
4,0
Publiée le 21 juin 2024
Quelle plaisir de retrouver cet univers !
J’ai adoré cette suite, elle traite parfaitement du sujet de la puberté et gérer ses émotions. Les personnages sont toujours aussi attachants. Anxiété a peut être pris trop de place sur les nouvelles émotions et du coup ces dernières manquent de développement.
L’animation est très belle, c’est toujours aussi touchant et divertissant. C’est passé super vite.
J’ai passé un excellent moment.
5,0
Publiée le 17 juin 2024
Vu en avant-première.
La suite à tenu ses promesses.
Pixar a bien respecté l’histoire. C’est magique et féerique l’histoire des émotion.
Mister Pottahh

14 critiques

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4,5
Publiée le 20 juin 2024
Vice versa 2 parle des nouvelles émotions qui arrive au quartier cérébral de Riley dû à la puberté qui gagne notre personnage désormais agé de 13 ans. Celles-ci ci vont, tout simplement, tout dérégler dans la tête de Riley. Alors que dire? Et bien c'est tout simplement un film exceptionnel. Visuellement bien sûr comme tout Pixar qui se respecte. Mais aussi dans l'émotion présente ainsi que le message bien distinct. Tout y est. C'est magnifique, c'est fantastique, c'est du Pixar. Mon seul bémol serai sur l'histoire à laquelle j'ai un peu moins accroché que le premier. Mais le film reste superbe visuellement et cinématographiquement. À voir et revoir pour petit et grand
4,5
Publiée le 20 juin 2024
Vu avec mes filles en 4dx on s’est régalé de revoir les personnages du premier volet tout en découvrant les nouveaux liés à l’adolescence ! Le résultat est très réussi et on passe un très bon moment ! Bravo pour cette suite
4,5
Publiée le 17 juin 2024
Au niveau du premier opus. Coloré, rythmé, drole et touchant.... Vice & Versa 2 fait le job. Pas mal de bonnes idées raffraichissantes même si la trame est proche du 1er film et que certaines émotions restent en retrait.
5,0
Publiée le 17 juin 2024
Vu en Avant-première j’ai vraiment adoré les thématiques l’animation l’humour et visuellement très créatif je l’ai préféré au premier
4,5
Publiée le 19 juin 2024
vu en avant-première. une belle prolongation du 1er épisode. ca nous rappelle notre adolescence. et toujours une réelle vulgarisation des mécanismes de notre cerveau.
1,5
Publiée le 1 juillet 2024
En quête de l’infini et au-delà, le studio Pixar a longtemps affirmé son autorité dans le monde de l’animation. Que ce soit sur le plan artistique ou émotionnel, cette filiale a su se démarquer de son parrain, le rongeur aux grandes oreilles. Malheureusement, créer et innover étaient de belles promesses que l’on peut croire éteintes aujourd’hui. Ce savoir-faire, magique et miraculeux et souvent artisanal, n’est plus. Conceptuellement très proche de "Toy Story" et de ses enseignements, profondément humains, "Vice Versa" avait tous les ingrédients pour surfer sur le même succès. Mais peut-on vraiment raconter plus que ce que le premier opus nous avait déjà offert ? Si aucun sentiment, et encore moins la tristesse, ne doit être occulté dans la vie, il en va de même pour toutes les imperfections qui composent le savoir-être de Riley, une adolescente qui continue de se chercher, quitte à trébucher, recevoir des coups ou décevoir son entourage. Le programme, aussi honnête et candide soit-il, tombe fâcheusement dans le piège de la suite de trop, trahissant les bases et la continuité d’une franchise noyée dans l’œuf.

Loin d’être le fer de lance d’un studio à l’agonie, Kelsey Mann succède à Pete Docter, scénariste et directeur artistique clé qui a forgé l’identité de Pixar. Il a enfin droit au premier plan, mais ni lui, ni ses scénaristes ne parviennent à susciter de l’intérêt dans ce projet trop convenu et mal aimable. Avant de démarrer dans la joie et la bonne humeur, place à une présentation exhaustive des émotions. Passé la voix off assourdissante de Joie et cette ouverture très anecdotique, il faut ensuite se résoudre à repasser par le même schéma narratif que le premier volet. À croire que les personnages n’ont rien appris de leurs erreurs. Un nouvel environnement approche et va vraisemblablement bousculer les habitudes de Riley, qui a enfin accepté la part de tristesse qui la fait avancer. Soucieuse de vouloir s’intégrer dans un nouveau groupe, la jeune fille va se laisser submerger par des émotions, a priori plus complexes que le quintet précédent. Mais au lieu de se manifester comme des émotions complémentaires ou évoluées, elles se livrent à un coup d’État, chamboulant par la même occasion tout le « sens de soi » que Riley (ou bien est-ce Joie ?) s’est bâtie.

S’il n’y a toujours rien à reprocher quant à la maestria technique et visuelle que les films Pixar ont à nous donner. On note le progrès, mais il s’agit d’un minimum syndical lorsque l’on entreprend une suite, qui n’en est pas vraiment une. Il ne suffit pas générer des particules en abondance sur la silhouette des petits héros colorés pour nous convaincre, car l’ensemble reste peu inventif pour suivre un rythme soutenu, sans temps mort. Entre passage obligatoire et thématique essentiel pour le jeune public, le second chapitre de Ridley se vante de porter une réflexion sur la puberté, s’il en est. Elle fut pourtant généreusement et ludiquement traitée dans Alerte rouge. Ici, elle se résume à des sauts humeurs aléatoires et une odeur corporelle changeante. Si le film ne passait pas son temps à rire de ces clichés au lieu de les développer dans la durée et avec pertinence, nous aurions sans doute eu plus d’emphase avec la crise de Riley. En trois jours de stage de hockey, c’est essentiellement la perte de l’enfance qui se joue, avec une belle remise en question sur l’amitié. Pourquoi pas en soi, rien n’est encore perdu à ce stade du long-métrage, mais le mouvement suivant provoque un effet boule de neige inarrêtable, même au terme du générique de fin.

Le conflit intérieur entre Joie et Anxiété relègue la majorité des autres émotions à des outils gaguesques ou bien pour illustrer des troubles bien connus des adolescents. Nous progressons donc dans l’inconnu, mais l’univers reste trop familier pour qu’on y distingue une éventuelle crise existentielle, si ce n’est par le biais de mauvaises décisions, prises les unes à la suite des autres. Puis, vient un passage outrageusement sarcastique, qui n’est là que pour brosser le portrait d’animateurs surexploités et sous-valorisés. Cet aparté est malheureusement sans incidence et ne constitue qu’une alternative à l’usine de rêves et de cauchemars que l’on a pu voir précédemment. L’intrigue émiette ainsi tout ce qui peut toucher à la confusion d’une adolescente anxieuse d’une éventuelle, et nouvelle, solitude.

Et que dire de l’accompagnement sonore d’Andrea Datzman ? Tout simplement inexistant. Ce détail est symptomatique de tout ce qui va de travers dans ce film, qui sacrifie toute la sensibilité de son propos, aussi bancal soit-il. Ce qui lui fait également perdre tout pouvoir lacrymal, car l’humour reste le seul argument de cette aventure introspective. Mais là encore, c’est la douche froide, c’est le dernier clou dans un cercueil vidé de son âme. "Vice Versa 2" commet ainsi l’irréparable en décalquant une structure déjà connue du public. Quant à l’expansion cérébrale et émotionnelle, on rétropédale jusqu’à la dernière séquence, car ce sont finalement toujours les mêmes aux commandes de Riley, dont l’avenir semble formaté. Une leçon assez dangereuse à transmettre, quand bien même elle ne soit pas volontaire.
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