Ce mercredi 26 avril 2023, les téléspectateurs retrouveront un nouveau numéro de Top Chef. L’étau se resserre pour les candidats encore en lice. Et un poursuit son petit bonhomme de chemin dans le plus grand des secrets : Danny. Et pour cause, pour cette année, histoire de mettre un peu de piment dans le jeu pour cette quatorzième saison du célèbre concours culinaire, la production a décidé d’instaurer la brigade cachée. Brigade gérée par Hélène Darroze et dont tout le monde ignore l’existence. Une sacrée organisation mais qui va valoir le coup lorsque les autres candidats vont découvrir le pot aux roses. Dans une interview accordée à Télé-Loisirs, celle qui officie dans l'émission de M6 pour la neuvième année a expliqué la complexité d’une telle mise en place : “On a donc enregistré tout à la fin, juste avant les quarts-de-finale. Pendant quatre jours, on s'est enfermés et on a tourné les épreuves les unes après les autres, avec une équipe technique très resserrée de 25 personnes au lieu d'une centaine habituellement. La production leur avait monter des bobards en disant qu'il y avait des prises à refaire et qu'il fallait qu'ils soient là”.
"Il n’y avait pas d’avantage, au contraire"
Durant cette brigade, les candidats perdants affrontent le candidat en lice. Le premier à avoir intégré cette nouvelle épreuve est Danny et depuis, il est indétrônable. Certains même l’accusent de triche car Hélène Darroze voit quel candidat fait quel plat et Danny cuisine en second, ce qui lui donne un bel avantage. Autant de critiques auxquelles il a eu envie de répondre ce mardi 25 avril 2023 dans 750g : “Cela me fait beaucoup rire. Il faut bien trouver quelque chose à dire. Mais, en fait, ça ne s’est pas passé comme beaucoup l’ont dit. Je n’attendais pas une heure devant le poste de travail de l’autre candidat. On travaillait une demi-heure chacun. Il n’y avait pas d’avantage, au contraire. Moi je me dis que cela peut être même un inconvénient parce que si la personne réalise l’idée ou la technique que tu avais imaginée à l’origine, ça te limite tout de suite. Si on doit faire un coeur coulant par exemple et que le candidat en face fait un jaune d’oeuf, c’est compliqué de refaire la même chose derrière. Pareil, si le candidat prend en premier les produits que l’on voulait, c’est finalement plus compliqué pour nous après. Je ne vois donc pas l’avantage. Le but de la production, c’était tout simplement qu’il y ait un échange. On pouvait se charrier un peu pour donner du piquant à ce challenge”. De quoi clôre le débat ?