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    Les Proies
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    Pierre Chambon
    Pierre Chambon

    1 abonné 133 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 juin 2024
    un film dérangeant, un huis clos un peu oppressant, mais qui pose de bonnes questions - comment réagirions nous dans des situations extrêmes ? - qui est le bourreau, qui est la victime ? - quand on a perdu son humanité, peut-on la retrouver ? - excellent casting, excellent jeu d'acteur
    Marah Ben
    Marah Ben

    1 critique Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mai 2024
    Bon film

    Dommage que plusieurs scènes soient dans le noir
    On n'y voit rien
    On imagine
    Mais C gâché
    Estonius
    Estonius

    2 738 abonnés 5 312 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 mai 2024
    Mais bon sang ,ça veut dire quoi, ce snobisme de s'extasier devant ce filtre pastel (quelqu'un est même allé jusqu'à qualifier la photographie d'irréprochable !) qui non seulement n'apporte rien au film mais le pénalise. Le pompon étant la scène centrale rendue incompréhensible (sauf pour ceux qui lisent tout avant de regarder, sauf pour ceux pour qui plus c'est flou, plus c'est beau). Autant dire qu'avec cet éclairage de misère, les actrices ne sont pas mises en valeur, avec un casting où l'on trouve Nicole Kidmam et Kirsten Dunst j'appelle ça du gâchis. Et sinon ? Sofia Coppola a malgré tout réussi à nous faire un film qui se regarde sans ennui mais il faut bien admettre que tout cela reste survolé et superficiel
    messeda samir
    messeda samir

    35 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mai 2024
    On reconnaît très vite la patte de Sofia Coppolla mais elle a fait beaucoup mieux. Le style est impeccable,on repense à ses précédents films mais le scénario n'est pas à la hauteur du film. On s'ennuie un peu. Les actrices sont toutes très justes. Bref,un bon film mais on aurait pu attendre beaucoup mieux de la réalisatrice.
    Zarkalexia
    Zarkalexia

    39 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 mai 2024
    Le début est assez banal et le remou que donne cet homme qui arrive n’est pas vulgaire . Le rebondissement de la dernière demi heure est assez pertinent et donne une toute autres dimensions au film .
    Car L’homme intrus n’est pas mal élevé mais un malencontreux accident et une ambiance de guerre font que rien n’est réfléchis en fin de compte et que tout se passe juste comme une histoire quelconque . Il manque beaucoup d’introspection et beaucoup d’émotions dans tout ce récit mais justement peut être pour que l’on prenne de la distance , je n’en sais rien mais la fin sauve un peu les meubles
    Pascal
    Pascal

    134 abonnés 1 463 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 février 2024
    Prix de la mise en scène ( cannes 2017), " les proies" est une sorte de remake du titre éponyme mis en scène par Don Siegel ( 1971).

    Sorte de remake, car si la trame est la même (pendant la guerre de sécession, un groupe de jeunes femmes sudistes isolées dans une bâtisse transformée en école, trouve un soldat nordiste blessé. Elles décident de le soigner), le point de vue adopté par Siegel et celui de Sofia Coppola est différent.

    Coppola prend celui des jeunes femmes, afin d'illustrer le désir féminin, puis ( peut-être) le rejet à l'égard de leur objet de désir sur fond de jalousie.

    Huis clos à la splendide photo ( les premières minutes lorsque le soldat est découvert sont d'une grande réussite formelle), cet opus de SC, manque tout de même de ressort scénaristique une fois le sujet exposé.

    La première partie est la plus accomplie dans ce film qui déçoit tout de même lorsque connait le casting. Trop lisse, le scénario handicape un propos qui s'exprime simplement du bout des lèvres.
    Theo Jmt26
    Theo Jmt26

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 février 2024
    Le trailer spoil littéralement la fin au bout de 30 secondes, littéralement n'importe quoi. En regardant le trailer, tu t'attends à ce qu'il revive ou autre, mais absolument pas.
    Alolfer
    Alolfer

    99 abonnés 954 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 janvier 2024
    Porté par un très beau casting, et quasiment par des femmes, Sofia Coppola s'attaque au film "Les Proies" Adaptation d'un livre, ce film est bien et pas bien à la fois. Sur sa première partie, le film est plutôt bien ! L'arrivée du personnage masculin incarné par Colin Farrell va faire oublier durant un instant, la guerre de sécession. C est comme si la véritable vie renaissait au cours du long métrage. On ajoute à cela, de la jalousie et on tient une base intéressante ! Malheureusement, la direction du film m'a déplu, à titre personnel. J ai par conséquent moins apprécié la 2e partie du film

    Fort Heureusement, la beauté des plans ainsi que la réalisation de Sofia Coppola, rendent ce film un plaisir à regarder visuellement !
    Muriel B.
    Muriel B.

    13 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mai 2023
    L’histoire se déroule au cœur de la guerre de Sécession, dans une maison abritant des jeunes filles de différents âges, cachées afin de vivre en paix et sûreté durant les conflits. Nous entrons rapidement dans ce huit-clos aux couleurs sombres : indispensable réalisation afin d’inspirer ce thriller.

    Au cœur de ce contexte : l’arrivée d’un soldat blessé et amené dans la demeure uniquement composée de filles et femmes. L’homme est enfermé le temps de sa convalescence afin d’éviter tout danger puisqu’il reste un soldat ennemi. Mais c’était sans compter l’effervescence qu’il a créé auprès de chacune des jeunes filles et femmes qui sautent plus ou moins subtilement sur l’occasion de côtoyer la gente masculine. La confiance s’installe au sein de ce huit-clos, et pourtant la prouesse est faite en incitant le spectateur à toujours être sur ses gardes. L’ambiance est constamment sombre et oppressante. Le soldat, pour sa survie, fait en sorte d’instaurer et de maintenir un climat de confiance. Cela aurait pu fonctionner s’il n’y avait ni jalousies, ni batailles d’orgueil dans le camp féminin…

    La tension est menée jusqu’au bout. L’ensemble du casting joue à merveille et la réalisation est incroyable. Un grand bravo à Sofia Coppola et à toute l’équipe de ce film que je vous recommande x1000 !
    Anonyme M
    Anonyme M

    53 abonnés 1 556 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 août 2022
    LES PROIES de 2017 est un remake de sa version originale de 1971 les proies. les actrices sont très doué notament une figure très connue Kirsten Dunst pour avoir joué dans la trillogie spider-man de sam raimi, le scénario est digne d'un film classique en pleine gerre en l'an 1800 dans une air de peur et de craintes cependant le film traine en longueur et on se voit obligé d'accélérer de temps en temps. l'histoire est très classique: un soldat receuillit dans une école de fille qui ce retrouve a être obligé de colaborer pour éviter créer des problèmes dans une période de guerre difficile. plutôt un bon classique malgré qu'il ai pas mal vieilli.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 067 abonnés 4 111 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juillet 2022
    « Les proies » de Don Siegel est sorti sur les écrans le 31 mai 1971. Parallèlement, quinze jours avant, la même année, naissait Sofia Coppola. Curieuse et amusante coïncidence. En 46 ans, bien des choses ont changé et notamment la représentation de la femme à l’écran. Aujourd’hui où selon un grand écart idéologique parfois très périlleux, se côtoient un féminisme conquérant souvent tatillon et un soutien par les mêmes personnes à l’expression d’une foi renvoyant la femme à une domination archaïque, difficile pour le rationalisme de trouver sa place. C’est dans ce contexte trouble et troublant que les femmes réalisatrices (les réalisateurs aussi) tentent de se frayer un passage étroit pour faire émerger une créativité qui sera fatalement examinée à cette aune. Sofia Coppola qui a commencé à pratiquer son art en 1999 (« Virgin suicides » ) quand la pression sur le sujet était bien moins forte, n’échappe pas aujourd’hui à la règle. En s’attaquant à un remake des « Proies » de Don Siegel, réalisateur symbolique d’un cinéma (« Dirty Harry » en 1971 ») désormais fortement battu en brèche, la fille du réalisateur du « Parrain » (1972, 1974,1990) et d’« Apocalypse Now » (1979) savait sans conteste où elle mettait les pieds. Elle a d’ailleurs et sans doute à dessein, choisi de ne pas employer le terme de remake pour parler de son film, préférant évoquer une « autre approche » du roman de Thomas P. Cullinan qui avait pourtant lui-même rédigé le scénario du film sorti en 1971. Sur le plan narratif, Sofia Coppola prudente a choisi d’inscrire son propos dans une relative neutralité en l’expurgeant de tout ce qu’il y avait de vraiment subversif et d’original chez Don Siegel. En effet lors de sa sortie, le film avait été jugé transgressif tant dans son évocation de la vacuité de la guerre de Sécession, renvoyant dos à dos le camp nordiste et le camp sudiste pour faire par ricochet s’interroger le spectateur sur la réalité de la guerre au Vietnam qui tournait au fiasco. Idem dans sa présentation de la sexualité où inceste, priapée, saphisme, viol et pédophilie participent à l’aspect baroque et tragique du film. « Pensez donc ! », six femmes d’âges très différents, recluses dans un pensionnat vont s’unir pour châtier plus que sévèrement celui qui croyait les manipuler au nom d’habitudes ancestrales voulant que la femme se soumette sans barguiner à la sexualité de l’homme toujours dans son bon droit, notamment en temps de guerre. Réalisé par Don Siegel et interprété par Clint Eastwood, le film serait par définition misogyne car émanant de deux « machos » patentés. Réputation qui le poursuit encore aujourd’hui malgré ses qualités reconnues. La sexualité de la femme y est pourtant montrée comme pouvant être aussi explosive voire conquérante ou débridée que celle de l’homme. Et le soldat joué par Eastwood se croyant parvenu sur une d’île paradisiaque où sa virilité et son charme triomphants allaient rapidement imposer leur loi, comme le montre très bien l’exposition de ses fantasmes envahissants, va être brutalement stoppé dans son élan pour s’être joué de l’individualité de chacune à coups de mensonges grossiers. Il faudrait dans cette hypothèse voir cette première version plutôt comme une introspection critique voulue par Siegel, Eastwood et leur scénariste, constatant que l’homme exploite toujours la relation avec l’autre sexe à son seul profit et qu’il doit en assumer les conséquences. En quelque sorte une invitation à regarder les choses en face pour ensuite tenter de les faire évoluer. Sofia Coppola n’a pas voulu suivre cette voie désormais inaudible et sans doute dépassée, choisissant une narration certes fidèle au roman mais épurée de sa controverse sexuelle. Elle n’a pourtant pas échappé à celle-ci qui s’est déplacée sur le front racial, lui étant reproché d’avoir escamoté le personnage de l’esclave noire présent de manière signifiante tant dans le roman que dans le film de Siegel mais aussi d’avoir choisi Kirsten Dunst pour le rôle de l’intendante qui dans le roman était biraciale. En ce début de XXIème siècle, on n’est décidément jamais trop prudent. En vérité, le parti pris de la réalisatrice désormais expérimentée est d’ordre esthétique et référentiel. Avec l’aide de son chef opérateur français Philippe Le Sourd, ils semblent avoir tourné leur regard vers le très estimable « Panique à Hanging Rock » (1975) de Peter Weir pour son ambiance éthérée et sa photographie vaporeuse mais aussi par analogie avec l’observation d’un groupe de femmes livrées à elles-mêmes face à une adversité inattendue. En remontant encore dans le temps, certains choix de cadrages (cerclés de noir) pourront faire penser aux films romantiques de David W Griffith avec les sœurs Gish (Dorothy et Lilian). On sait que le grand réalisateur avait lui-même provoqué une très vive polémique en 1915 avec « Naissance d’une nation » qui par sa vision très partisane des enjeux et du déroulement de la Guerre de Sécession montrait le long chemin encore à parcourir. Sofia Coppola propose donc beaucoup de plans décrivant la vie communautaire de ces six femmes qui sous l’égide de leur directrice (Nicole Kidman) tentent de maintenir un semblant d’ordre dans un pays en proie au chaos. L’évolution des rapports d’autorité suite à l’arrivée du soldat (Colin Farrell) est de même finement observée, laissant un peu en retrait un Colin Farrell qui par instant semble prisonnier d’une ruche au sein de laquelle la survie du groupe l’emportera toujours. Comme Don Siegel en son temps, et sans doute même encore davantage, un soin particulier a été apporté à la mise en valeur de l’architecture sudiste si bien intégrée à la nature qui l’entoure. Ainsi les extérieurs ont été tournés sur le terrain de la Madewood Plantation House près de Napoleonville en Louisiane. En résumé, nous sommes bien en présence de deux approches différentes en relation avec les contextes historiques dans lesquels les deux films ont été tournés. Deux films qui s’avèrent relativement complémentaires même si le projet de Sofia Coppola semble moins ambitieux mais aussi plus consensuel témoin du cinéma de son temps. Une belle réussite malgré tout.
    𝓂𝒶𝓉 𓆈 𝒽𝒾𝓈
    𝓂𝒶𝓉 𓆈 𝒽𝒾𝓈

    130 abonnés 1 143 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 mars 2022
    Une production sans intérêt, c’était flagrant. Malgré un casting admirable, l’histoire est vraiment chiatique. Je ne vois pas d’autres mots qui qualifieraient mieux. Une réelle perte de temps. C’était incroyablement nul.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    987 abonnés 4 918 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 mars 2021
    On ne retrouve pas le côté malsain et manipulateur de l'homme dans cette version. Celui de cantonne au rôle de la victime en quelque sorte et les femmes se liguent pour le faire disparaître.
    Néanmoins une mise en scène élégante et aérée
    Zabou2004
    Zabou2004

    6 abonnés 150 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 mars 2021
    ce film est d'une grande nullité et se donne des airs prétentieux. Le titre est mal traduit, tout n'est que séduction et maladresses avant de virer au drame pathétique et peu crédible. Ensuite c'est le grand n'importe quoi. Collin Farell est moche et joue très mal.
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 568 abonnés 12 258 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 mars 2021
    Remake dècevant du film culte et vènèneux de Don Siegel! Sofia Coppola a du mal à se renouveler car il est bel et bien question d'ennui ici! On se pose d'ailleurs la question de l'utilitè d'un tel remake car le spectateur comprend rapidement qu'il ne se fasse pas grand chose! La temporalitè et le dèroulement de l'action sont sensiblement identiques à la version 1971, mais avec un dènouement expèditif! Comme si la rèalisatrice - qui a une vision bien à elle - n'avait plus rien à proposer! Comme si la fille de Coppola n'avait plus rien à dèvelopper dans le domaine du fait divers ou du fait historique! Certes, le casting d'actrices fait rêver (Kidman, Dunst, Fanning) mais nous laisse carrèment sur notre faim! Eh oui, les immenses Geraldine Page et Elizabeth Hartman ne sont plus là! Reste une mise en scène assez remarquable (prix de la mise en scène à Cannes) et un soin apportè à la lumière! Sinon rien d'original dans ce pensionnat de jeunes filles recluses aux extèrieurs menaçants! De plus Colin Farrell en soldat confèrè blessè ne fait que subir...
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