Drag Race saison 3 : de gros changements de prévus ? Daphné Bürki balance
    Pauline Hétu
    Pauline Hétu
    Pauline est à l'affût du moindre buzz et de la moindre séquence qui fera parler sur les réseaux sociaux. Elle se passionne pour les histoires des personnalités françaises et internationales qui animent notre quotidien sur le petit écran.

    La troisième saison du concours Drag Race débarque ce vendredi 31 mai 2024 sur France 2. À quoi faut-il s'attendre ? Dans une interview accordée à Télé 7 Jours, l'animatrice Daphné Bürki dévoile quelques surprises à venir...

    © Jean RANOBRAC - France télévisions

    Qui va succéder à la reine Keiona ? À partir de ce vendredi 31 mai 2024, sur France 2, Nicky Doll, Daphné Bürki et Kiddy Smile se réunissent pour élire la prochaine Queen de Drag Race. Une saison 3 qui débute un peu plus tôt que d'habitude, avec une finale qui se tiendra en public depuis le Grand Rex à Paris avant la fin juillet. Quelles nouveautés sont à prévoir pour cette nouvelle salve de talons hauts, plumes et paillettes, mais également chansons, danse ou couture ? Daphné Bürki se confie dans les colonnes du magazine Télé 7 Jours paru en kiosque le 27 mai 2024.

    Des drag-queens venues du monde entier

    Si le concept même de Drag Race reste le même, la renommée du programme elle, a quelque peu changer la donne. "Ce qui a changé, c'est le nombre de candidatures. La production en a reçu près de sept cents, de France et d'ailleurs !" se réjouit Daphné Bürki, précisant que cette année, des drag queens venue d'Outre-mer, mais également de Bolivie ou des Canaries ont fait le déplacement. Grâce à l'aura positive qu'elle dégage, l'émission a également suscité quelques vocations. Ainsi, cette année, des drag-queens peu expérimentées vont tenter l'aventure. "Cette saison, ce qui est fou aussi, c'est que nous avons des "baby-queens" : des drag-queens qui ont débuté il y a deux ans, après avoir découvert le programme, qui a eu un effet révélateur, ou qui leur a permis de s'autoriser à entrer dans la mouvance".

    Un divertissement pédagogique

    Car si le programme Drag Race est un pur divertissement, il est aussi l’occasion d’aborder avec pédagogie de nombreux sujets de société qui touchent la communauté LGBT+. "Après la première saison, nous étions contents d'avoir mis en lumière cet art, que certaines drag-queens aient trouvé du travail grâce à cette exposition et, plus globalement, qu'elles soient mieux considérées". Preuve en est : Nicky Doll, présentatrice du programme, était cette année aux côtés de Laurence Boccolini pour animer les demi-finales de l'Eurovision. Quant à Keiona, grande gagnante de la saison 2, elle était au casting de la dernière saison de Danse avec les stars sur TF1. Impensable il y a encore quelques années...

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