Derniers Avis sur Final fantasy, les créatures de l'esprit

Je ne connais pas très bien l'univers dunjeu vidéo mais j'ai adoré ce film, que ce soit pr sa qualité graphique ou pour son scénario.
Le film est captivant et je ne me suis jamais ennuyé.
Depuis sa sortie je l'ai revu plusieurs fois (alors qu'habituellement je ne révisionne un film que j'ai déjà vu).
Je suis très surpris de sa faible note (inférieur à 3) ! Mais c'est vraiment un film à voir, je recommande !

Bien qu'aujourd'hui daté, ce premier volet d'une petite lignée d'adaptations de la mythique saga de jeux vidéo fut d'une assez particulière qualité visuelle pour l'époque, bien qu'étant une réelle révolution en 2001, là ou le tout numérique n'en était très clairement qu'à ses débuts. Un film certes daté donc mais très percutant pour autant avec un scénario global simple sur une espèce voulant aussi bien dominer un nouveau monde que l'espèce humaine en véritable voie d'extinction. Des échanges entre nos héros, ils ne manquent pas mais ce n'est bizarrement pas dérangeant tant les script restent percutant à suivre. Quant aux scènes d'action, nul à redire sur leur qualité d'orchestration. Enfin, le rapprochement encore et toujours à la mythologie Grecques avec l'évocation bien encrée de la divinité Gaia est toujours surprenante mais reste très cool. Du côté fr, les doublages sont aussi parfait que nostalgiques avec les v.f. de Kevin Costner, Anthony Hopkins & Michelle Yeoh en tête. Un volet inaugurale certes bavarde mais très prometteur pour la suite s'annonçant comme évènementielle.

A l'époque, avant tout une prouesse visuelle extraordinaire, qui a un peu vieillie au fil des années, en reste un très bon film de Science-fiction, mélange d'action et de promesse d'amour à la planète Terre et son âme !

Actuellement le 7ème plus gros "box office " de l'histoire du cinéma, personnellement je trouve que Final fantasy, les Créatures de l'Esprit est un bon divertissement. Le visuel est vraiment spectaculaire (tellement réaliste qu'on se demande pourquoi il n'ont pas fait un long-métrage en image réelle étant donné le budget très couteux pour un film d'animation de l'époque), la musique m'a énormément plus (le titre "The Phantom Plains" par exemple est excellent, et ce n'est pas le seul), l'univers est intéressant, il y a de bonnes scènes d'action et j'ai bien aimé les personnages. Pas mal.

Bon tres Clairement le film ne merite pas une note parfaite mais il ne merite pas non plus sa note actuelle tant il a marqué historiquement le cinéma.
Il a y as énormement de chose a dire sur la technique de se film ! Je vous invite a regarder l episode de chroma ou le futur episode de Durendal sur le sujet.

Pour ce qui est du scénario bon sympa mais ca reste du banal af saupoudré de sauce FF. Pas mauvais mais paq transcendant

Etonnant ce film lorsque l'on connait son histoire un gros échec en 2001. Une sorte d'effet miroir de son arrogance à croire en sa légitimité toute capitaliste. Le monde n'a pas validé cette arrogance et au final les producteurs et créateurs se retrouvent davantage dans le méchant militaire hargneux que dans les gentils scientifiques romantiques de l'histoire. En soit c'est de la S.F. originale pour ce qui est de la forme et de l'univers post cataclysmique mais une fois de plus mêlée d'une espèce de philosophie ou cosmogonie malvenue et peu attrayante. Un manichéisme sans subtilité, une tendance à l'horrifique et pas mal d'autres clichés de ce type d'histoire qui en fait un gros mélange peu créatif. La volonté de présenter cela comme une merveille révolutionnaire est une erreur, une prétention en soit malsaine que d'autres ont aussi fait, on pense à Avatar en 2009 avec moins de soucis car son caractère écolo et extra terrestre était beaucoup plus pertinent. Là nous avons une histoire très convenue avec quelques mauvais choix à laquelle des effets visuels nombreux n'apporte rien et le manque de fluidité a fini d'achever cette prétention à conquérir le monde et tel le méchant de l'histoire cela n'a été que de l'auto destruction assez justifiée par cette arrogance bien trop évidente.

Pour le contexte, le film est sorti en 2002. Pour l'aspect nostalgie, j'avais été le voir avec mon père, j'étais scotché à mon fauteuil et j'ai vraiment été ému par ce film... Bon en même temps, j'étais + jeune, ça aide.

Oui, ce film a causé la faillite de Squaresoft mais ce fût peut-être le cas car y'avait-il à l'époque une mauvaise com ou une publicité insuffisante? Peut-être qu'il a été un échec commercial car beaucoup s'attendaient à l'impossible : On ne peut tout simplement pas adapter un jeu vidéo en film. Si on reprend un exemple plus récent : Warcraft; ce n'est pas une adaptation. Si on reprend la sage Resident Evil, ce n'est pas une adaptation non plus mais une inspiration (les films s'inspirent des jeux vidéo), ce n'est en aucun cas une copie conforme. Les films sont un média et les jeux vidéo en sont un autre et ils n'obéissent pas aux mêmes codes / styles etc. Même si, on peut avoir des jeux vidéo cinématographiques (c'est le cas de MGS, de Final Fantasy ou encore de Resident Evil). Question timing, c'est clairement impossible, on ne peut pas "résumer" un J-RPG qui dure jusqu'à 100 heures (quand on veut bien développer les perso) en un film qui dure, à la louche 2h !

Oui, ce film porte le nom Final Fantasy, comme c'est le cas de films d'animation + récents comme Advent Children ou Kingsglaive. Advent Children n'est autre que la suite cinématographique du jeu vidéo FF 7, ce n'est pas un nouvel univers, ce ne sont pas de nouveaux perso... Je peux vous garantir que le film est un calvaire pour quiconque n'a pas joué au 7. Kingsglaive c'est tout l'inverse, un film (en images de synthèse) qui se veut préquelle au jeu vidéo FF 15.
Et oui, ce film (les créatures de l'esprit) a effectivement des clins d'oeil à l'univers FF en général : dans chaque FF il y a un perso qui s'appelle Cid (dans le film c'est le mentor de la docteure Aki Ross); il y a effectivement un chocobo (mais pas en tant que monture) en tant qu'écusson sur le t-shirt d'un figurant...

Par contre, d'un point de vue "idéologique" / philosophique, vous devriez savoir, en tant que fan de FF, que chaque épisode de la saga vidéoludique est unique en son genre (il n'y a pas de genre FF), ils sont tous différents les uns des autres, et même quand il s'agit du même univers, il y a de très fortes variations : exemple : FF 10-2 est franchement différent du 10, pourtant il revendique la suite du 10. Beaucoup de FF (peut-être tous?) ont un message écologique et peut-être même anti-militariste :

Si on prend FF 8 :
- on a affaire à un monde qui a été dévasté par la guerre des Sorcières; et surtout par l'affrontement de 2 Gouvernements (Esthar / Galbadia). Derrière ça, il y a eu énormément d'orphelin-e-s, ce qui explique que tous les protagonistes de l'aventure ont été élevés ensemble (sauf Linoa). On a les SeeDs qui sont censé-e-s tuer les Sorcières, pour pacifier le monde. Les gens qui ont crée ce groupe armé ne sont autre qu'une future Sorcière et son époux. Un jeu qui met l'emphase sur l'importance des relations, des sentiments et sur la sauvegarde de la planète : Face à toute cette désolation, la seule alternative est de faire attention à la terre...

Pour le cas du 10, le message écolo est encore plus criant :
- on a affaire, cette fois-ci à un monde totalement écrasé par la mort, à plus forte raison puisque nous sommes dans une théocratie. On nous explique que les monstres que l'on tue (enfin, que l'on envoie dans l'Au-Delà) ne sont que d'anciennes personnes qui sont mortes et n'ont pas été correctement envoyées dans l'Au-Delà et donc sont devenues totalement jalouses des êtres vivants et donc les attaquent, les tuent, c'est sans fin. Les Chimères se sacrifient pour que les Invokeurs puissent mener à bien leur pélerinage. Les Gardiens se sacrifient pour que leur Invokeur reste en vie. Les Invokeurs se sacrifient pour que le monde connaisse une période de paix (relative car limitée dans le temps). En sous-entendu, ça veut dire que le rapport à la nature est assez particulier : Si les monstres sont d'anciennes personnes, ça paraît logique qu'il n'y a pas de "commerce" de cadavres, de viande, etc... Dès lors qu'on n'est pas envoyé dans l'Au-Delà, on est immédiatement un Errant.

Pour le cas du 14, là encore, on peut se dire qu'il y a beaucoup de messages subliminaux :
- On a Hydealyn, le Cristal qui est le Dieu-Protecteur de toute forme de vie. D'ailleurs, en tant que joueur, on est appelé le Héros de la Lumière. Il y a encore une lutte, cette fois-ci, entre la Lumière et les Ténèbres. On a différents groupuscules, les "races dites barbares" qui sont les hommes-bêtes (hommes-arbres [les sylphes], les poissons [sahuagins], les taupes [les kobolds], les reptiles [les amal'jaa]...), et chaque groupe idolâtre un Dieu particulier : Les Primordiaux. Et les Primordiaux ne sont que les Chimères / Invocations. Là encore, y'a un 2ème manichéisme : avec un Empire (de Garlemald) qui est vraiment méchant, qui s'étend, par la violence. On nous explique, quand on joue au jeu qu'il y a comme un "flux", une "énergie" omniprésente et c'est cette énergie qui permet, éventuellement de lancer des sorts (manipulation des éléments etc). Dans le jeu, on fait quoi? On sauve le monde, en fait, on va même sauver une dimension parallèle...

Et dans le film (les créatures de l'esprit), là aussi, il y a un affrontement du Bien contre le Mal, il y a Gaïa, ou l'Esprit de la Terre (flux, énergie...), et de l'autre côté, les belligérents. Il y a aussi toute une théorie sur la mort (rappellez-vous que les prétendus envahisseurs extra-terrestres ne sont pas des envahisseurs et qu'ils n'ont pas survécu au voyage et c'est pour ça qu'on les appelle des fantômes... Ca évoque quand même les Errants de FF 10. On a aussi 2 camps qui s'affrontent : les partisans de la méthode douce dont les protagonistes du film font partie; ne pas utiliser d'armes contre les envahisseurs et collecter les esprits à droite à gauche pour "annuler" l'invasion. Et puis les partisans de la méthode forte, favorables à l'utilisation des armes. Le film nous montre que les armes sont inefficaces et même pire encore, elles rendent les esprits plus gros, plus résistants. A un moment donné, le gros méchant perd la tête, il décide de faire feu directement sur le centre de la terre : La terre qui était en train de se pacifier devient toute rouge / orange et envahit tout... En gros, ce sont les derniers instants du film mais il y a quand même un coup de théâtre. De justesse. Et le prix sera très lourd. Si vous n'avez pas vu le manichéisme et le message écolo, voire l'anti-militarisme dans ce film (tout comme c'est déjà le cas dans certains jeux vidéo), alors, je ne comprends pas ce que vous avez vu dans ce film. De toute évidence, nous n'avons pas vu le même film. Pour s'en convaincre, on peut citer le rapprochement suivant : l'histoire d'amour entre Aki et Gray, comme une allégorie du fait que l'amour est notre sauveur, reprend évidemment la relation Linoa-Squall de FF 8 ou encore la relation Yuna-Tidus du 10. Dans le 8, y'a la théorie Sorcière-Chevalier et le fait que progressivement Squall tombe amoureux de Linoa. Dans le 10, les Gardiens se sacrifient pour leur Invokeur, parfois, ça peut déboucher à de fortes relations amicales, voire des relations amoureuses. Bon, après, quand on fouille, le making-of du film, par exemple, on y apprend que le réalisateur Sakaguchi-san (qui n'est autre que le créateur des FF) venait de perdre sa mère juste avant de réaliser le film. Il reconnaît même que la Doc Aki Ross est un hommage à sa mère.

Un dernier détail : les qqs dernières images du film reprennent énormément le visuel de la fin du 8. Dans le film, à un moment donné, on voit l'un des rêves de la doc (parce qu'elle enregistre ses rêves car elle estime y trouver une réponse à l'invasion); dans ce rêve, elle est seule, y'a plein d'envahisseurs mais en fait, les deux camps d'envahisseurs sont censés s'affronter mais personne attaque -- Aki est entre les 2. Dans ce rêve, qu'elle "revit" en leitmotiv, à chaque fois, avec plus de temps ou avec une autre interprétation, il y a d'autres informations. Mais en fait, il s'agit bien de la même situation, déclinée de différentes manières. Dans ce rêve, il y a un fantôme qui la traverse et juste après elle irradie de la lumière blanche et donc le monde qui était en train d'être détruit -et dont les envahisseurs ont vu la destruction- n'est alors pas détruit et la lumière rayonne sur tout. A la fin du 8, mêmes images, mêmes symboles : Squall inconscient, Linoa qui arrive et puis tout d'un coup, les nuages gris et menaçants du ciel sont balayés par la lumière et des pétales qui flottent partout, la noirceur est donc renvoyée ailleurs...

Chronologiquement FF 8 est sorti en 1999, puis c'était au tour du film (en 2002) et si vous n'avez pas vu cette analogie sur la fin, c'est que vous ne connaissez pas très bien FF 8 ou que vous ne l'avez jamais fini...

L'univers de Final Fantasy ne m'est pas inconnu puisque j'ai joué au 7 et au 8. Et bien que je n'ai jamais fini ces jeux, l'univers qu'ils présentaient m'a grandement fasciné et leurs histoires m'ont passionnés.
Final Fantasy les créatures de l'esprit exploite le registre de la science fiction davantage que les jeux, qui contenaient, pour leur part, énormément d'éléments de Fantasy.
Il faut savoir que Final Fantasy les créatures de l'esprit constituait une révolution dans le domaine de l'animation au moment de sa sortie. Les personnages étaient d'un réalisme sans précédent, et cela 3 ans avant la motion capture innovée par Le Pôle Express. Ce qui explique sa production qui a duré 4 ans et son budget pharaonique pour l'époque : 137 millions de dollars. Mais le film fut un bide phénoménal à un tel point que Square, le studio japonais ayant produit la série des jeux, fut au bord de la faillite et fut obligé de fusionner avec Enix, autre boîte japonaise de jeux vidéos.
Le film a-t-il mérité son échec ? Je dirais pas vraiment. En ce qui me concerne, j'ai aimé Final Fantasy les créatures de l'esprit. Sans être un très bon film du genre, c'est un assez bon divertissement de science fiction, et rien que pour ses qualités techniques révolutionnaires, il mérite le visionnage. En revanche, ses personnages sont fades, peu marquants, on n'éprouve que peu d'empathie pour eux. Mais aussi, je m'attendais à un film un peu plus véner, avec de l'action plus épique. On devine le chef-d'oeuvre que ce film a failli être.

Excellent film, moi qui n'aime pas final fantasy j'ai adorer le film et son ambiance particulière. Une trame de fond qui change pour un scénario qui hélas ne laisse que peu de place au suspens . D'ou l'absence du 5 eme point .

En 2001 les techniques d'animations n'étaient pas ce qu'elles sont maintenant, mais c'est très bien réalisé dans l'esprit d'une cinématique de jeu vidéo. Très agréable à regarder !

Je dois dire, pour commencer, que je suis un véritable fan de la série initiale, mais que j’essaierais d’être ici le plus objectif possible, même si je voudrais défendre le film, bec et ongle, contre ses détracteurs. « Final Fantasy : Les créatures de l’esprit » est un gouffre financier pour Squaresoft, qui d’ordinaire produit des jeux vidéo, et qui à la suite de l’échec commercial de son film, devra fusionner avec son concurrent de toujours, Enix, pour survivre. Tout cela est bien dommage, car le film ne manque pas de qualités, mais a souffert d’une absence de promotion et de publicité ; seuls les fans seront allés voir le film. On reproche à l’histoire de ne pas reprendre suffisamment d’éléments de la série d’origine, même si en soi, elle reste tout à fait audacieuse : dans un environnement post-apocalyptique, la civilisation des humains est grandement menacée par des créatures spectrales, une équipe menée par la jeune Aki Ross tente de rétablir un rythme de vie prospère sur la terre. La grosse qualité du film est, bien sûr, visuelle. Tout en image de synthèse, le rendu est époustouflant. Après quelques minutes, on penserait presque qu’on assiste aux jeux de véritables acteurs, tant l’animation est crédible. D’ailleurs en 18 ans, le film n’a que très peu vieilli, et reste toujours aussi convaincant. La bande-son est épique, l’écriture est soignée. Un petit bijou de beauté, dont la narration tolère quelques longueurs malheureusement, et qui donne parfois une petite impression de vide. Mais c’est tout de même une belle réussite, trop méconnue.

A l'époque, ce film était archi attendu. Il reprenait des codes de la célèbre saga de jeux vidéo si apprécié. Le scénario tient sur du papier journal puisqu'on suit les aventures d'une scientifique à la recherche d'esprits dans un monde dévasté par des fantômes tuant tout humain au moindre contact. Le film ne sera vraiment apprécié que par les fans du jeux vidéo car on retrouve de nombreuses choses de la saga. De même, lors de sa sortie, le film impressionnait par la qualité des effets spéciaux, il est vrai aujourd'hui complètement dépassé.
Bref : gardez à l'esprit toute la magie de Final Fantasy dans ce film.

un vulgaire film de SF sans scénario, avec des militaires bourrins écervelés, des personnages trop stéréotypés, et quasiment rien de l'univers de FF

« Final fantasy » est un magnifique manga, tourné en images de synthèse et qui semble prendre nettement ses distances avec le jeu vidéo dont il partage le nom (c'est l'avis des spécialistes). La qualité des scénaristes Japonnais n'est pas une légende et ils nous offrent, à nouveau, une très belle histoire de science-fiction, poétique, profonde mais pas mièvre pour un sou ce qui est assez rare pour être souligné. Mais la qualité principale du film, celle qui saute aux yeux dès les premières minutes de visionnage, c'est la beauté hors norme de l'animation par ordinateur. Les personnages sont bluffants de réalisme et on se demande vraiment comment les dessinateurs ont bien pu faire ça ! Même assisté par tous les ordinateurs du monde, leur travail paraît pharaonique et on ne peut qu'être admiratif devant tant de perfection visuelle. Les personnages sont d'ailleurs très intéressants et on s'attache tout de suite aux deux héros dont on suit les aventures avec grand intérêt. Il faut dire que l'ensemble ne manque ni de rythme, ni d'action et qu'on ne s'ennuie pas une seconde avec ce dessin animé qui reste comme l'un des meilleurs que je connaisse. A voir absolument, les amateurs de SF ne seront pas déçus.

Le film est très très bien fait et on oublie presque (il ne faut pas exagérer et raison garder) que ce ne sont pas de vrais acteurs. Il y a juste une petite imperfection au niveau du regard de certains personnages et de la jointure entre le bras et l'avant-bras.
Le scénario est bien construit et le nombre de personnages principaux lui donne de la consistance. On regrettera juste un manque de rythme général et l'absence de belles musiques en fond sonore.
A voir pour la prouesse technique accomplie davantage que pour le film de science-fiction lui-même qui est assez loin des modèles du genre.