Mon compte
    The Substance
    Note moyenne
    3,7
    4868 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur The Substance ?

    892 critiques spectateurs

    5
    128 critiques
    4
    310 critiques
    3
    161 critiques
    2
    113 critiques
    1
    91 critiques
    0
    89 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    charboyon
    charboyon

    14 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 novembre 2024
    Le problème avec "the Substance" c'est qu'on a rapidement compris où la réalisatrice voulait en venir.
    Très rapidement, alors que le film s'étire beacoup trop sur la fin pour finir dans le gore et le grotesque. Dommage car ni la réalisation (très bonne photographie) ni l'interprétation des deux actrices (qui tiennent à elle seules l'ensemble du film) ne pèchent en qualité. On a juste envie de crier, après une grosse heure de projection, pour que tout s'arrête...
    Cécile VENET
    Cécile VENET

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 novembre 2024
    Whaou, Je n'ai pas de mots!!! Juste incroyable, un chef d'oeuvre, Demi Moore est à son apogée. En revanche, aucun enfant ne doit voir ce film, c'est trop sanglant. 12 ans me paraît complètement sous estimé ... - de 16 ans serait plus adapté.
    caroli,e Durand
    caroli,e Durand

    1 abonné 61 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2024
    Du jamais vu ce film ne ressemble à aucun autre et est totalement fascinant, captivant malgré quelques petites incohérences. Une bande son somptueuse de plus très envoûtante. Les 2 actrices sont magistrales dans leur rôle plutôt complexe. Une belle claque cinématographique.
    VOSTTL
    VOSTTL

    97 abonnés 1 944 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 novembre 2024
    « La Mouche » est à David Cronenberg ce que « The Substance » est à Coralie Fargeat et ce que « Comme une actrice » est à Sébastien Bailly.

    Antoine (Benjamin Biolay) metteur en scène de théâtre réputé refuse à sa femme Anna (Julie Gayet), actrice, de tenir le rôle principal dans sa pièce car le personnage est jeune. Anna est âgée de cinquante ans. A cela s’ajoute qu’elle ne suscite plus le désir de son mari qui lorgne vers une jeune journaliste (Agathe Bonitzer). Désolée, vexée, Anna parvient à obtenir d’une femme une substance obscure qui lui permettra de prendre l’apparence d’une autre femme, plus jeune si possible et surtout celle qui séduit son mari. Trois gouttes de cet élixir, pas plus. Ne jamais dépasser la dose qui pourrait lui être fatale.
    Ne déréglez pas cette critique, elle est bien pour « The Substance » !

    Oui, « The Substance » me renvoie à ce petit film français de facture invisible. Ce qui ne sera pas le cas pour le film de Coralie Fargeat dont l’empreinte me paraît plus marquante. Comparé au film de Sébastien Bailly, plus lent, plus intime, celui de Coralie Fargeat est soutenu par un rythme pesant et haletant avec une dimension horrifique et gore de surcroît, bellement assumée.

    On retrouve la même thématique : celle de l’âge des femmes, qui la cinquantaine atteinte, sont précipitées vers la sortie.
    Ici, avec « The Substance », nulle question de reconquérir un mari. Elisabeth Sparkle, (Demi Moore) ancienne star de cinéma qui a son étoile sur Hollywood Walk of Fame, reconvertie dans un show d’aérobic à succès est priée de laisser sa place à une autre plus fraîche, plus jeune, plus attractive.
    Place au jeunisme !
    Le hasard voulant réparer une injustice, Elisabeth Sparkle prend connaissance d’une annonce très confidentielle pour obtenir la meilleure version d’elle-même.
    S’injecter une substance mais pas que ! Il faut impérativement respecter le mode d’emploi et une seule règle.
    Je n’en dirai pas plus.

    Alors une autre thématique se fait jour : l’addiction. Celle qui fait perdre les pédales en voulant abuser, celle qui brouille le raisonnement au point de croire maîtriser la situation.
    Dans « Comme une actrice », Anna avait pour rivale une jeune journaliste ; spoiler: avec « The Substance », ce qui devait faire « une » devient deux : deux rivales.

    spoiler: L’une, la matrice, nerveuse, Elisabet qui s’échine à respecter le mode opératoire ; et l’autre, Sue, l’égoïste, la meilleure version, qui finit par ne plus entendre raison.


    Franchement, plus d’une fois, j’ai été instable sur mon siège pour tenter de regarder ce qui me rebutait. Il est vrai que je suis sensible à tout ce qui touche à la chirurgie.
    Certes, selon la salle, on peut en rire collectivement. En ce qui me concerne, la salle était relativement concentrée ; de petits rires jaunes crispés se faisaient entendre !

    On peut rajouter d’autres thématiques comme le culte de la beauté, la chirurgie esthétique, l’obsession du corps, l’oubli après la gloire, la solitude, etc.
    Oui, au-delà de cette superficialité, y flotte une certaine mélancolie laquelle donne plus de relief à cette fable horrifique signée Coralie Fargeat.
    Le récit ne manque pas de profondeur comme l’était « La Mouche ». Et quelques notes d’humour… noir.
    En effet j’ai souris à plus d’une reprise spoiler: avec la hot line
    ; souri devant l’extravagance outrancière de Dennis Quaid que la réalisatrice s’applique par moments à en traduire toute sa misogynie dictée par l’argent et l’audimat ; souri avec le tout dernier plan qui voit Elisabeth - spoiler: ce qu’il en reste - mourir sur son Etoile
    .
    A ce propos, le tout premier plan du film se porte sur la composition de l’Etoile d’Elisabeth sur Hollywood Walk of Fame ; une Etoile qui va connaître l’excitation des fans ou des cinéphiles, des curieux, puis l’indifférence. Une stèle entretenue, délaissée ; une métaphore sur l’usure du temps qui touche tout être humain, anonyme ou célèbre.
    Une des bonnes idées de Coralie Fargeat.
    Parmi ses idées : le casting. Demi Moore s’impose comme une évidence ; elle, dont la carrière avait si bien débuté, une promesse qu'elle n'a pas pu tenir. Avec « The Substance » elle pourrait connaître le même sort que son ex-compagnon Bruce Willis qui avait sacrément rebondi après « Sixième sens ».
    Gore assumé et corps nus aussi, le sien qu’elle n’hésite pas à montrer.
    Autre bonne idée : cette salle de bains blanche, froide et clinique, spoiler: lieu refuge pour la permutation des corps.


    Enfin, je me pose la question suivante : spoiler: le passage sur scène de Sue monstrueuse est-ce une projection de son esprit ?
    Dans ce cas, ça me séduit.
    spoiler: Ou est-elle vraiment montée sur scène pour assurer le show quoi qu’il lui en coûte ?

    spoiler: Si tel est le cas, j’avoue ne pas aimer cette fin. Devant l’horreur qu’elle suscite, Sue me donne l’impression d’inviter les spectateurs à accepter sa différence.
    Elle me renvoie à « Elephant Man » : « I’m a human being ».
    Ce qui est cohérent pour le film de David Lynch ne me paraît pas l’être pour celui de Coralie Fargeat.
    Sans doute que je m’égare due à une mauvaise interprétation. Il me faudra le revoir.

    En tout cas, si je trouve que la réalisatrice étire trop sa fin, « The Substance » est un film dénué de temps mort, un récit épuisant à suivre mais ô combien surprenant et captivant dans son traitement. Son Prix du Scénario Cannes 2024 ne me paraît pas scandaleux.
    Ducourneau, Fargeat, deux femmes françaises primées à Cannes ; deux femmes françaises qui pratiquent le film de genre sans aucun complexe, cela me ravit.

    J’ai commencé ma réflexion par « Comme une actrice », je terminerai par une autre référence : « Docteur Jerry et Mister Love » de Jerry Lewis. Et oui, n’ingurgite-t-il pas une substance miracle pour changer d’apparence ? Pour connaître une petite gloire auprès des filles ?
    J’oubliai : mention très bien à Margaret Qualley dans le rôle « La meilleure version de vous-même »…
    Frédéric Dalmeyda
    Frédéric Dalmeyda

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 novembre 2024
    Bon comment dire, la première heure pourquoi pas; hormis quelques bizarreries (Sue qui refait l'appartement et la salle de bain avec un chalumeau et un marteau piqueur...bref).
    Des gros plans de fesses, seins et autres tenues moulantes bien longs.
    Ensuite un enchainement de scènes interminables, une Elisabeth qui finit façon Alien, qui se remet les os en place et qui deux minutes après court comme un lapin, habillée comme les vamps à l'époque, bref pénible et ridicule au possible.
    Alors la dernière demi heure insupportable, 90 hectolitres de sang, et j'en passe. Je me demandais quand ça allait finir ou si encore un autre truc allait sortir du "monstre".
    Prix du scénario? Mais il n'y en a pas!
    Pauvres actrices enfermées dans des rôles absurdes qui ne leur permettent de rien exprimer de plus que des râles et cris.
    Passez votre chemin.
    HMD.
    HMD.

    6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 novembre 2024
    Alors que la bande annonce laissait espérer une analyse sur le fait de vouloir plaire à tout prix et l'acceptation du vieillissement tout en passant par une carricature d'Holywood à la Tarantino, le film tombe dans la facilité de scènes bien gores et de gros plans sur le fessier des jeunes filles... Le peu de crédulité qu'on aurait pu accorder au scenario ne prend pas : la ressemblance entre les deux femmes est inexistante (elles n'ont même pas la même couleur de cheveux et d'yeux) , la réaction du monde extérieur face à quelqu'un de monstrueux est too much... J'ai failli demander à ce qu'on me rembourse tellement la déception était de taille.
    Marylou5657
    Marylou5657

    4 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 décembre 2024
    C’est beau, c’est recherché, c’est engagé, c’est répugnant.
    The substance, c’est des acteurs (et surtout des actrices) époustouflants, c’est une esthétique folle et une histoire prenante. Et la fin, la fin…

    Seul petit bémol, on ne se reconnaît pas vraiment (enfin, je) dans les personnages de Demi Moore et Margaret Qualley donc compliqué de s’y identifier. Mais au vu du film, ce n’est qu’un détail.

    À voir absolument.
    LAETITIA XXX24
    LAETITIA XXX24

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 novembre 2024
    Comment Demi Moore à t elle pu s'engouffrer dans un tel navet ? Incroyable de nullité, incohérent, cucul la praline, complètement creux.
    Ça sent la fin de carrière pour cette actrice.
    Dommage car l'idée du scénario et le message véhiculé auraient pu donner un film intéressant.
    Mais là...mdr...très longtemps que je n'avais pu vu un truc si nase 😅
    À éviter absolument !!!
    Marcele Barthelemy
    Marcele Barthelemy

    2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 novembre 2024
    ça commence très bien, et ça se perd sur un scénario glockerie gratuite. Le message de perd dans des litres de sang. Reste la merveilleuse performance de Demi Moore a retenir et à saluer.
    Quentin DELAVENNE
    Quentin DELAVENNE

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 novembre 2024
    Ce film n a aucun intérêt, sans fond, violent. La finalité est une sortie de salle de plusieurs personnes pendant la séance.
    Axis.fr
    Axis.fr

    17 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 novembre 2024
    Non, non et NON ?!? Ceci n'est PAS un chef d'oeuvre. Ca AURAIT PU, ça commençait comme (avec un hommage complémentaire évident (ou plagiat ?) à "Requiem for a dream" dans la manière de filmer).. et puis finalement le soufflé retombe très vite. Les premières scènes, empreintes de réflexion, poésie, métaphores... sont vites éclipsées par des incohérences ou dérives scénaristiques (excusable au début) pour finir par un dernier tier complètement ridicule, risible, grand-guignolesque ou possible. Un énorme WTF, n'importe-quoi-esque. Il a des produ8et monteurs qui laissent des films finir comme des navets à ce point ?! Une ÉNORME occasion ratée... ça aurait pu tellement être sublime.... la paresse scénaristique (ou la drogue ?) on eu raison de ce film... a fuir et oublier. (revoir Requiem for a Dream ou Limitless.. tellement mieux)
    Luc
    Luc

    2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 novembre 2024
    Je mets une étoile car la réalisation surtout au début est assez efficace. Bon après, on s'en lasse très vite. L'idée de départ est pas forcément mauvaise mais le reste c'est de la caricature en barre couplé à de l'inutilement gore. J'ai personnellement perdu 2h30 de mon temps sur ce films qui cherche, je suppose, à dénoncer les travers superficiel de notre société mais qui pour le coup, l'est à mes yeux, lui même. Grossier.
    CécileDF
    CécileDF

    1 abonné 24 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 novembre 2024
    Dommage, l’idée aurait pu être mieux traitée, c’était pourtant bien partie mais la deuxième partie est insupportable , inutile, trop c’est trop… épouvantable !
    Pourquoi se donner autant de mal si ce n’est pour choquer, faire parler ! Alors de ce point de vue, la réalisatrice a atteint son but, N’y allez pas,
    Marieppl02
    Marieppl02

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 novembre 2024
    La première heure du film intrigue mais a partir de la deuxième heure tout part trop loin. Du « gore » dans les 20 dernières minutes. Très déçu de la fin.
    Leane B.
    Leane B.

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 novembre 2024
    film tres dérangeant, mécanique très dérangeante et surtout incompréhensible, j'ai l'estomac retourné complètement !
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top