Très bon film, dans la ligné du 1er. J'avais peur que le film soit une suite sans intérêt mais celui ci à réussi a me combler. En effet, malgré quelques nouvelles émotions pas toujours très bien exploitées le film arrive très bien a nous conter la suite de la vie de Riley à travers son adolescence et j'ai trouvé que le tout était assez bien écrit. Un nouveau film sur un autre moment de sa vie (jeune adulte par exemple) pourrait aussi s'avérer très intéressant.
Le 1er volet était tellement original avec la mise en scène des émissions en plein écran…A quoi pouvait-on s'attendre pour le 2eme volet ? C'est pas mal, on perçoit bien les métamorphoses émotionnelles de l'adolescence, mais on est moins captivé, rien d'inattendu dans l'histoire, peu de bons mots pour faire rire. Pas convaincue que le très jeune public (
Vice Versa 2 continue d'explorer l'esprit de Riley, maintenant ado. Le film introduit de nouvelles émotions qui reflètent la complexité croissante de ses sentiments en grandissant. Ces nouvelles émotions sont super bien développées et vraiment attachantes, ajoutant encore plus de profondeur à l'histoire.
Le scénario est génial, avec un parfait équilibre entre l'humour et les moments touchants. Peu importe ton âge, tu trouveras des trucs auxquels t'identifier. Les interactions entre les émotions sont à la fois drôles et profondes, montrant bien les défis émotionnels que Riley doit affronter en grandissant.
Visuellement, le film est encore plus impressionnant que le premier. Les animations sont éclatantes de couleurs et de créativité, rendant l'univers interne de Riley super captivant. La bande sonore est magnifique et accompagne parfaitement l'évolution de l'intrigue, rendant chaque scène encore plus émouvante.
Cependant, un petit point négatif, c'est que malgré l'introduction de nouvelles émotions, certaines intrigues secondaires ne sont pas assez développées. Quelques nouveaux personnages, bien que fascinants, manquent un peu de profondeur, ce qui peut laisser une impression d'inachevé. On aurait aimé en savoir plus sur eux, et certaines parties de l'histoire semblent un peu précipitées.
Le passage à l'adolescence de Riley est le prétexte à ce nouvel opus. Si techniquement, il n'y aucun reproche à faire, la technique étant assimilée et dupliquée depuis un bon moment, la trame est tout de même paresseuse dans son absolu manque d'audace. Riley représente donc un archétype, enclin à tous les travers de la sociabilisation vers l'âge adulte. Et le film se plante à mon sens sur toute la ligne de l'avis même d'une ado qui le regardait à coté de moi. Voici donc quatre penchants nouveau venus, que sont l'envie, l'ennui, l'anxiété et l'embarras. Sauf que les enfants plus jeunes les expérimentent déjà. La nouveauté serait le coté sexuel de l'adolescente. A quel moment est-il seulement évoqué? alors qu'il s'agit d'un point névralgique du comportement pubère. D'un autre coté, on note l'absence de deux autres facettes inhérente à la masse adulte et qu'une majorité d'ados reprennent à leur compte comme des gimmicks de la maturité, je cite la vulgarité et les interjections religieuses. Hors, rien de cela ici. Même si cela me plaît fondamentalement, ce n'est pas le fait de l'adolescence stéréotypée à laquelle on veut nous faire compatir. A coté de cela, comment ne pas évoquer le postulat qui prétend que les souvenirs fondent des croyances, alors qu'ils sont un retour d'expérience et conséquemment le moteur de la réflexion. Le film nous assène également le "meme" d'être soi-même, ce qui n'a aucun sens puisque la vie en société n'est basée que sur un consensus jugé acceptable par une communauté donnée. Etre soi-même, signifie s'exclure de ne pas en avoir assimilé les préceptes. L'analyse est faible, basée sur des principes à la valeur unilatéralement convenue. Pour ces raisons diverses le film rate son public cible pour s'adresser à une tranche d'âge inférieure. A moins que son seul but soit de décrire la seule voie possible pour l'adolescent d'atteindre la normalisation qu'on attend de tout formatage réussi. Aussi mièvre que déprimant donc. A ce stade, un seul opus suffisait amplement.
Pixar compte revenir très fort en faisant d’un des films le plus aimé du studio, le début d’une saga (à voir si il y en aura plus). Avec ce deuxième opus le succès espéré semble au rendez-vous vu le box-office international. Mais qu’en est-il du film ? Celui-ci commence et j’ai l’impression d’avoir une pure copie du premier puis, les nouvelles émotions arrivent avec l’arrivée notamment de la puberté, qui sert de prétexte ici, et finalement le film se re nouvel dans son récit et c’est plaisant à regarder. Au final, j’en garde un bon souvenir malgré quelques petites réticence. Tout d’abord, le road-trip des 5 émotions principales dans la tête de Riley n’est pas très intéressante, ce qui se passe dans le quartier cérébral est beaucoup plus pertinent. Puis le thème de l’adolescence est beaucoup trop bâclé. /!\ À partir d’ici spoilers. Étant donné que c’est un prétexte afin de métaphoriser les changements par la disparition des émotions de bases et l’apparition de l’anxiété, la honte etc… C’est un peu illogique que résoudre le problème en 3 jours dans la vie de Riley, sachant qu’au dernière nouvelle ce n’est pas forcément les délais (enfin bref). Après le film passe extrêmement bien, car pixar comme toujours, nous offre un long métrage tout de même de haute facture. A ce propos, l’animation n’est pas légendaire. Je ressort toujours d’un pixar avec des étoiles dans les yeux vus l’a beauté de l’animation. Ici, l’animation est extrêmement qualitative, mais nous ne sommes pas face à une révolution artistique. Bref, un très bon film d’animation avec des sujets et des idées excellentes mais qui malheureusement ne les poussent pas à fond à mon goût.
Pas marrant , trop moralisateur , ça aurait été sympas de jouer sur le côté nonchalant ou caractériel des ado que de nous pondre encore un truc de comment il faut être pour être une bonne personne !
Pas aussi imaginatif et inspiré que son prédécesseur, Vice-Versa 2 s'inscrit dans la lignée des suites ternes, pas foncièrement mauvaises, mais dont on ne peut pas tirer d'autre satisfaction que celle de retrouver un univers que l'on apprécie. La différence étant que l'originalité et le vent de fraicheur ont disparu.
On avait pourtant de quoi penser qu'une suite, suivant l'adolescence et la puberté de Riley, valait le détour. Les hormones opèrent, les personnalités évoluent, les ambitions naissent… Si ce n'est que la carte rabattue des amitiés changeantes nous est jouée : toujours à la recherche d'elle-même, Riley délaisse ses relations authentiques au profit d'une intégration superficielle à un groupe de filles populaires. On sait qu'elle blessera ses amies fidèles, regrettera et se ravisera.
C'est plutôt vers la palette élargie des émotions qu'on pourra trouver un développement des personnages. Si le premier film nous laissait entrevoir que les émotions avaient, elles-mêmes, leurs propres émotions – poupées russes qui auraient de quoi nous donner le vertige –, cet aspect-là est approfondi dans la nouvelle aventure qu'elles vivent. Peu d'évolution sur cette dernière, cependant, qui reprend le schéma linéaire du premier film.
L'instauration des nouvelles émotions laisse à penser qu'une personne peut être guidée par son anxiété ; cette représentation est réussie, mais entre en contradiction avec le premier film, qui laissait entendre que c'était l'absence de joie, en l'état, qui offrait le loisir aux quatre autres émotions de prendre le dessus, et d'aboutir à un résultat intempérant, versatile et destructeur.
Film vu en avant première, et même si je n'en attendais pas grand chose j'ai été quand même déçu.
Le film traite du sujet de l'adolescence, un sujet intéressant à première vue, mais assez fouillis dans l'ensemble. Les émotions font beaucoup de bruit pour rien, et les blagues tombent à l'eau.
Le film essaye d'être drôle sans jamais y parvenir, l'enjeu du film est sans interet et les multiples rappels à la pop culture et à la jeunesse est vu par des boomers.
Ce film à le cul entre deux chaises car il ne plaira pas aux enfants et ennuiera les plus grands. Perso j'ai trouvé le film lourd.