L'aventure d'Estelle au sein du programme Mariés au premier regard, diffusé sur M6, restera dans la mémoire des téléspectateurs. En effet, jamais un papa n'a été autant impliqué. Peut-être un peu trop. Le père avait même obtenu le droit de rencontrer le père du futur mari de sa famille, une demande qui n'avait jamais été faite dans le programme. Mais tout est bien qui finit bien, Estelle a enfin pu dire oui à Maximilien, coach sportif perpignanais. Dans un entretien accordé au TV magazine du Figaro, lundi 1er mai 2023, la jeune femme s'est confiée sur son état de stress au moment de la cérémonie. "C'était un ensemble de pression et d'émotions à gérer. Mon cœur battait à mille à l'heure, j'ai cru qu'il allait exploser", a-t-elle avoué.
Un bisous redouté
Là encore, la jeune femme redoutait les réactions de son père, qui a eu du mal à laisser sa fille se marier. "Je n'avais jamais été aussi stressée de toute ma vie. J'avais peur que Maximilien m'embrasse sur la bouche devant mon père, je n'ai pensé qu'à ça ! Je me demandais comment j'allais gérer la situation si cela venait à se produire, je n'aime pas mettre les gens mal à l'aise. Je sais que mon père était derrière moi, les yeux braqués sur moi et je n'ai pas osé le regarder. Je ne voulais pas connaître son avis tout de suite", raconte la jeune femme qui travaille en tant que secrétaire dans l'entreprise familiale.
Un père omniprésent
Estelle raconte qu'elle était célibataire depuis un an. "Avant cela, j'ai eu deux longues relations : la première avec le papa de ma fille, que j'avais rencontré lorsque j'avais 16 ans et avec qui je suis restée dix ans, et la seconde juste après pendant quatre ans", explique-t-elle. Interrogée sur le rôle de son père lors de ses précédentes relations, la jeune femme a répondu que tout se passait exactement pareil : "Il veut toujours donner son avis parce qu'il s'est toujours inquiété pour moi et il a toujours eu peur que je fasse de mauvais choix. Il a toujours été très protecteur envers moi et s'imposer pour me protéger. Il me voit encore comme une enfant de 15 ans un peu naïve et fragile".