Mon compte
    Les Proies
    Note moyenne
    2,6
    3094 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Les Proies ?

    313 critiques spectateurs

    5
    10 critiques
    4
    41 critiques
    3
    104 critiques
    2
    79 critiques
    1
    55 critiques
    0
    24 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Wilma P
    Wilma P

    11 abonnés 268 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 septembre 2017
    Sujet totalement insipide, je n'ai pas cru un seul instant à ce scénario au demeurant fort mal interprété, les dialogues sont d'une platitude à faire peur. Le nom de Coppola n'est pas la synonyme de talent. Je me suis ennuyée du début à la fin pour moi à éviter de toute urgence
    ogerardin
    ogerardin

    14 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 septembre 2017
    Ce film servit par une solide distribution nous emmène dans une voir des situation très ambiguës. Ce film serait quasi théâtrale tant les scènes et décors sont limités. Bon jeu de la part des actrices qui ont la part belle face à la gente masculine réduite. Scénario peu ordinaire, sympathique film à voir.
    romano31
    romano31

    258 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 septembre 2017
    Remake du film de Don Siegel du même nom, sorti en 1971 et emmené par Clint Eastwood, Les Proies de Sofia Coppola est un film fort sympathique qui permet à la réalisatrice de nous livrer son oeuvre la plus sombre. Porté par une excellente brochette d'actrice (certaines fidèles à Coppola), le film nous entraîne en pleine guerre de Sécession où un soldat blessé est recueilli dans un pensionnat de jeunes filles. Une rivalité éclate alors entres les demoiselles pour savoir qui aura les faveurs de ce soldat. Coppola maîtrise son sujet et esthétiquement c'est irréprochable. Elle apporte sa touche personnelle à ce remake et si vous avez aimé les précédents films de la réalisatrice, vous aimerez probablement son dernier film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 septembre 2017
    Un homme et sept femmes : huis-clos. Une fable sur la violence faite aux hommes, et accessoirement aux femmes, à travers deux scènes chirurgicales. La première, une balle dans la jambe, est le fait d’une guerre entre hommes ; la seconde ne peut pas être racontée ici sans gâcher le spectacle. N’ayant ni lu le roman de Cullinan, ni vu le film de Siegel, ne gardant qu’un souvenir mitigé des précédentes réalisations de Sofia Coppola, incapable d’évaluer l’accusation de racisme faite à cette version qui exclurait le rôle d’une femme noire, renonçant à trouver ici une évocation réaliste de la guerre de Sécession, conscient de l’esthétique hamiltonienne de la photo et du style « World of Interiors » de la décoration, peut-on dire que ce film n'est pas mal du tout ?
    Les rôles féminins incarnent des figures singulières et pas seulement un genre, en particulier les plus enfantines : la chercheuse de champignons qui noue et dénoue le récit et la petite joufflue qui offre un missel à l’Irlandais blessé. Face à elles, un homme seul se démène pour sauver sa peau. Ce n’est pas un héros, mais un mercenaire qui fait la guerre pour trois cent dollars tout compris. Il n'est pas question de ce qu'il pense de l'esclavage et de son abolition comme le remarque les jeunes filles du Sud qui prennent sa défense. Il peut paraître un peu fade (est-ce l’interprète ou le rôle ?) et fruste face à toutes ces femmes, mais il s’avère tout de même assez rusé. Dans la pure veine réaliste, la morale n’est pas sauve, pourtant aucun personnage n’est franchement antipathique. Et le scénario ne manque ni de rebondissements ni de chutes. En prime, quelques chansons d’époque interprétées par les jeunes pensionnaires ajoutent un son juste à l’ambiance.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 8 septembre 2017
    Il se passe seulement quelque chose durant les 30 dernières minutes et même ce qu'il s'y passe n'est pas extraordinaire.
    Rien de transcendant !
    tixou0
    tixou0

    662 abonnés 1 979 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 septembre 2017
    Au beau milieu de la Guerre de Sécession (2 ans de conflit fratricide déjà, 2 ans à venir), dans un domaine de Virginie devenu école pour jeunes filles bien nées, vivant en autarcie (on entend la canonnade au loin, le ciel céruléen est obscurci par des fumées, mais les combats restent en dehors des grilles de l'institution où demeurent la propriétaire des lieux, un des professeurs et cinq pensionnaires ados, continuant les cours, activités domestiques, prières en commun et soirées musicales). Jusqu'au jour où la plus jeune élève, qui est allée cueillir des champignons, trouve au pied d'un arbre un caporal de l'Union, blessé... et, brave coeur, le ramène dans la thébaïde strictement féminine. Ce remake du film (1971) de Siegel (avec Clint Eastwood) a obtenu le Prix de la Mise en scène au dernier Cannes..... On en reste pantois(e), tant la réalisation est plate ! Où l'on constatera, une nouvelle fois, que Mlle SC sait à merveille capitaliser sur son illustre patronyme, pour abuser ici un jury de festival... illustre, s'il en est. Elle "réussit" à faire d'une histoire complexe et vénéneuse (le titre français ne renseigne pas sur le noeud de l'affaire, le titre d'origine, si : "The Beguiled" veut dire "le Séduit", "Le Floué"...) une historiette pâlichonne et simpliste, filmée sans imagination !
    Les seules choses à louer dans ce (trompeur) "Les Proies" : la photo, superbe (par le Français Philippe Le Sourd), et (dans une certaine mesure) le Dublinois Colin Farrell (la vraie "proie").
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 septembre 2017
    Un film à l’ambiance tout à fait unique, qui saura nous entourée dans son cocon, pour nous faire partager un huis-clos incroyablement percutant et d’une intensité bluffante !
    Jmartine
    Jmartine

    158 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 septembre 2017
    Les Proies ont obtenu le prix de la mise en scène au dernier Festival de Cannes. Ce titre n’a rien d’usurpé tant l’esthétisme y est soigné, la photographie de Philippe Le Sourd est sublime…cette maison à colonnades de la Virginie profonde, cette lumière qui filtre à travers les frondaisons, ces chants d’oiseaux, tout concourt à faire de cet environnement, un jardin d’Eden, alors qu’aux alentours le canon gronde. L’histoire reprend un roman de Thomas Cullinan ayant fait l’objet d’une première adaptation par Don Siegel en 1971 avec Clint Eastwood dans le rôle principal…Je ne connaissais ni le roman, ni le film de Don Siegel…mais cette irruption d’un soldat nordiste, blessé, dans cet univers féminin, ancré dans les valeurs du Sud profond, donnait matière à une passionnante étude de mœurs, et à l’exploration de tous les fantasmes…Mais fidèle à son approche esthétique, sa passion pour les costumes, crinolines et rubans est toujours à l’œuvre, le décorum prend le pas sur la tension qui pouvait naître de la rencontre de trois générations de femmes entre rigueur victorienne et tourments du désir, avec la masculinité…La cinéaste escamote la montée de la passion, de ses déchirements, la perversité des jeunes filles entre elles , en précipitant le drame dans une violence gore un peu surprenante…c’est beau, séduisant par moment, mais un peu fade…
    btravis1
    btravis1

    103 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 septembre 2017
    Pari difficile de s'attaquer au remake d'un film parfait, car la marge de manoeuvre est faible. Les premières images donnent plutôt une bonne impression, mais dès les premiers dialogues et les premières scènes importantes, la comparaison avec l'original nous fait progressivement décrocher. D'abord le casting, Colin Farrell, quel que soit son talent, fait vraiment pâle figure à côté de Clint Eastwood, il n'a ici ni le charme, ni l'aisance verbale pour rivaliser. Côté féminin, c'est presque pire, Nicole Kidman n'a pas le panache de Géraldine Page, Elle Fanning ne dégage aucun érotisme contrairement à son aînée de 1971, même la fillette est fade. Seule le jeu de Kirsten Dunst tient la route. Ensuite, ce qui est assez étrange, c'est que le récit est assez proche de l'original mais se révèle plat jusqu'au dénouement final. Sofia Coppola a fait un film certes plus court, mais du coup il lui a manqué du temps pour installer l'histoire et faire monter la tension. Elle s'est focalisé sur l'image mais en a oublié la gestion du rythme primordial ici. Le tout est donc bien fade.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 8 septembre 2017
    Grosse déception pour ce film au casting XXL... C'est fou de se dire qu'un remake manque d'écriture. Et qu'une réalisatrice avec un tel CV loupe autant le coche. Et pourtant c'est le cas. Je n'ai cru en rien. Tout m'a semblé artificiel. Les scènes s'enchaînent sans que mon intérêt se soit élevé d'une rangée de fauteuil. A oublier.
    titicaca120
    titicaca120

    369 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 septembre 2017
    un film visuellement et esthétiquement très beau et fort bien joué.
    un presque huis clos glaçant au scénario parfait.
    malgré un rythme assez lent on prend plaisir à chaque scène.
    Daniel C.
    Daniel C.

    135 abonnés 715 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 septembre 2017
    Prenez des actrices renommées, une fille de cinéaste de renom, des moyens de tournage conséquents et malgré tous ces ingrédients, cela ne fait pas nécessairement un bon film. Quel est le message de cette histoire ? Le contexte de la Guerre de Sécession n'existe que par le bruit des canons à la fois lointains et proches. Un nordiste blessé est trouvé par l'une des jeunes pensionnaires d'un internat de jeunes filles dans le Sud. L'émoi général que va déclencher la présence de cet homme au milieu de cette communauté féminine est sans doute ce qui est le mieux réussi dans ce film, mais la réalisatrice n'en fait rien. On ne voit pas où elle veut aller. Ce qui va fragiliser le groupe, puis le ressouder autour d'un objectif commun n'est pas exploité. L'esclavagisme, qui est quand même l'enjeu central, me semble-t-il de la Guerre de Sécession, aurait pu être travaillé au travers de cette situation. Non vraiment, la lumière a beau être magnifiquement travaillée dans "Les proies", je me suis ennuyé et suis resté sur ma faim...
    Charles R
    Charles R

    49 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 septembre 2017
    Est-il besoin de connaître le film de Don Spiegel qui, en 1971, portait déjà ce titre ? Assurément la question ne s'est même pas posée pour nous qui ignorions tout de ce film. Et cela vaut sans doute mieux. Car les comparaisons ne cessent de s'étaler sur Internet entre le dernier opus de Sofia Coppola et son aîné, le plus souvent à l'avantage de ce dernier. Contentons-nous de savourer en toute quiétude le film qu'il nous est actuellement donné de voir. Nous sommes en 1864 au plus fort de la Guerre de Sécession. La découverte par une jeune adolescente d'un caporal nordiste sérieusement blessé va perturber la vie d'un pensionnat de jeunes filles du Sud qui vont décider, plutôt que de le livrer à l'armée du général Lee, de le soigner et de le remettre sur pied. S'y affairent ainsi la propriétaire du domaine, interprétée par l'admirable Nicole Kidman, qui donne à son personnage ce qu'il faut de ruse et de finesse, l'institutrice splendidement incarnée par Kirsten Dunst et cinq jeunes pensionnaires d'âges différents mais toutes plus ou moins remuées en leur for intérieur par cette présence masculine. Car il s'agit bien d'un film sur le désir féminin traité avec beaucoup de tact par Sofia Coppola qui donne à ce huis clos toute l'apparence d'un "hortus conclusus" dans lequel un odieux serpent se serait introduit. Oh, le serpent en question n'a en apparence rien de bien venimeux : Colin Farrell offre un jeu lisse et presque insipide par moments. Mais les apparences peuvent être trompeuses et le film va passer de l'extrême douceur - certains parleront même d'ennui (mais l'ennui est au cœur de la vie de ce pensionnat) - à la violence la plus inattendue. Et le venin du serpent se heurtera à des fleurs autrement vénéneuses. Sofia Coppola est une cinéaste de très grand talent. Elle aime créer des atmosphères closes où les sous-entendus abondent et où les femmes jouent un rôle prédominant. Film en costumes d'époque, "Les proies" n'a rien de la "Marie-Antoinette" déjantée, réalisée voilà une dizaine d'années. Sofia Coppola y fait preuve d'une grande rigueur et d'un grand sens du théâtre. L'ancienne plantation devenue pensionnat pour jeunes filles et que cerne une forêt aussi redoutable que celle des contes populaires constitue le cœur d'une dramaturgie impeccable où l'esthétisme est de rigueur. Alors à tous ceux qui seraient tentés par la comparaison entre Don Siegel et Sofia Coppola comme entre Clint Eastwood et Colin Farrell, un seul conseil : oubliez de telles références et laissez-vous porter par les images et la mise en scène de l'une des plus grandes réalisatrices américaines d'aujourd'hui.
    AurelC
    AurelC

    1 abonné 161 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 septembre 2017
    Le prix de la mise en scène à Cannes est bien mérité. Les images sont superbes. Les cadrages sont semble-t-il parfaitement étudiés, mais c'est surtout le travail délicat de la lumière qui impressionne et qui met particulièrement en valeur la nature luxuriante autour de la maison, mais aussi les costumes et les actrices, leur visage, leur peau, leurs cheveux...bref, un travail méticuleux et un résultat des plus élégants. Pour le reste, j'ai bien aimé l'idée de montrer une violence et une cruauté insoupçonnée, cachées derriere la dentelle et les bonnes manières. Les acteurs (car il ne faut pas oublier Colin Farrell) sont impeccables. L'atmosphère est réussie et la tension bien rendue (notamment grâce à quelques bonnes idées sonores, comme celles des détonations que l'on entend au loin et qui font que le contexte de la guerre, malgré le cocon du pensionnat, se rappelle toujours à nous) . Mais c'est vrai que pour une histoire, ou la frustration sexuelle et le désir jouent un rôle primordial, on aurait pu s'attendre à plus de sensualité. Peut-être que çe n'est tout simplement pas le genre de Sofia Coppola, mais ça reste un peu trop sage quand même...
    Damien H.
    Damien H.

    13 abonnés 344 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 septembre 2017
    Un film contemplatif et assez lent, qui accélère dans le dernier quart d'heure, mais dans lequel il ne se passe finalement que peu de choses.
    Les personnages mériteraient d'être plus développés, et les objectifs de chacun restent parfois trop flous.
    Du Sofia Coppola, avec ses magnifiques plans, parfois trop longs.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top