Les années passent et de nouvelles règles viennent légèrement modifier le jeu des 12 Coups de midi, diffusé quotidiennement sur TF1. La dernière en date est celle qui concerne l’étoile mystérieuse. Désormais, les candidats peuvent tenter de donner un nom de personnalité uniquement s’ils ont bien répondu à l’ensemble des questions posées lors de la manche du Coup de maître. Un changement sur lequel Emilien, l’actuel champion de l’émission présentée par Jean-Luc Reichmann, a été interrogé par nos confrères de Télé 7 Jours.
Emilien n'est pas contre la nouvelle règle de l'étoile mystérieuse des 12 Coups de midi
"Il n'y a pas spécialement de frustration parce que je le savais. En fait, en arrivant, au début de mon parcours, cette règle existait déjà donc il n'y avait pas le choix" a déclaré Emilien avant d’ajouter : "Cette règle est maintenant en place donc je vois ça comme une difficulté supplémentaire.” Visiblement, cela ne contrarie pas vraiment le petit-ami de Jessica, contrairement à un autre champion des 12 Coups de midi. Questionné à son tour, mais cette fois par nos confrères de Voici, Bruno Hourcade a répondu : “Alors moi, je déteste cette règle.”
"Je préférais l'ancienne règle"... Bruno Hourcade n'est pas du même avis qu'Emilien
Le recordman du programme, qui détient le plus de victoires et le plus de gains à son actif, a justifié ses propos : "C'était ma mécanique préférée de l'émission. C'était même stressant car lorsque je n'avais aucun nom à proposer, je réfléchissais pendant l'émission si jamais je gagnais. Ça m'aurait embêté de ne pouvoir faire ma manche préférée qu'un jour sur trois ou quatre." Toutefois, il a reconnu que cela pouvait valoriser le Coup de maître : “Je me rappelle de mon étoile Maud Fontenoy. Je l'ai remportée alors que j'avais gagné 0 euros. C'est-à-dire qu'au coup de maître, j'avais fait 3 ou 4 erreurs sur 5, ce qui est catastrophique. J'étais complètement nul et j'ai gagné l'étoile. Mais c'est vrai que je préférais l'ancienne règle !" Cette étoile mystérieuse n’a pas fini de diviser.
