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    Vice-Versa 2
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    4,0
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    274 critiques spectateurs

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    Bichel Le Reuftax
    Bichel Le Reuftax

    3 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juin 2024
    Moins bien que le premier mais intéressant. On suit la continuité d'une vie et c'est touchant de voir le réalisme de ce qu'on peut vivre. L'animation est sympa mais sans plus sinon.
    Zo_rhm
    Zo_rhm

    2 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juin 2024
    Une suite sympathique et qui se regarde bien mais sans grand interet et qui sera vite oublié par le public.
    Cinememories
    Cinememories

    456 abonnés 1 440 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 juillet 2024
    En quête de l’infini et au-delà, le studio Pixar a longtemps affirmé son autorité dans le monde de l’animation. Que ce soit sur le plan artistique ou émotionnel, cette filiale a su se démarquer de son parrain, le rongeur aux grandes oreilles. Malheureusement, créer et innover étaient de belles promesses que l’on peut croire éteintes aujourd’hui. Ce savoir-faire, magique et miraculeux et souvent artisanal, n’est plus. Conceptuellement très proche de "Toy Story" et de ses enseignements, profondément humains, "Vice Versa" avait tous les ingrédients pour surfer sur le même succès. Mais peut-on vraiment raconter plus que ce que le premier opus nous avait déjà offert ? Si aucun sentiment, et encore moins la tristesse, ne doit être occulté dans la vie, il en va de même pour toutes les imperfections qui composent le savoir-être de Riley, une adolescente qui continue de se chercher, quitte à trébucher, recevoir des coups ou décevoir son entourage. Le programme, aussi honnête et candide soit-il, tombe fâcheusement dans le piège de la suite de trop, trahissant les bases et la continuité d’une franchise noyée dans l’œuf.

    Loin d’être le fer de lance d’un studio à l’agonie, Kelsey Mann succède à Pete Docter, scénariste et directeur artistique clé qui a forgé l’identité de Pixar. Il a enfin droit au premier plan, mais ni lui, ni ses scénaristes ne parviennent à susciter de l’intérêt dans ce projet trop convenu et mal aimable. Avant de démarrer dans la joie et la bonne humeur, place à une présentation exhaustive des émotions. Passé la voix off assourdissante de Joie et cette ouverture très anecdotique, il faut ensuite se résoudre à repasser par le même schéma narratif que le premier volet. À croire que les personnages n’ont rien appris de leurs erreurs. Un nouvel environnement approche et va vraisemblablement bousculer les habitudes de Riley, qui a enfin accepté la part de tristesse qui la fait avancer. Soucieuse de vouloir s’intégrer dans un nouveau groupe, la jeune fille va se laisser submerger par des émotions, a priori plus complexes que le quintet précédent. Mais au lieu de se manifester comme des émotions complémentaires ou évoluées, elles se livrent à un coup d’État, chamboulant par la même occasion tout le « sens de soi » que Riley (ou bien est-ce Joie ?) s’est bâtie.

    S’il n’y a toujours rien à reprocher quant à la maestria technique et visuelle que les films Pixar ont à nous donner. On note le progrès, mais il s’agit d’un minimum syndical lorsque l’on entreprend une suite, qui n’en est pas vraiment une. Il ne suffit pas générer des particules en abondance sur la silhouette des petits héros colorés pour nous convaincre, car l’ensemble reste peu inventif pour suivre un rythme soutenu, sans temps mort. Entre passage obligatoire et thématique essentiel pour le jeune public, le second chapitre de Ridley se vante de porter une réflexion sur la puberté, s’il en est. Elle fut pourtant généreusement et ludiquement traitée dans Alerte rouge. Ici, elle se résume à des sauts humeurs aléatoires et une odeur corporelle changeante. Si le film ne passait pas son temps à rire de ces clichés au lieu de les développer dans la durée et avec pertinence, nous aurions sans doute eu plus d’emphase avec la crise de Riley. En trois jours de stage de hockey, c’est essentiellement la perte de l’enfance qui se joue, avec une belle remise en question sur l’amitié. Pourquoi pas en soi, rien n’est encore perdu à ce stade du long-métrage, mais le mouvement suivant provoque un effet boule de neige inarrêtable, même au terme du générique de fin.

    Le conflit intérieur entre Joie et Anxiété relègue la majorité des autres émotions à des outils gaguesques ou bien pour illustrer des troubles bien connus des adolescents. Nous progressons donc dans l’inconnu, mais l’univers reste trop familier pour qu’on y distingue une éventuelle crise existentielle, si ce n’est par le biais de mauvaises décisions, prises les unes à la suite des autres. Puis, vient un passage outrageusement sarcastique, qui n’est là que pour brosser le portrait d’animateurs surexploités et sous-valorisés. Cet aparté est malheureusement sans incidence et ne constitue qu’une alternative à l’usine de rêves et de cauchemars que l’on a pu voir précédemment. L’intrigue émiette ainsi tout ce qui peut toucher à la confusion d’une adolescente anxieuse d’une éventuelle, et nouvelle, solitude.

    Et que dire de l’accompagnement sonore d’Andrea Datzman ? Tout simplement inexistant. Ce détail est symptomatique de tout ce qui va de travers dans ce film, qui sacrifie toute la sensibilité de son propos, aussi bancal soit-il. Ce qui lui fait également perdre tout pouvoir lacrymal, car l’humour reste le seul argument de cette aventure introspective. Mais là encore, c’est la douche froide, c’est le dernier clou dans un cercueil vidé de son âme. "Vice Versa 2" commet ainsi l’irréparable en décalquant une structure déjà connue du public. Quant à l’expansion cérébrale et émotionnelle, on rétropédale jusqu’à la dernière séquence, car ce sont finalement toujours les mêmes aux commandes de Riley, dont l’avenir semble formaté. Une leçon assez dangereuse à transmettre, quand bien même elle ne soit pas volontaire.
    norman06
    norman06

    323 abonnés 1 623 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juin 2024
    Un Pixar charmant et agréable mais l'effet de surprise s'est émoussé suite au brillant volet initial. Le scénario, prévisible malgré son caractère élaboré, est combiné à un graphisme techniquement au top mais sans réelle magie.
    cinono1
    cinono1

    272 abonnés 2 006 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 juin 2024
    La force de l'écriture du premier volet s'est un peu évaporé. Bien que les deux histoires soient proches, les enjeux sont plus faibles ici quand on regarde le premier épisode (nouvel environnement, fugue, conflit parental). Ici il s'agit de plaire à de nouveaux amis, curieux que les tourments de l'adolescence aient si peu inspiré les scénaristes .Les nouvelles émotions/ personnages ,hormis anxiété, ne sont pas vraiment développés. C'est un spectacle dynamique, amusant, mais sans véritable inspiration, ni enjeu
    Chris58640
    Chris58640

    190 abonnés 737 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juin 2024
    C’était un pur enchantement de découvrir « Vice-Versa » la toute première fois. Ce film d’animation subtil, drôle et qui avait le bon gout de s’adresser à l’intelligence des enfants en leur délivrant un message complexe et assez pointu, tout en restant hyper ludique. Alors forcément, avec « Vice-Versa 2 » le plaisir de la découverte n’est plus aussi fort. Ceci dit, le deuxième volet est largement à la hauteur du premier volet sur le fond. Mené à fond la caisse (1h36), l’action se déroule sur deux petites journées seulement. Cette fois-ci, j’ai choisi de découvrir le film en VOST, j’ai donc eu le Joie d’entendre les voix d’Amy Poeler (Joie), Liza Lapira (Dégout), Lewis Black (Colère), Tony Hale (peur) et Phillys Smith (Tristesse) rejointes par Maya Hawke (Anxiété), Ayo Edibi (Envie), Paul Walter Hauser (Embarra, qu’on entends forcément très peu), et surprise, Adèle Exarchopoulos (Paresse). Et oui, pour une raison que je préfère ignorer, il fallait absolument que Paresse ait un accent français à couper au couteau ! Le film fourmille d’idées visuelles épatantes, spoiler: comme la pluie d’idée, la crise d’anxiété, la montagne de mauvais souvenirs, le coffre-fort des secrets, la faille du sarcasme (j’adore) ou encore l’équipe d’anxiété qui travaille encore et toujours à élaborer les pires scénarii possibles. Cette dernière scène est l’occasion d’un clin d’œil très court à « 1984 » de Gorges Orwell que seuls les adultes peuvent repérer.
    Et puis, le réalisateur Kesley Mann profite de diriger un film Pixar pour rendre hommage au dessin animé à l’ancienne, aux designs des jeux vidéos ou aux collages. C’est ludique, c’est charmant et c’est intelligent. Si le premier volet tentait d’expliquer aux enfants que la Tristesse était un sentiment qui pouvait faire avancer, qui pouvait colorer avec nuance les souvenirs heureux, le scenario de « Vice Versa 2 » va encore plus loin dans la complexité des sentiments. C’est normal car avec la fin de l’enfance arrive des sentiments plus ambivalents qui menacent de tout chambouler. Riley, chez qui la puberté se déclare (très) brusquement, apprend que ses deux meilleures amies ne seront plus dans le même lycée qu’elle à la rentrée. Elle participe à un stage sportif avec des filles plus âgées, elle veut réussir, elle veut leur plaire. Voilà la jeune fille en proie a des sentiments qu’elle maitrise mal : l’envie de plaire, la perte de sa confiance en elle, le sarcasme, la tentation de braver les interdits. spoiler: Dans sa tête, la nouvelle équipe prend le dessus et expédie loin les anciens sentiments jugés trop « enfantins » et trop « simplistes ». L’intrigue consiste donc pour Joie et ses amis non seulement à réintégrer le quartier cérébral, mais aussi à récupérer la jolie sculpture représentant l’estime de soi, qui a été bazardée par la nouvelle équipe.
    Ici, il n’y a pas de bon et de méchants, la nouvelle équipe ne veut pas le mal de Riley, elle veut la faire grandir c’est tout. Là encore, le message est subtil : pour construire une personnalité, on a besoin d’entremêler les sentiments, d’apporter de la nuance en toute chose, bref : de trouver une sorte de point d’équilibre avec toutes nos émotions, de trouver un point d’équilibre entre l’enfant que l’on a été et l’adulte qu’on va devenir. Et bien encore une fois, je trouve que c’est un pari très audacieux que d’essayer de faire passer un message aussi subtil chez des enfants. On peut regretter quelques petites choses comme le sous-emploi des parents par exemple, alors qu’il doit se passer pas mal de choses dans les esprits de parents sont la fille unique devient une adolescente. Et puis le film ne parle de la puberté qu’au travers du psychisme et pas du tout du point de vue du physique. Riley à 13 ans, il a déjà du se passer des trucs de jeune femme dans sa vie non ? spoiler: Mais c’est peut-être cela qui se cache dans le coffre fort des secrets, ce gros secret noir, énorme, qui refuse de sortir au grand jour : que symbolise-t-il ? Le film n’en dira rien, aux spectateurs de se faire leur propre idée.
    En résumé, même si « Vice Versa 2 » ne réitère pas intégralement la magie du premier film, il est quand même sacrément réussi dans la forme comme sur le fond. C’est un film d’animation hautement recommandable, et qui plaira aux grands, aux petits et peut-être même encore plus… aux adolescents.
    Eponaa
    Eponaa

    188 abonnés 1 108 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juin 2024
    J'avais moyennement adhéré au 1er volet le trouvant trop cérébral. Ici j'ai beaucoup aimé. Les sentiments de l'adolescence sont parfaitement analysés et la guerre entre les émotions représentent bien le branle-bas qui s'opère chez un enfant qui entre en puberté. Les jeunes spectateurs ne comprendront pas tout mais je pense qu'ils apprécieront néanmoins. J'ai passé un excellent moment.
    Fabien D
    Fabien D

    172 abonnés 1 113 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juillet 2024
    Avec Vice-Versa 2, les studios Pixar retrouvent un peu de leur superbe. C'est, en effet, un plaisir de retrouver les personnages et l'univers visuel du premier film. En introduisant de nouvelles émotions, en lien avec la puberté, le film, s'il peine à nous surprendre, sonne pourtant toujours juste. C'est grâce à sa portée universelle que le film des studios Pixar fonctionne si bien. Si ce que vit Riley est d'une grande banalité, ses ressentis sonnent justes. La représentation de l'anxiété est, sans conteste, la grande réussite du film qui, s'il ne devie pas d'un schéma classique assez proche du premier film, offre quelques moments d'une drôlerie réjouissantes ( spoiler: notamment le personnage de Banana outil tout droit sortie d'une série animée à la Dora, l'exploratrice)
    entremêlés de scènes plus émouvantes. Alors même si, contrairement à la saga des Toy Story, ce Vice-Versa 2 innove peu, il n'en demeure pas moins empreint d'une poésie et d'une sensibilité qui lui donne tout son intérêt.
    Math719
    Math719

    161 abonnés 654 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 juin 2024
    La magie des pixars !…
    Encore une fois, c’est vraiment génial, c’est très intelligent, il y a des réflexions très profondes derrière.
    Encore un pixar qui touche, et les spectateurs ont même applaudi à la fin, c’est rare, peut être un peu stupide, mais à la fois ça montre à quel point les gens peuvent être touché par le scénario, les images et le fond du film !
    On ne peut pas s’empêcher de verser une petite larme…
    Le temps passe très vite, rien de redondant, juste parfait !
    Romain S.
    Romain S.

    136 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 juin 2024
    Merveilleux, intelligent, drôle, touchant, sensible , surprenant , la suite de Vice Versa est une réussite absolue.
    Et il creuse la question des croyances de si belle manière , avec clarté et pédagogie .
    Ashitaka3
    Ashitaka3

    99 abonnés 1 190 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 juin 2024
    Cette suite maîtrisée visuellement s'en sort pas mal mais, selon moi, n'arrive jamais à égaler le premier film scénaristiquement parlant. Les personnages sont trop nombreux et ne proposent pas tous un caractère tranchant ( par exemple ennui, envie ). Certaines séquences auraient mérité plus de profondeur et qu'on y passe plus de temps ( le faille du sarcasme ou la prison des souvenirs refoulés). Je ne comprend pas pourquoi Joy refoule des mauvais souvenirs dans un endroit alors qu'elle a appris dans le premier film de gérer la double émotion.
    petitbandit
    petitbandit

    82 abonnés 623 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juin 2024
    Une belle prouesse visuelle et sonore, une animation dans la lignée du 1er opus avec des personnages sur les sentiments haut en couleur. Une complexité néanmoins pas toujours évidente à comprendre sur les différentes interactions, si ma fille de 12 ans semble avoir saisi le passage à la puberté et l’arrivée de nouvelles sensation, pas sûr que les plus petits aient tout compris. Un agréable divertissement.
    joelle g
    joelle g

    80 abonnés 851 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 juin 2024
    Un peu déçue ….
    Pas du visuel qui est toujours aussi génial ainsi que l’idée de base…qui est de personnifier nos émotions.
    Non ! Je n’ai pas vraiment retrouvé les problématiques des adolescents ….censés être traité par ce film d’animation…
    L’adolescence est ici réduite à des envies d’être prise dans une équipe de hockey ….tout faire pour y parvenir en oubliant ses valeurs….
    floramon
    floramon

    72 abonnés 1 382 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juin 2024
    Le film est réussi et très bien fait, avec de bonnes nouvelles idées. je l'ai trouvé quand même moins bien que le premier film mais le film reste agréable à regarder.
    24titouille
    24titouille

    26 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juin 2024
    Ce second volet de vice-versa s’inscrit dans une suite chronologique par rapport au premier volet. On retrouve ainsi Riley qui a grandit et attaque la puberté, et ses émotions personnifiées :joie, tristesse, dégoût, peur et colère ainsi que de nouvelles émotions liées au changement hormonal.
    On retrouve ainsi la saveur du premier même si U. Peu plus d’originalité au niveau du scénario aurait été la bienvenue.
    Mis à part ça le film est bien rythmé, la réalisation est bonne et on passe un excellent moment. On a même hâte de voir le prochain pour les prochaines aventures de Riley et ses émotions.
    Un très bon film à voir en famille.
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