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    Le Dahlia noir
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    642 critiques spectateurs

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    Chevtchenko2
    Chevtchenko2

    43 abonnés 1 228 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 février 2024
    Je me suis clairement ennuyé pendant ce film. En fait, je ne suis jamais vraiment rentré dedans. Le synopsis était pourtant pas mal et le casting intéressant mais non. L’intrigue était beaucoup trop nébuleuse, les personnages fades mais surtout le film est mou mais mou ! Impossible dans ces conditions d’apprécier ce polar d’époque malgré une belle reconstitution et de beaux costumes. A éviter.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 723 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 avril 2021
    Le Dahlia noir est un film long, qui est boursouflé, qui est confus, qui est conscient de son art et qui est miné par des erreurs de casting et des tournures d'intrigue absurdes, un symbolisme naïf et un mépris total de l'histoire et un sur jeu risible des actrices qui font passer Chinatown pour un thriller tendu et un chef d'œuvre. Scarlett Johansson est particulièrement terrible dans ce film. On peut trouver des défauts fatals dans pratiquement tous les aspects de ce film sans trop d'effort en fait la tâche la plus difficile dans la critique de ce film est de se souvenir de tout ce qui ne va pas. Il y a aussi le détective héros conflictuel et parfois sombre (Josh Hartnett) et la femme fatale sexy et dangereuse (Hilary Swank) accompagnée de la bombe sexuelle de service à la qualité douteuse (Scarlett Johansson). Comme si ces trublions du roman noir ne suffisaient pas le scénariste Josh Friedman adapte apparemment toutes les intrigues secondaires d'Ellroy tous les fils de l'histoire comme si chacun devait être pris en compte. Le détective de Hartnett a dit rien ne reste enterré pour toujours. Moi je dis que ce faible film noir devrait rester enterré jusqu'à ce qu'un brillant spécialiste du 22e siècle en voie la signification culturelle et esthétique. Jusque-là c'est un fouillis de points d'intrigue non résolues accompagné par une narration ennuyeuse. Même la pleurnicheuse Scarlett Johansson n'a pas pu me convaincre qu'il y a un meurtre au premier degré...
    DanielOceanAndCo
    DanielOceanAndCo

    3 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 octobre 2020
    De Palma s'auto-parodie avec sa nouvelle mascarade cinématographique d'une lourdeur hallucinante. L'histoire n'est pas intéressante et la direction d'acteurs médiocre, entre une Scarlett Johansson nunuche et une Hilary Swank pas crédible en femme fatale (c'est pas qu'elle en est pas capable, c'est qu'elle est mal dirigée!!). Quant à Aaron Eckhart et Josh Hartnett, ils sont transparents. Tout ça pour un final grandiloquent et ridicule.
    Régine B
    Régine B

    1 abonné 38 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 mai 2020
    Josh Hartnett et Scarlett Johansson illuminent ce film au climat noir très réussi mais dont la narration est trop lente et un peu confuse.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 14 juillet 2018
    Je pensais en apprendre un peu plus sur une histoire que je viens de découvrir, et que dire…. Après 1 h 15 de visionnage, je vais allez me coucher. Ce film prend comme fond le dahlia noir pour nous parler d'autre chose, mais de quoi ? Pas encore compris ! Histoire d'un ménage à 3 ? Pub pour la cigarette ? Histoire de flics à la dérive ? Tout est mélangé, semble incohérent. Et le dahlia noir dans tout ça ???
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    284 abonnés 2 891 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 mai 2015
    Hélas, hélas, trois fois hélas... Le grand De Palma semble avoir oublié sa recette magique en route. Si l'on sent bien que le sujet correspond à son cinéma traditionnel (obsession et voyeurisme), il accumule les clichés sans en faire le meilleur usage. Les personnages sont souvent très plats, le récit adopte un faux rythme beaucoup trop lent, en gros trop d'éléments négatifs pour piéger le spectateur. Les éclairs sont rares au milieu de cette obscurité (Hillary Swank), les personnages masculins sont à la limite de la caricature en permanence et Scarlett Johansson joue les utilités. On croirait presque voir un cinéaste débutant dans le film noir, un comble, non?!!
    gizmo129
    gizmo129

    99 abonnés 1 530 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 avril 2015
    C'est compliqué, mais vraiment trop complexe si bien qu'on se perd dans cette intrigue à tiroir surtout sur une durée de 2h...
    Le talent de De Palma nous transporte tout de même mais l'histoire ne tient pas la route, dommage.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 097 abonnés 3 970 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 mars 2015
    Franchement, j'avais entendu beaucoup de mal sur ce film, mais je disais, non... De Palma... sur un film policier... qui se passe à l'époque où les hommes pouvaient être classe en bretelles ! forcément ça va être bien !

    Et dieu que je me suis fait chier... en fait je ne suis pas rentré dans le film à un seul moment ! Déjà l'univers faisait toc, les personnages, les costumes, les décors, tout me semblait tellement faux ! Et je déteste le casting ! Je crois que tous les trois là je ne peux plus les encadrer, c'est bon... j'ai fait une overdose ! Alors forcément c'est difficile d'apprécier... et en plus De Palma ne fait pas vraiment preuve de génie virtuose dans ce film... alors il me reste plus grand chose pour l'occuper... plus rien du tout pour ainsi dire...

    En fait en voyant ce film, la fascination pour la morte, j'ai juste envie de dire, non mais c'est bon, je me relance Laura... ça c'était un vrai chef d'oeuvre...

    Franchement je suis déçu parce que (à tort sans doute), j'en attendais quelque chose de vraiment bon ou au minimum de correct. J'ai beau chercher j'ai aucun moment qui ne m'a parlé, aucun moment où je me suis dit "ah belle trouvaille"... Je sais pas... on parle du mec qui a fait l'impasse ! Ouais ça me laisse de marbre... J'aurai tellement aimé dire que c'était un film incompris... Alors qu'encore une fois sur le papier tout partait pour le mieux. Je mettrai ce film en comparaison avec Zodiac de Fincher qui est aussi une histoire de meurtre "d'époque" (même si elle est pas la même), les deux films ne sont pas sortis si loin l'un de l'autre et l'arrive à passionner avec son enquête, ses personnages, à filmer ses acteurs sans qu'ils ne soient ridicule, à donner vie à l'univers... et l'autre pas...

    Dommage... franchement dommage...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 mars 2015
    Comment adapter un des livres les plus personnels, les plus durs, les plus complexes de James Ellroy ?
    De Palma s'y risque en deux heures quand il en eut fallu huit ! Et de toute autre facture. Sans parler d'une intrigue réduite à peau de chagrin, confuse, embarrassante, où tout un beau monde se débat sans qu'apparaisse la vraie star du film, Los Angeles, lieu de tous les fantasmes, de toutes les souffrances (mais aussi des rédemptions) d'un des plus grands écrivains du 20ème siècle. A lire ou a relire, le film, lui, est à fuir.
    Kloden
    Kloden

    128 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 mai 2014
    Certes, qui suis-je pour juger si sévèrement cette adaptation ciné du chef-d'oeuvre de James Ellroy alors que le Dog l'a qualifiée dans la postface de la récente réédition du livre de "grand film" ? Qui suis-je pour contredire un homme qui a tant mis de lui-même dans l'écriture de son roman qu'on ne peut lui renier un droit de regard et de jugement privilégié sur sa transposition sur grand écran. De plus, Le Dahlia Noir et son histoire sont si liés à la vie de James Ellroy que je doute que le romancier ait menti en valorisant le film pour des raisons publicitaires. Mais l'oeuvre de De Palma travestit si honteusement la sienne que j'ai du mal à comprendre comment il peut l'apprécier. Sans doute est-ce du à l'importance des thèmes et des personnages, évidemment communs aux deux supports, et au fait que ceux-ci concernent Ellroy de si près que leur mise en images n'a pu que le toucher. Parce qu'objectivement, je donne raison au public (une partie de la presse est étonnamment clémente) qui a sanctionné le film à une quasi-unanimité. Le plus grand massacre du Dahlia noir version cinématographique n'est en effet même pas celui d'Elizabeth Short, jeune femme retrouvée sauvagement assassinée et mutilée dans le Los Angeles d'après-guerre, affaire sur laquelle aucune lumière n'a été faite. Le vrai massacre est plutôt cette adaptation d'un grand roman noir en un ratage artistique notable. Une mauvaise surprise sidérante, tant le cinéma de De Palma, obsessionnel et autoritaire, semblait à merveille en mesure de nous faire partager le pouvoir accaparant du Dahlia Noir et les liens inconscients qu'elle entretient avec chaque homme, d'où naissent une emprise macabre. Pourtant les faits sont là, et le ratage est autant narratif qu'artistique. Au départ fidèle, le scénario déçoit quand même rapidement pour cause d'une durée trop courte, qui rend impossible tout effet de vortex macabre semblable à celui du roman (dans la même ligne d'idées, la B.O., très médiocre, manque d'un thème récurrent pour mener le bal). Dans sa première partie, l'histoire fait donc l'effet d'un ersatz de celle d'Ellroy, qui n'en possède ni le souffle, ni les sursauts, ni la densité. Les raccourcissements y semblent quand même acceptables, jusqu'à ce que le manque de temps conduise à des coupes aliénantes qui détruisent la stabilité de l'oeuvre. Le pire, c'est que si ce qui est raconté n'est pas fidèle et bien moins puissant, il est raconté de manière maladroite ; les nombreux fondus et balayages donnent peut-être un rendu "livresque" mais instaurent surtout des coupures qui cassent le rythme et détruisent l'ambiance. Le pire ai-je dit ? Pardon, le pire est en fait la faiblesse de la narration, bâclée au possible, qui oblige à une voix-off et des flash-backs lourdingues pour révéler les twists sans le moindre impact. Le canevas fonctionne donc en vase clos, incapable d'impliquer le spectateur. Bref, Le Dahlia Noir était inadaptable en deux heures, cela ne me surprend pas. Mais ce qui fait le plus mal, c'est de voir De Palma échouer artistiquement de la sorte. Le réalisateur de Scarface et L'Impasse essaye bien de jouer des clairs-obscurs, mais sans réussite, et question cadrage, il sombre parfois dans l'auto-parodie. Il commet aussi l'erreur de négliger Los Angeles, ville-personnage omniprésente au sein de l'écriture d'Ellroy. Résultat : Le Dahlia Noir manque de présence, un comble pour un film noir adapté d'un roman désespéré et quasi-crépusculaire. Le casting est lui-aussi à côté de la plaque, quoi que mes réticences soient beaucoup moins marquées de ce côté là. Josh Hartnett saisit plutôt bien les nuances, et rend de façon convenable le mélange de naïveté et de subtilité étonnant de Bucky Bleichert. On regrettera donc qu'il manque si souvent de tripes. Scarlett Johansson s'en tire mieux, une ou deux répliques consternantes mises à part. Aaron Eckart m'a bien plus satisfait, se démenant joliment pour rendre un Lee Blanchard convenable. J'aurais pourtant si bien vu Russel Crowe dans la peau de cet homme brisé au bord de la rupture, malgré des apparences de force charismatique et souveraine. D'autant que Crowe dans L.A. Confidential, c'était quand même quelque chose... dommage, Russel était sans doute trop vieux, 9 ans plus tard, pour s'afficher au casting d'une nouvelle adaptation de James Ellroy dans la peau d'un agent du L.A.P.D. en pleine force de l'âge. Enfin de toute façon, même une prestation époustouflante n'aurait pu faire oublier une famille Sprague/Linscott complètement hors-sujet. Consternant ! Bref, une déception de taille, qui ne manquera pas de remettre en lumière le mérite de Curtis Hanson pour avoir fait de la transposition ciné d'un livre d'Ellroy une réussite incontestable. En attendant, il n'empêche que Le Dahlia Noir by De Palma est bien sacrément vénéneux, mais pas pour les raisons escomptées : parce qu'en vous spoilant le gros de son intrigue, il pourrait diminuer l'impact de sa version papier et vous faire passer à côté d'un chef-d'oeuvre. Un naufrage pur et simple.
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein

    137 abonnés 543 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 décembre 2015
    Il y’a cinquante ans, ce film aurait été un grand et fameux succès. Il y’a cinquante ans moins de monde aurait été dérangé par des acteurs plats et un scénario tellement incompréhensible qu’on en finit la projection avec un mal de tête infernal. Mais non, en fait, même si ce Brian de Palma serait sorti alors que le cinéma ne serait même pas né, le septième art aurait été brûlé, exterminé juste à cause de son scénario abrutissant. Les acteurs jouent mal, ils n’y croient pas, il suffit de voir Eckhart et Johansson en couple d’énervés compulsifs pour se rendre compte de la supercherie. Ils ne sont que d’immondes caricatures, dont le double-sens soi-disant présent dans leur relation ne fait qu’enfler un peu plus notre esprit critique. Certes, c’est bien filmé : du simple travelling toujours aussi bien maîtrisé par De Palma se rejoint le gros plan en grue, inventif mais lassant car répétitif. Des plans mous aucunement aidés par des lignes de dialogues jetées à la caméra par un casting endormi dès le départ. La présence d’un Josh Hartnett mollasson dans le rôle principal n’aide en rien. Il a su se débrouiller dans bon nombre de rôles, dans celui-ci il met son charisme en suspens et ses traits physiques en léthargie. On s’ennuie : le côté thriller est raté, aucun suspense n’en ressort, la voix OFF est retorde, le tout est mal pensé, mal fabriqué, idiot et surtout sans âme. Deux heures complétées par leur suite d’errements de « détectives » boxeurs du dimanche dans une enquête qui patine tellement que le spectateur, au final, s’en fiche plus que tout. Les révélations, censées apporter de la surprise et un certain renouvellement dans l’intrigue, ne sont qu’au final des passages gênants qu’on est bien heureux d’avoir passé. Il y’a eu des hauts et des bas dans la carrière de De Palma, mais ici on est dans les mêmes catacombes qu’avec une « Femme Fatale », et le « Dahlia Noir » était censé représenter le grand retour de De Palma derrière la caméra, quatre années après son arrêt contesté par les fans de toute activité cinématographique. Sacrée déception, alors qu’on retrouve les mêmes défauts, ces vides si présents dans l’écriture ou dans le montage qu’on aperçoit de plus en plus à mesure que ce réalisateur vieillit. Pour qu’on puisse retrouver un sens dans le travail donné par De Palma, il faudrait déjà commencer par lui offrir un contexte, c’est-à-dire un scénario affûté et bien écrit par un scénariste indépendant, et non plus Hollywoodien ni même une adaptation d’un vieux livre dont on voit ressortir des personnalités inertes d’idiotie et d’imbécilité. C’est aujourd’hui les valeurs dominantes dans la fin de carrière de ce metteur en scène, et on retrouve ça aussi chez Woody Allen, chez Terrence Malick voire chez un Spielberg parfois. Une partie de ces réalisateurs partent vers la simplicité et l’autre vers la difficulté scénaristique, tandis que l’un plonge dans l’aventure déraisonnée sous forme de thriller ou de film de guerre, l’autre avance dans le délire philosophique sans queue ni tête qui ressemble plus à une perte de temps qu’à autre chose. Il y’a donc un fossé dans le cinéma des seniors d’aujourd’hui, alors qu’une très faible poignée vise juste, les deux autres parties se dirigent vers une façon de faire barbante et peu enthousiasmante, car beaucoup moins maîtrisée qu’il y’a maintenant vingt années. Et c’est tout à fait normal. Qu’est-ce que le « Dahlia Noir »? Un vide scénaristique sans vie, prolongé par des acteurs à ce point mal dirigés qu’ils ont dû être bien contents lorsqu’ils ont quittés le plateau. Même sentiment vécu pour le spectateur lorsqu’il a quitté la salle. Un sentiment de partagé, un!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 16 septembre 2012
    L'idée de faire un film noir à la mode ancienne était sympa, le résultat pathétique. Même les acteurs sonnent faux et sont somme toute assez ridicules. Les dialogues sont bien trop bavards. On s'ennuie ferme (quand on n'essaye pas de nous horrifier).
    RuleZzZ
    RuleZzZ

    13 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 juillet 2012
    Incompréhensible. Si tout semble expliqué, on reste de marbre. C'était quoi l'intrigue déjà ? Ah, et donc le dénouement ? Sans enjeu ressenti, aucun suspens vécu, et aucune attente du début à la fin. La forme ne vaut pas tellement mieux : une veille musique tout droit sortie d'un pastiche de film de détective jouée et rejouée du début à la fin, tous les personnages jouant leur propre caricature, des décors de téléfilm et des acteurs pourtant connus pour être bons qui se gâchent du début à la fin.
    Plume231
    Plume231

    3 936 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 juillet 2012
    Adapter James Ellroy ne relève pas de la gageure impossible puisque "L.A. Confidential" est une brillante réussite, Brian De Palma est (a été ???) un cinéaste qui déchire par sa virtuosité et des tas de films sont là pour le prouver, donc question : comment avec deux ingrédients pareils, avec en plus une affaire criminelle sordidement fascinante, peut-on faire un film aussi mauvais ??? Ben vous prenez deux acteurs totalement dénués de charisme, Josh Hartnett et Aaron Eckhart par exemple, dans des personnages totalement vides, vous les entourez de belles actrices, Scarlett Johansson superbe physiquement comme à son habitude et Hilary Swank en femme fatale plus noire que sa chevelure qui est très noire, dans des personnages tout aussi vides et qui prennent sans arrêt des poses caricaturales, vous ajoutez des décors, des costumes et des accessoires qui donnent l'impression d'être tout juste construits ou sortis de leurs malles, une intrigue tellement confuse à souhait qu'on finit par se demander s'il y en a une et puis qu'on s'en fiche qu'il y en ait une ou pas, et une absence totale d'atmosphère ; reste plus qu'à mélanger le tout. En fait, seules les séquences d'essais de la future victime avec la voix hors-champ de De Palma arrive à surnager dans cet océan de médiocrité. Le grand De Palma serait-il mort dans le sens artistique du terme ???
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 24 mars 2012
    Une mise en scène magistrale. Une histoire noire, noire, noire, mais d'une complexité à dormir debout.
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