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Guislain Dufourcq
3 critiques
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4,5
Publiée le 19 juin 2024
Très bon 2 eme film, il retranscrit bien les sensations qu’un adolescent peut ressentir. Le film est captivant et on ne s’ennuie pas. Encore une réussite pour pixar.
Superbe film, Je suis allée le voir en avant première et c’est une réussite ! Je n’avais pas vu la bande annonce et ne m’attendais pas du tout à une histoire pareil !
Si on passe outre notre préférence pour telle ou telle période de l'histoire Pixar, il faut admettre que le programme des années 2020 est étonnamment riche. Le raté Buzz L'éclair pris à part, le studio a continuellement cherché à redistribuer les cartes au fil de propositions gonflées et inédites. Le défi pour 2024 ? Retourner dans la tête de Riley et donc donner suite à l'un des derniers chefs-d'œuvres certifiés de la loupiotte, Vice-Versa. En voilà un challenge ! Le dernier à avoir tenté un truc pareil, c'était Toy Story 4 et il s'en sortait avec les honneurs mais pas plus. Le schéma se reproduit ici.
Dans les faits, le film de Kelsey Mann semble trop écrasé par l'ombre de son prédécesseur et se contente donc de répliquer sa trame (avec un soupçon d'Alerte Rouge, pour le thème central). Vous me direz que sur le principe, chaque volet des aventures de Woody & Buzz l'éclair reposait sur la même problématique. C'est vrai, sauf que les règles du jeu et adversaires en présence modifiaient considérablement la trajectoire et in fine l'expérience du public. Vice-Versa 2 n'est pas aussi créatif (ou téméraire) dans ce qu'il raconte, il manque ces moments de gravité qui déchiraient le cœur dans le premier. Un défaut qu'il s'efforce de compenser avec un rythme endiablé, énormément d'humour et quelques fulgurances (en plus de l'animation grandiose). On retiendra forcément l'alerte et le grand bazar de la puberté ainsi que le passage chez les souvenirs refoulés avec Bloofy, qu'on jurerait échappé de Dora l'exploratrice, et le combattant Lance Slashblade en erzats déluré du Cloud de Final Fantasy VII. Puis la petite séquence dans un open-space déprimant réservé à l'imagination (en miroir à la séquences des rêves dans le premier). On s'amuse beaucoup, il faut le dire. Comme Toy Story 4, il faut prendre ce second opus comme une parenthèse ou un complément. Très agréable mais pas indispensable.
Un dessin animé foisonnant et foutraque, qui manque d'enjeu tout établissant un climat anxiogène, ce qui peut constituer une réussite du point de vue du message mais pas nécessairement du point de vue du divertissement.
La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2024/06/vice-versa-2-de-kelsey-mann-un-poil.html
Une suite plutôt réussie mais qui ne surprend pas spécialement. L'arrivée dans l'adolescence et de l'ensemble de ses problèmes est bien gérée avec de belles idées en premier lieu les nouvelles émotions. Néanmoins ces idées restent timidement exploitées.
Un peu déçue …. Pas du visuel qui est toujours aussi génial ainsi que l’idée de base…qui est de personnifier nos émotions. Non ! Je n’ai pas vraiment retrouvé les problématiques des adolescents ….censés être traité par ce film d’animation… L’adolescence est ici réduite à des envies d’être prise dans une équipe de hockey ….tout faire pour y parvenir en oubliant ses valeurs….
Si un deuxième opus de Vice-Versa, consacré au tsunami psychologique que représente la puberté pour une adolescente, se justifiait pleinement, le scénario est un brin décevant. Retrouver les émotions originelles est plaisant, découvrir les nouvelles est amusant, mais leurs aventures somme toute convenues peuvent s'avérer assez ennuyeuses. Un film formellement réussi, sur une idée plutôt bienvenue mais qui reste assez caricaturale sur le fond et manque singulièrement d'humour : une petite déception.
Le premier Vice versa sorti, mine de rien, il y a déjà bientôt 10 ans, était plutôt une bonne surprise, un film d’animation original dans son concept, plein de trouvailles, et qui évoquait l’enfance avec intelligence.
Fallait-t-il forcément faire une suite ? Au vu du résultat de ce Vice versa 2, la réponse est non car même si la recette est quelque peu la même que pour le précédent volet, avec quelques personnages en plus (l’anxiété, l’ennui, l’embarras et l’envie), malheureusement la réussite n’est pas au rendez-vous... les créateurs préférant plutôt miser sur l’aspect visuel plutôt que sur le scenario et l’aspect psychologique.
Et l’effet de surprise qui fonctionnait à fond dans le premier Vice versa, n’est plus vraiment à l’ordre du jour. Résultat, on s’ennuie beaucoup durant la projection, malgré quelques clins d’œil sympathiques ici ou là.
Certes, le film ravira les enfants et les jeunes ados, mais laissera sans doute pas mal d’adultes nostalgiques de Toy Story et autres Mille et une pattes quelque peu dubitatifs devant ce film gentillet et bien inoffensif, au regard de ce qu’a pu nous proposer Pixar par le passé…. Mais ça, c’était avant Disney. https://www.hop-blog.fr/vice-versa-2-une-suite-qui-netait-pas-necessaire/
"Vice-Versa 2" est une suite audacieuse et créative qui parvient à capturer l'essence complexe de l'adolescence à travers un scénario inventif. Le film explore remarquablement les différentes émotions de Riley, qui doit maintenant faire face au plus grand défi de sa vie : la puberté. La suite introduit de nouvelles dimensions en ajoutant notamment l'anxiété, une émotion omniprésente chez les adolescents d'aujourd'hui. Cet ajout enrichit la palette émotionnelle du film, permettant une exploration plus profonde et nuancée des états d'âme de Riley. spoiler: La représentation de la crise de l'anxiété est vraiment bien réalisée : une tempête incontrôlable.
Cette critique propose le point de vue d'un adulte (à l'âge déjà avancé), qui a vu, revu et aimé le premier volet.
Commençons par ce que j'ai apprécié : les couleurs, les décors, les détails des personnages. L'animation est soignée, brillante même. J'ai retrouvé avec plaisir les anciennes émotions et j'ai découvert avec intérêt les nouvelles. La principale création est celle de l'arbre de la personnalité et, surtout, de ses racines, qui plongent aux tréfonds de la conscience de Riley.
Pour le reste, c'est du déjà-vu. La difficulté des relations entre parents et ados est abordée de manière très convenue, tout comme les changements qui s'opèrent à l'intérieur de Riley. On a même évité d'aborder tout une partie des mutations (physiques) de l'adolescence.
Au niveau de l'intrigue, le début surprend un peu, mais après... c'est presque un décalque de l'épisode précédent, avec spoiler: l'une des émotions qui provoque une catastrophe en croyant bien agir, l'univers mental de Riley en train de s'effondrer avant d'être quasi miraculeusement sauvé. Pour quelqu'un qui venait de revoir le premier film, c'était décevant.
Il y a même quelques erreurs au niveau du montage (bientôt un nouvel épisode de "faux raccords" ?) : dans au moins une scène se déroulant dans la chambre de Riley, spoiler: on la voit se coucher, successivement avec et sans chaussettes, sans qu'on l'ait vue les enlever. Quoi qu'il en soit, elle semble dormir avec ... On peut faire la même remarque à propos de l'appareil de protection des dents porté lors des matchs de hockey sur glace : spoiler: un coup il est retiré, la seconde d'après bien ajusté... Ce manque de rigueur est étonnant de la part de Pixar.
Au final, c'est un film sympathique et plutôt bien foutu, mais je fais partie de ceux qui attendaient plus de virtuosité et de subtilité.
Après avoir ADORE le premier film, j'étais très impatiente de découvrir cette suite. (D'ailleurs je n'étais pas la seule car la salle était pleine à craquer.) Je n'ai pas du tout été déçue. Comme dans le premier opus, les émotions ici sont traitées de manière profonde avec beaucoup d'accessibilité, d'humour et de tendresse. Ce film est un bijou d'imagination et offre pendant 1H30 un pur moment de bonheur
Vice Versa 2 était attendu au tournant, et Pixar relève le défi avec brio. Cette suite tant attendue ne déçoit pas. Les nouvelles émotions introduites sont très bien travaillées. Pixar réussit une fois de plus à nous toucher en plein cœur avec cette suite.
Vu avec enfants de 6/11/14 ans et moi 43 Personnellement je me suis régalé ! Les personnages, le scénario et la connexion avec le jeu d’émotions est vraiment bien construite Pour les enfants 6 ans c’est trop petit 11-14 ont aussi beaucoup aimé Très drôle également